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 Keja Laetschi - Une goutte de parfum ?

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Keja Laetschi
Parfumeuse
Parfumeuse
Keja Laetschi



Feuille de personnage
Rang: Gitan
Profession: Parfumeuse
Parti (pour les Miséreux):
Keja Laetschi - Une goutte de parfum ? Empty
MessageSujet: Keja Laetschi - Une goutte de parfum ?   Keja Laetschi - Une goutte de parfum ? EmptyLun 2 Nov - 22:27

Identité


  • Nom : Laetschi
  • Prénom(s) : Keja [dit Keya]
  • Sobriquet : Elle n'a pas vraiment de surnoms...

  • Âge : Environ dix-huit ans
  • Origine : espagnole
  • Rang : Gitane
  • Profession : Parfumeuse
  • Parti : En vérité, Keja ne s’en mêle pas, elle aspire uniquement à la tranquillité, au calme d’une vie sereine qu’elle n’aura jamais.

    Physique


  • Yeux : Elle a de superbes yeux bleus, mais malheureusement, l’un des deux est aveugle. Elle ne voit que de l’œil gauche. Mais au premier regard, on ne le remarque pas, et l’on voit des yeux légèrement bridés, aux cils longs et abondants...
  • Cheveux : Les cheveux de Keja sont couleur de nuit, et parfois au clair de lune, ils arborent de beaux reflets bleutés. Elle ne les coiffe que rarement, mais comme ils sont raides, cela ne pose pas trop de problèmes. Bon, de temps en temps, quand même, elle fait un effort, histoire de les attacher dans une grosse natte négligée... Elle porte souvent un bandeau, ou un morceau de tissus, pour les maintenir hors de son visage. Ils sont très longs, descendant jusqu’au bas de son dos en mèches désordonnées.
  • Taille/Poids : Approximativement un petit mètre soixante pour un tout petit trente huit kilogrammes. Elle n’a pas l’air en sous poids cela dit, ne nous méprenons pas, elle est juste très fine.

  • Description physique : Keja est ce que l’on pourrait qualifier de jolie. Non, tout de même pas excessivement jolie, elle n’est pas de ces femmes aux formes généreuses incarnant à elles seules le péché de la chair. Elle a un charme bien à elle, résidant essentiellement dans sa façon d’être, dans ses sourires, qui, bien que rares, font toujours craquer les gens face à qui elle est. Alors certes, dans la rue, vous ne la regarderez probablement pas. Certes, elle ne fait pas tourner les têtes d’un simple mouvement de hanche. Mais elle dégage un charme mystérieux et simple, bien plus vrai que celui de ces filles aux mensurations idéales. Elle n’a pas non plus l’élégance innée des femmes nobles. Elle marche toujours tête baissée, le regard rivé au sol, de petits pas rapides et nerveux. D’une manière générale, elle a des formes, certes, mais pas si marquées que ça, sa peau est légèrement halée et ses cheveux sont souvent pleins d’herbes ou de fleurs ayant servies à ses parfums. Son visage reflète à lui seul l’innocence vraie, que l’on pourrait lui attribuer. Méfiez-vous cependant de cet air si charmant. Elle porte souvent des robes à corsets, rouges ou violettes toujours, et parfois, quand il y a une fête, elle accepte de mettre des chaussures, le reste du temps, elle marche toujours pieds nus.
  • Particularités : Elle a, sous ses vêtements, le corps peint de milles arabesques rouges bordeaux, ressortant à peine sur sa peau foncée, mais personne n’a l’occasion de les voir.
  • Signe distinctif : Elle est aveugle de l’œil droit, et en s’y penchant bien, on voit aisément le voile léger qui recouvre déjà la jolie prunelle bleue. Passer à côté d’elle et une odeur de parfum envahira vos narines, on ne peut pas la louper.

    Mental


  • Qualités : Vous voulez savoir l’ami, quelles sont les qualités de la jolie Keja ? Oh, il est aisé de les découvrir par soi même, mais je me ferais une joie de vous les conter. Tout d’abord, vous penserez que Keja est réservée, mais bien vite à ses yeux, vous verrez que c’est une fille sociable, accueillante, n’ayant aucun préjugé contre qui que ce soit, acceptant tout le monde comme s’il n’y avait pas de différences de richesses. Elle est tellement gentille et généreuse, donnant sans hésiter le peu d’argent qu’elle gagne aux enfants qui mendient, préférant ne pas se nourrir que de les voir mourir de faim qu’elle attire à elle les personnes sympathiques comme les manipulateurs. Rassurez-vous, elle n’est pas stupide, elle sait quand on cherche à la tromper. Elle a ce sens inouïe du sacrifice, celui que peu de gens ont, et est prête à donner sa vie pour n’importe qui qui serait dans le besoin. Elle a aussi un talent certain pour la confection de parfum. Elle sait quel parfum ira à quelle personne, rien qu’en voyant sa façon de marcher, son écriture ou sa façon de parler. Autre chose que nous pourrions ajouter en faveur de la demoiselle, c’est certainement sa discrétion. On peut tout lui confier, elle est de bon conseil et ne répète rien. Toujours heureuse d’aider, elle a l’oreille attentive et on peut la déranger à tout moment du jour comme de la nuit, si l’on a besoin de parler.
  • Défauts : A l’inverse, Keja vous paraitra secrète, mystérieuse, imprévisible parfois. Si vous la croisez le soir, vous ne croiserez peut-être pas son regard et lui trouverez un comportement bien étrange. Qui donc est cette fille que les secrets étouffent ? Car oui, Keja a des secrets, terribles, sanglants. Et elle les cache. Si vous voulez connaître son passé, ce n’est pas à elle qu’il faut s’adresser. Elle n’aime pas évoquer le bonheur, et peut se refermer sur elle-même tout d’un coup. Elle n’est pas mauvaise, mais très méfiante, alors bien qu’amicale, elle ne vous fera pas confiance très facilement, il faut lui prouver d’abord qu’aucun mal ne lui sera fait. Elle peut se montrer colérique par moment, et il faut probablement craindre sa fureur, car elle donne alors l’impression d’être possédée, chose fausse rassurez-vous, mais vous avez de la chance, elle n’est guère rancunière, et de simples excuses peuvent tout effacer… ou presque.
  • Goûts, intérêts, passions : Keja a pour seule passion la confection de parfums. Elle y passe sa vie, toujours à la recherche de nouvelles odeurs qu'elle pourrait utiliser, toujours en quête de nouveaux assemblages.
  • Particularités : Elle a de nombreux tics, le principal étant certainement de toucher du bois avant d’entrer quelque part.
  • Signe Distinctif :

    Historique


  • Famille : Ah, sa famille, parlons-en, je ne vous tiendrais pas longtemps dessus.
    Chavo Laetschi : c’est son père, un homme rude et alcoolique, qui a vendu ses trois aînés pour une choppe de bierre. Si Keja a pu rester avec eux, c’est uniquement parce que sa femme était malade. Il est décédé quand elle avait huit ans, suicide. Elle s’en est parfaitement remise, heureuse même de sa mort. Enfant battue, elle avait toutes les raisons de se réjouir de ce départ prématuré.

    Bisha Laetschi : c’est sa mère, une diseuse de bonne aventure. Elle était tout le temps malade, et Keja devait s’occuper d’elle, malheureusement, son état n’ayant fait qu’empirer, elle a finit par rendre l’âme à dieu quelques jours avant que Keja ait 14 ans. Ne soyez pas triste pour elle, sa mère ne l’aimait pas, et c’était réciproque. Une femme qui s’occupe si peu du bien être de ses enfants ne mérite pas d’être appelée ‘mère’

    Thomas de Verri : c’était son mari, mais il est décédé avec leur fille dans l’incendie qui brûla tout le manoir dans lequel ils vivaient depuis seulement un an. Elle l’aime. Passionnément. A l’heure où se passe cette histoire, elle a certes accepté qu’il soit mort, elle a déchiré la page et la garde contre son cœur.

    Sima de Verri : sa fille qu’elle aimait plus que tout, elle est morte avant d’atteindre l’âge d’un an, dans les mêmes circonstances que son mari. Elle se sent atrocement responsable de l’avoir laissée seule.

  • Enfance : Vous avez eu un aperçu de sa terrible famille, entrons désormais dans son enfance. Keja n’avait pas vraiment de quoi être heureuse, il faut l’admettre. Quand elle était encore tout bébé, sa mère ne s’occupait pas d’elle, et elle avait de la chance quand sa grande sœur Luana trouvait de quoi la nourrir. Elle a été habituée très tôt à ne pas manger à sa faim et à souffrir d’un terrible manque d’hygiène, ce qui explique peut-être pourquoi elle accorde une telle importance à nourrir les enfants de son quartier. A peine eut-elle été capable de marcher qu’elle fut mise au travail, aller chercher de l’eau, mendier dans les villages, tresser des paniers, faire la cuisine, tout ça elle l’apprit très vite, une question de survie, vous comprenez. Mais quand elle eut six ans, et que ses frères et sœurs furent vendus par son père, elle se retrouva seule, coincée entre une mère malade et peu aimante, et un père violent et alcoolique. Elle était battue, oubliée, délaissée, préposée aux travaux les plus difficiles. Ses seuls moments de répits étaient le soir, quand la communauté se réunissait et qu’ils chantaient et dansaient pendant des heures. Son père sortait boire, sa mère avait la visite d’une voisine détestable, et elle était enfin libre de ses mouvements. C’est sûrement cela qui l’amena à la confection de parfums, car dès ses huit ans, elle était remarquée pour la finesse de ses créations. Elle avait un besoin maladif de masquer l’odeur d’alcool et de maladie qui suivait ses parents partout. Et puis son père mourut, ce qui fut, entre nous, une libération véritable pour la pauvre fillette. Les années suivantes furent bien moins pénibles à supporter, car bien que sa mère ne l’aimât toujours pas, elle n’était du moins plus obligée de se cacher pour échapper aux terribles colères de son alcoolique de père. Elle développa alors une grande sensibilité vis à vis des plantes et de leurs parfums.

  • Adolescence : De petite fille souillon avec un vague talent pour reconnaître les odeurs, elle devint la jeune fille la plus appréciée du campement, pour sa gentillesse, son talent qu’ils n’osaient contredire, sa pureté d’âme. Un jour qu’ils s’arrêtèrent en ville, elle rencontra Thomas, le fils d’un gros bourgeois. Les circonstances de cette rencontre sont assez faciles à deviner. Elle est gitane, il habite en ville, et quand les tziganes arrivent, cela fait généralement un sacré remue-ménage. Keja fuyait une nouvelle fois ses responsabilités pour aller cueillir des fleurs quand elle manqua de se faire percuter par un cheval. Manqua, je dis bien, car, heureusement pour elle, elle trébucha au bon moment. Le jeune cavalier, Thomas donc, s'en excusa platement et obtint de Keja qu'elle se rende au marché le lendemain, histoire de la revoir. Au début, ils n’étaient certes que des amis, mais à la mort de sa mère, peu avant ses quatorze ans, Keja ne trouva que les bras de Thomas pour l’accueillir. Elle quitta la communauté pour aller vivre chez les De Verri, ravis d’avoir dans leur demeure une jeune fille si agréable. Elle échangeait des parfums contre le gîte et le couvert, et tout était parfait. Cette rencontre fut un véritable rebondissement dans sa vie, pensez-vous bien. Une simple gitane, orpheline de surcroit, accueillie par une famille de grand bourgeois ! Pourquoi faire ? Par amour, bien sûr. Thomas et Keja avaient déjà à ce moment-là de tendres sentiments l’un pour l’autre, et il s’était avéré impossible pour Thomas d’imaginer qu’elle pouvait repartir. Il avait voulu la garder près de lui, et la gentillesse de Keja avait fait le reste. On peut dire que Monsieur de Verri, le père de Thomas, était un homme particulièrement apprécié des environs. Très tourné vers les œuvres de charité, il ne s'inquiéta pas outre mesure d'une éventuelle relation entre son fils et une gitane. Après tout, il avait lui-même épousé une femme qu'il n'avait jamais aimé, et il avait remercié le ciel qu'elle soit morte assez tôt pour qu'il puisse enfin mener une vie normale, et espérait bien qu'il n'arrive pas une telle chose à son fils...

  • Jusqu'à nos jours : L’été de ses seize ans, Keja épousa Thomas, avec la bénédiction de son père. Un mariage d’amour, comme il était rare d’en voir à l’époque, alors la fête en fut d’autant plus belle. Et puis Monsieur Du Verri mourut peu de temps après, succombant à une terrible crise de goutte. Après cela, Keja tomba enceinte. Son mari et elle étaient probablement les deux personnes les plus heureuses du pays, ils vivaient le parfait bonheur dans un tel climat de joie et de bienveillance que tout le monde autour s’attendrissait de leur histoire. Des saltimbanques de passage écrivirent même une chanson en souvenir de leur parfait bonheur et cette petite histoire fit probablement avec eux le tour du pays. Elle était bien loin l’époque où, frappée par son père et méprisée par sa mère, la petite Keja devait se cacher pour survivre. Non, désormais elle était mariée, pleinement heureuse, montrant au grand jour à quel point elle aimait son mari et l’enfant à venir. Enfant qui concrétisait leur amour. Enfant qui scellait leurs destins l’un à l’autre, pour le meilleur, et surtout pour le pire. La petite Sima naquit en parfaite santé, les joues roses et les yeux bleus de sa mère. Un enfant de l’amour. Thomas en tomba fou, il aimait sa femme et sa fille plus que tout, les exhibait dans tout le comté pour montrer à quel point il était fier de les avoir, organisant des fêtes chez lui pour présenter sa fille. Keja ne pouvait que s’attendrir d’un tel comportement. Et puis un jour, une riche bourgeoise d’une ville voisine demanda à Keja de lui confectionner un parfum unique. Dans leur gentillesse naturelle, les deux époux décidèrent que Keja devait d’y rendre, et Thomas promit de s’occuper de la petite durant son absence. Deux jours, seulement deux jours, et pourtant les au-revoir furent déchirants. Née gitane, Keja avait un instinct très développé, et elle ne voulait pas laisser son mari seul, pas maintenant. En riant il lui dit que tout se passerait bien, et elle craqua. Ce fut le mauvais choix, sûrement. Elle partit donc rendre visite à cette Mme d’Albrin, priant pour que rien n’arrive à sa fille ou à son mari. Mais le lendemain de son arrivée chez les Albrin, elle reçut une lettre urgente, le manoir avait brûlé dans la nuit, aucune nouvelle de son mari et de sa fille. Folle de douleur, Keja avait fait tout le chemin en courant, arrivant les pieds en sang, les cheveux en bataille, le front en sueur. Mais rien n’y fit, il était trop tard, il ne restait rien, rien de son bonheur passé. Elle eut le fol espoir que son mari avait fait une promenade nocturne avec Sima, mais il fallait se rendre à l’évidence, elle était à nouveau seule. Ce fut alors la déchéance. Consciente qu’elle n’était pas pauvre, Keja dilapida une grande partie de son héritage à faire construire un couvent sur ses terres, refusant d’y vivre elle-même, refusant de rester là à vivre sur les cendres d’un amour disparu. Dépressive, animée d’une douleur atroce et lancinante, elle quitta les lieux avec comme unique souvenir de son passé une émeraude véritable, superbe, qu’elle garde contre son cœur. Et puis un an est passé, Keja vit à Paris, dans les quartiers pauvres, comme la gitane qu’elle avait toujours été. Pourquoi Paris ? Par hasard, il faut l'avouer. Peu de temps après l'enterrement de son époux et de sa fille, après avoir fini de faire construire ce couvent qui renaissait des cendres de sa vie, elle avait suivit une troupe de saltimbanque d'origine roumaine, de passage en ville. Non pas que ces personnes lui aient témoigné la moindre amitié, mais elle leur apportait tout de même un soutien financier qu'ils ne purent refuser, et elle échangea donc sécurité contre monnaie sonnante et trébuchante. Elle a par moment du mal à croire que tout cela s’est réellement passé, qu’elle a réellement été mariée et aimée comme ça. Mais un seul regard vers son alliance, suspendue à son cou comme un pendentif, lui rappelle tous ses heureux souvenirs. Mais que fait-elle dans ces rues sales et mal fréquentées ? Comment vit-elle ?Diseuse de bonne aventure quand on le lui demande, car elle sait certes fort bien tirer les cartes, elle rend parfois service à la mère maquerelle pour maquiller ou préparer les filles de joies et courtisanes. Experte en parfums en toute sorte et en maquillage, son savoir est parfois utile aux gens qui l’entoure. Vous avez bien compris, Keja jongle avec ses différents talents, possède une petite boutique où elle vend du parfums comme des conseils, et n’hésite pas à rendre service à qui le lui demande. Maintenant, je vais vous dire que mon histoire est finie, et je crains malheureusement que vous ne restiez sur votre faim. Vous voudriez bien savoir ce qui est arrivé à son œil n'est-ce pas ? Elle ne l'avouera jamais, mais c'est un accident stupide et anodin. Elle faisait de la couture, et un mouvement d'aiguille lui a valu la perte de la vue. Certains y verront un malheureux hasard, elle y voit l'action de dieu pour la punir de son absence lors de la mort de ceux qu'elle aimait.

  • Objectifs et possibles évolutions : Keja n’attend pas grand chose de la vie. Son passé lui a laissé un goût amer dans la bouche et elle ne se projette pas dans le futur.

    Hors Jeu


  • Pseudo : Kaelly
  • Autre(s) Personnage(s) ? None
  • Comment avez-vous connu ce forum ? Au hasard des chemins ^^
  • Une suggestion ? None ^^


Dernière édition par Keja Laetschi le Mar 3 Nov - 18:44, édité 4 fois
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Miracle
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MessageSujet: Re: Keja Laetschi - Une goutte de parfum ?   Keja Laetschi - Une goutte de parfum ? EmptyMer 4 Nov - 2:34

Hé bien jeune fille, tu as posté directement dans les fiches validées ?
Il faut attendre un peu avant ça Wink

Je la déplace, et je lis ta fiche dès demain, merci de ta patience.
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Arthem Des-Tourments
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Arthem Des-Tourments



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MessageSujet: Re: Keja Laetschi - Une goutte de parfum ?   Keja Laetschi - Une goutte de parfum ? EmptyMer 4 Nov - 3:32

Miracle, il semblerait qu'il y aie eu un petit souci avec le forum. Romilly a lu et approuvé la fiche, simplement les messages ont disparus.

Je reconfirme la validation. En cas de souci, tu pourras demander à Romilly !
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Romilly de Würtemberg
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Romilly de Würtemberg



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MessageSujet: Re: Keja Laetschi - Une goutte de parfum ?   Keja Laetschi - Une goutte de parfum ? EmptyMer 4 Nov - 12:21

je re confirme, j'avais validééééé
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MessageSujet: Re: Keja Laetschi - Une goutte de parfum ?   Keja Laetschi - Une goutte de parfum ? EmptyMer 4 Nov - 13:50

Je vous crois, je vous crois mes Cocos ^^
Désolée Keja pour cette erreur !!
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