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 Alexeï "La Plume"

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3 participants
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Alexeï
Acrobate & Montreur de Singe
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Alexeï



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MessageSujet: Alexeï "La Plume"   Alexeï "La Plume" EmptyVen 6 Mar - 3:52

Identité


  • Nom : Inconnu.
  • Prénom : Alexeï
  • Sobriquet : La Plume

  • Âge : 17 ans (âge approximatif)
  • Origine : Inconnue... Mais on l'a trouvé quelque part à l'Est, on le suppose roumain.
  • Rang : Gitan.
  • Profession : Recueilli et élevé par des Saltimbanques, Alexeï a su se faire une place parmi eux. Acrobate avant tout, il a également dressé un petit singe appelé Louis avec qui il parvient à gagner son pain en le faisant danser sur les places des marchés. Il possède cependant une âme poétique et joue un peu de flûte dès qu'il peut s'accorder un moment de paix.
  • Parti : Alexeï est un bohème ; pour lui, chaque être humain a une valeur et en mettre certains au-dessus des autres est une incohérence à l'ordre naturel des choses. En arrivant à la cour des Miracles, il aurait justement espéré voir sous ses yeux l'expression divine de la liberté ; il fut rapidement déçu. Mais il n'est pas pour autant virulent sur le sujet ; il ne donne son opinion que si on la lui demande, et ne sera pas la première fourmi à tenter quoi que ce soit d'inutile pour détruire la fourmilière.

    Physique


  • Yeux : Les pupilles d'un turquoise électrique, ce ne sont pas les yeux de tout le monde, qui voilés derrière des paupières en amande et des cils courts et noirs vous donnent l'impression qu'ils peuvent rentrer en vous et visiter chaque recoin de votre esprit.
  • Cheveux : Noir ébène, il les laisse pousser jusqu'en été ; puis il les coupe pour ne pas avoir trop chaud. Les trois quarts de l'année, Alexeï a les cheveux longs et emmêlés. Ils pourraient être lisses et brillants s'il s'inquiétait un peu plus de son apparence, mais l'air désinvolte qui ressort de son indifférence lui sied à merveille.
  • Taille/Poids : Alexeï est plus grand que la moyenne des gens, ce qui est très pratique pour repérer à l'avance les forces de l'ordre prêtes à arrêter les gitans pour seul motif qu'ils sont différents... Il est assez musclé, mais très fin et se glisse aisément dans une foule compacte.

  • Description physique : Au milieu de sa famille d'adoption aux couleurs basanées par des siècles d'ancêtres dansant sous le soleil, Alexeï est d'un blanc de nacre. Sa peau claire, son nez droit et ses lèvres fines sont clairement le signe pour quiconque a voyagé qu'il est un enfant des grandes forêts de l'Est. Mais tout dans son allure montre qu'il a grandi parmi les Egyptiens. Sa démarche semble toujours rythmée par une musique que lui seul peut entendre. Il a toujours l'air à l'aise, peu importe l'endroit et la situation dans laquelle il se trouve, et il possède ce port de tête fier et haut que tous les gitans arborent par amour et gloire de leur condition singulière.
    Il porte des vêtements confortables et colorés, mais préfère parfois troquer les couleurs vives contre une longue cape de toile sombre pour se mêler à la foule sans attirer l'attention. Il n'hésite pas à déambuler pieds nus, et ses mains sont souvent sales à force d'acrobaties.
  • Particularités : Alexeï orne parfois ses oreilles de boucles brillantes à défaut d'être en or.
  • Signe distinctif : Il a un tatouage à l'encre noire sur la poitrine.

    Mental


  • Qualités : Alexeï est un jeune homme droit, fidèle et réfléchi. S'il est très sociable, il n'en est pas pour autant naïf et n'accorde sa confiance qu'une fois qu'il est certain d'avoir affaire à quelqu'un de fiable et de bon. Mais lorsqu'il donne sa parole, il est toujours prêt à faire tout ce qui est en son pouvoir pour aider son ami, quel que soit ses problèmes. Il n'agit jamais à la légère, sauf dans des cas extrêmement rares où la boisson peut l'emporter sur la raison. Alexeï est également quelqu'un de drôle et de charismatique, sans qu'il ne le fasse pourtant exprès. Sa personnalité rayonnante et sereine suffit à attirer les gens vers lui, en plus de la curiosité que son statut de gitan blanc comme la neige qui concentre souvent tous les regards. Il vit au jour le jour, se souciant très peu du lendemain et ne s'occupant que de lui et de ceux qu'il aime.
  • Défauts : Plus têtu qu'un mulet, Alexeï est buté jusqu'à l'os et ne change jamais d'avis. Dès qu'une idée s'insinue dans son esprit, il ne la quitte plus. Son humour se mue souvent en sarcasme ou en ironie, ce qui peut le rendre désagréable dans ses plus mauvais jours. Il est curieux à l'extrême. Parfois, il s'isole un long moment et s'adonne à une vie solitaire et silencieuse, son attitude contrastant soudain avec son habituelle vivacité et joie de vivre. Enfin, le jeune homme est susceptible et n'accepte la critique qu'à petites doses. Une insulte au mauvais moment suffit à déclencher une virulente bagarre.
  • Goûts, intérêts, passions : Alexeï n'a pas vraiment de passion, mais il est suffisamment curieux pour s'intéresser à toutes sortes de choses ; la musique, qu'il pratique sur une flûte en bois, la danse qu'il préfère regarder que pratiquer, et tous les arts auxquels s'essaient les gitans comme lui sur les places publiques. Mais il commence également à s'initier à la lecture pour lire de la poésie. Il parle plusieurs langues à force de voyages et aime rencontrer des gens venus des quatre coins du monde. Il voue enfin une tendresse particulière, presque paternelle pour son singe Louis qui est tout le temps perché sur son épaule.
  • Particularités : -
  • Signe Distinctif : -

    Historique


  • On pourrait commencer par dire qu'Alexeï n'a pas de famille. Enfin, tout dépend de votre conception de la famille. Si vous parlez de géniteurs, de femmes qui souffrent en se libérant d'un fardeau ou de pères parfois inconnus qui n'ont souvent aucune notion des conséquences qu'un acte de pur assouvissement bestial peut avoir, alors Alexeï ne connaît pas la sienne. Son souvenir le plus lointain se situe dans une sombre forêt enneigée, où, solitaire et minuscule, il lui sembla errer durant des jours entiers. De temps en temps, en rêve, le visage impassible d'un homme maigre à la barbe rousse lui revient en tête ; ces nuits-là, il se réveille toujours en sursaut, de la sueur sur les tempes et l'impression écœurante que ses tripes veulent sortir de son corps. Si par famille, vous voulez parler de ceux qui ont abandonné le petit Alexeï au bord d'une route une froide nuit de décembre, alors vous n'en saurez rien.

    Alexeï s'est déjà plusieurs fois demandé ce qui avait pu mener des parents à laisser un enfant à peine sorti de l'état de nourrisson face à sa mort. Plusieurs hypothèses se sont déjà présentées dans son esprit ; peut-être était-il un enfant de trop dans une famille très nombreuse, et qu'il représentait une bouche à nourrir inutile et superficielle. Peut-être était-il le fruit d'un amour interdit qu'on avait arraché à sa mère pour préserver l'honneur d'une famille. Peut-être tout simplement qu'on ne voulait pas de lui. La vie était rude dans les Carpates, les hivers froids, les étés trop secs... Abandonner un enfant, c'était monnaie courante. Beaucoup mourraient de froid en hiver, de faim en été. Certains étaient dévorés par des loups. On raconte même que des créatures de la nuit s'emparaient des enfants laissés-pour-compte pour se nourrir de leur sang et garder une jeunesse éternelle...

    Non, ces gens-là ne sont pas la famille d'Alexeï. La seule chose qu'il leur doit, c'est de lui avoir permis de croiser le chemin d'une roulotte alors qu'il était à l'article de la mort. Car c'est dans cette maison sur roues qu'il revint à la vie.

    Des bohémiens – des Egyptiens – venaient de quitter le village le plus proche et, bloqués par la tempête de neige, avaient établi leur campement dans une clairière à quelques mètres de la route qui traversait la forêt. Les hommes étaient partis chercher du bois pour alimenter leur feu, l'un d'eux avait découvert le corps d'Alexeï gisant dans la neige, et s'était empressé de le secourir. Il l'emmena dans la roulotte. Une fois revenu à lui, l'une des femmes présentes, couvertes de peaux d'animaux inconnus et de bijoux étincelants, se chargea de lui faire boire plus de soupe qu'il n'en était capable. Les bohémiens tentèrent de savoir d'où venait le petit garçon, mais leur langue musicale était inconnue du jeune slave qui se contenta de répéter son prénom comme une litanie. Il le gardèrent avec eux. Au village voisin, quelques jours plus tard, ils cherchèrent ses parents sans les trouver. On raconta plus tard à Alexeï qu'on avait songé le laisser dans ce village pour que quelqu'un l'élève, mais la bohémienne qui l'avait veillé s'y était fermement opposée. Ils décidèrent alors de le prendre sous leur aile.

    Le petit garçon devait avoir à peu près trois ans quand il fut trouvé dans la neige, et bien qu'il parlât le dialecte de ses origines, il apprit très vite à maîtriser la langue des Bohémiens. Ceux qu'il considéra aussitôt comme ses parents furent ceux qui l'avaient sauvé. Lui se nommait Rodrigue, mais tout le monde l'appelait le Velu, à cause de l'impressionnante barbe noire qu'il arborait fièrement, ainsi que ses immenses moustaches dont les pointes bouclaient. Elle, c'était Mama Nita, qui veillait sur toute sa caravane plus sûrement qu'une cuisinière sur ses réserves de nourriture. Tous les deux bons vivants et rieurs, il rendirent rapidement la joie de vivre à Alexeï qui réussissait à converser avec eux dans une langue teinté d'accents slaves.

    Deux années plus tard, Alexeï parlait la langue de sa troupe, mélange d'espagnol, de français et d'arabe, mais pouvait toujours parler le dialecte de ses origines, ce qui s'avéra parfois utile lors de leurs voyages. Il s'était parfaitement intégré à la vie dans les roulottes et avec son meilleur ami, Diego la Puce, ils montaient de petits numéros d'amusement bien à eux et commencèrent à gagner leur pain. Rodrigue éduqua Alexeï comme ses deux autres fils, déjà adultes à cette époque, et lui enseigna les valeurs qu'il considérait comme les plus essentielles à la vie du voyage : la fierté, l'honneur, la fidélité, le mérite. Le jeune garçon recevait son pain comme d'autres reçoivent leur paie, et il était récompensé quand il avait fait quelque chose de grand. La volonté de tout faire pour faire la fierté de son père d'adoption guidait Alexeï mieux que la menace d'un martinet.

    Durant toute son enfance, les roulottes firent le tour de l'Europe, traversèrent l'Espagne, écumèrent les places ensoleillées des villages du Nord de l'Afrique. Alexeï grandit en se remplissant l'âme d'odeurs, de couleurs, de gens, d'histoires, de langues et de cultures plus différentes les unes que les autres. Parfois, la volonté de découvrir l'ailleurs était si forte qu'il disparaissait plusieurs jours sur les terres environnantes pour voir de lui-même à quoi ressemblait la vie dans ce coin-ci du monde.

    Léger et souple, on lui fit quitter son costume de petit amuseur pour endosser celui plus sérieux d'acrobate, rôle dans lequel il excella. A l'âge de dix ans, il égalait même Gildo Tordu, de quinze ans son aîné. Quand Alexeï apprenait qu'ailleurs, les jeunes gens de son âge passaient leurs journées dans les champs à retourner une terre stérile, il se sentait aussi privilégié que ces princes qui paressent dans d'immenses châteaux. Car sa maison à lui n'avait ni frontières, ni barreaux. Certes, la vie de gitan n'est pas facile ; s'il y a des gens qui vous apprécient, beaucoup vous dénigrent et vous considèrent comme une espèce de parasite. La quantité de pain qu'on avalait dépendait du nombre de bonnes âmes qui auvaient sacrifié quelques sols et de la quantité d'or contenu dans les quelques bourses dérobées aux passants. Mais la beauté des voyages en valait la peine.

    A l'âge de douze ans, cependant, Alexeï commença à se demander à quoi pouvait ressembler la vie d'un gitan sédentaire. Il avait déjà entendu parler de la Cour des Miracles de Paris, ville où sa troupe rechignait à s'arrêter car la concurrence des autres saltimbanques y était très rude. Ils se considéraient de plus comme d'honnêtes gitans, ne volant que les gens mauvais ou trop riches, méritant leur nourriture et ne faisant jamais de mal à personne. La Cour des Miracles était trop sale et trop mal fréquentée, selon leurs dires ; ils avaient même réussi à empêcher Alexeï de s'y rendre lors de ses fugues à répétition. Néanmoins, le jeune homme à la peau claire décida qu'il jugerait un jour de cela par lui-même.

    Dès lors, l'idée de quitter la vie en roulotte pour tenter sa chance dans la capitale la plus riche du monde s'empara de son esprit et ne le quitta plus. Rodrigue et Nita n'obligeaient personne à rester avec eux ; ils respectaient trop la liberté de chacun pour enchaîner qui que ce soit à leur troupe. Alexeï rêvait de tenter sa vie ailleurs ; les bohémiens avaient déjà tant fait pour lui qu'il ne s'imaginait pas profiter de leur bonté trop longtemps. A l'âge de quatorze ans, il fit part de sa décision de quitter la roulotte à Rodrigue, mais lui promit qu'il reviendrait avec assez d'or pour qu'ils puissent danser uniquement pour le plaisir. Le Velu ferma les yeux et soupira.

    « Si tel est ton souhait », avait-il murmuré.

    Un an plus tard, Alexeï arriva à Paris. Il découvrit alors des choses dont il avait entendu parler sans jamais les voir ; la cupidité, la luxure, les hiérarchies, l'envie, la gourmandise, les prostituées et les hommes gras et laids qui les entretenaient, la vie sur les pavés froids et répugnants de saletés. Il réussit cependant à s'intégrer à la vie dans la Cour des Miracles, et une fois les illusions perdues, s'attela à respecter sa promesse. Accompagné de Louis, petit macaque apprivoisé depuis quelques années, il fit le tour des places de Paris en répétant ses numéros. Son charme, son accent peu commun, ses yeux turquoise et surtout sa peau pâle lui rendaient la vie plus facile qu'aux autres saltimbanques, et il put vite se targuer d'avoir toujours de quoi s'acheter à manger.

    Alexeï découvrit les femmes et le plaisir qui leur est lié, il n'en aima aucune tout en en aimant beaucoup.

    Il a désormais dix-sept ans, garde toujours sa bourse autour de son cou, sous sa chemise, et dort la main sur son poignard. Car s'ils sont tous des bannis dans cette place, beaucoup sont des bannis cupides... Il n'a pas d'amis, peu de connaissances et ne fait jamais parler de lui, sauf dans la bouche des quelques femmes qui admirent son allure cosmopolite et exotique.

  • Objectifs et possibles évolutions : Alexeï n'a pas d'objectif précis, à part réussir à amasser beaucoup d'argent comme il l'a promis à Rodrigue. Mais qui sait ce qu'il advient d'un homme quand il croise le regard d'une femme...?

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MessageSujet: Re: Alexeï "La Plume"   Alexeï "La Plume" EmptySam 7 Mar - 14:34

Très jolie fiche qui décrit bien la façon de vivre des bohémiens.

Si j'ai bien tout compris tu as été abandonné à l'âge de 3 ans, il est étonnant que des parents si peu tendres n'aient pas été tentés de te laisser mourir à ta naissance mais tu exprimes très bien le fait qu'un bébé ne puisse pas se souvenir de ce qui fut sa vie de nourrisson.

Pour le tatouage il aurait été sympa que l'on sache sa représentation, car je ne doute pas qu'elle soit importante. Peu de personne étaient tatoués à cette époque si ce n'est les étrangers comme les égyptiens par ailleurs.

Bon tout ça pour dire que tu es validés, Miracle te dira si elle voit autre chose à dire, ce qui pourra auquel cas être changé après validation .

Bon jeu à toi fils de la forêt !
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MessageSujet: Re: Alexeï "La Plume"   Alexeï "La Plume" EmptySam 7 Mar - 16:58

Merci beaucoup...! Si cela gêne vraiment je peux ajouter quelques détails, comme l'histoire de mon tatouage ou la façon dont je est tombé sur mon petit Louis... Choses que j'ai un peu laissées en plan, trop occupé à dresser les grandes lignes. Mais ce sera fait! Quand à ma vie de nourrisson... Etant donné que je ne sais pas moi-même ce qu is'est passé, je ne peux pas trop m'expliquer sur ma survie de trois années...

En tout cas merci pour ce forum original qui va me permettre de m'échapper un peu de mes rôles habituels!
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MessageSujet: Re: Alexeï "La Plume"   Alexeï "La Plume" EmptySam 7 Mar - 17:04

Mais de rien, mais de rien Embarassed

Je n'ai aucune remarque, nickel !
Bienvenue ^_^
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MessageSujet: Re: Alexeï "La Plume"   Alexeï "La Plume" Empty

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