Mabel Adamaris Madelyn, la grande joueuse de dupe [En cours]

Identité

Nom : Madelyn
Prénom(s) : Mabel Adamaris
Sobriquet : Jusqu’à présent Mabel était considéré comme un prénom suffisamment court pour ne pas nécessiter de surnom. Cependant cela changera peut-être.
Âge : 25 ans.
Origine : Espagnol
Rang : Gitane / Grande joueuse de dupe
Profession : Charlatans.
Parti : Royaliste.

Physique
Yeux : D’un vert éclatant, ils semblent être un héritage familial. Sa mère, sa grand-mère et sa sœur ont les yeux verts. Ils ressortent de façon étonnante sur son teint mate, offrant ainsi un regard des plus saisissants aux interlocuteurs de la jeune femme.
Cheveux : Etant trop épais pour former une coiffure convenable et durable, ses cheveux d’ébène sont souvent lâchés. De longueur moyenne, ils lui tombent quelques centimètres en dessous des épaules.
Taille/Poids : Il y a des femmes plus petites et d’autres plus grandes, Mabel se situe sûrement dans la moyenne. Quand à son poids, il reste proportionnel à sa taille.
Description physique : La première chose que l’on remarquera chez la jeune femme, notamment à la cour des miracles, c’est le soin qu’elle apporte à son apparence. Si Mabel ne peut s’habiller de robes richement parées et de bijoux scintillants, compter tout de même sur elle pour dénicher les meilleures affaires et les faux les plus réalistes. D’après elle, la beauté est le meilleur atout d’une femme et n’importe quelle femme peut paraître belle si elle sait se mettre en valeur, et en ce qui concerne ce détail, Mabel a compris comment faire sûrement aussi bien que le ferait une courtisane.
Particularités : Elle est subtilement habile en matière de déguisements.
Signe distinctif : //

Mental
Qualités : Joyeuse et agréable sont sûrement ses plus grandes qualités. Mabel est une amie fiable avec qui l’ont peu rire et discuter. Elle a aussi ce petit côté maternel et protecteur qui fait que l’on peut souhaiter se confier à elle. De plus elle paraît si sincère quand elle promet de garder ses secrets… C’est aussi une femme forte à laquelle il faut plus d’un coup dur pour sombrer. Au contraire les épreuves ne font que la motiver dans ses ambitions et lui apprennent à maîtriser encore mieux ces talents. Une autre capacité, lui étant bénéfique étant certainement le fait qu’elle sache autant séparer la vision qu’elle donne d’elle aux gens qui l’entoure que celle que ces derniers pourraient avoir de la grande joueuse de dupe. Au point que jamais, on ne soupçonna qu’elles ne fassent qu’une. En espérant que cela dure.
Défauts : Certainement un brin trop ambitieuse, elle ne met peut-être pas son intelligence au service de ce qu’il faudrait. Mabel rêve de pouvoir et de richesse. Elle ne supporte la pauvreté et être considéré comme une personne sans importance. Alors pour assouvir ses envies, elle a appris à se jouer des gens, et ceci est devenu un amusement sans fins pour elle. Beaucoup de ce qui la connaisse en tant qu’ami ne pourrait imaginer son véritable fond. Plutôt hypocrite donc, elle n’aime pas que les gens se mêle de sa vie privée, c’est peut-être une des raisons pour lesquels elle préfère les animaux. Ca voit et écoute, mais ne parle pas.
Goûts, intérêts, passions : Une véritable passion pour les jeux quels qu’ils soient. Et ce qu’elle aime surtout c’est gagner. Elle est prête à tout pour cela. Manipulations, mensonges et déguisements étant ses armes favorites. Sinon elle aime particulièrement le soleil, la mer et la chaleur, des choses qu’elle ne trouve pas à la cour des miracles.
Particularités : Elle aime faire planer le doute autour d’elle, mais gare au curieux qui s’égare trop. Elle est la grande joueuse de dupe et cela personne ne doit le savoir. Quel que soit le prix à payer, Mabel ne reculera devant rien pour garder son secret sous silence.
Signe Distinctif : Selon Mabel ou la grande joueuse de dupe, son caractère change du tout au tout.

Historique
Famille : Sa mère, Catalina Madelyn. Aujourd’hui âgée de 48 ans, cette femme n’espère plus rien de la vie. Nostalgique et toujours triste, cette femme exaspère de plus en plus Mabel qui ne la comprend pas, qui ne l’a jamais comprise d’ailleurs. Lors des courts échanges qu’elles ont, Catalina finit toujours par dire que Mabel a hérité de l’égoïsme de son père.
Sa sœur cadette de cinq ans, Roxana. Cette dernière acrobate dans les rues et pleine de rêve et d’espoir quand à l’avenir. Elle voit le monde meilleur qu’il ne l’est et est persuadée qu’à force d’entraînement, elle arrivera à vivre e façon correcte de son art. A savoir qu’elle aimerait rejoindre un grand cirque. Mabel aime beaucoup sa petite sœur bien qu’elle lui reproche d’être trop rêveuse et de trop se contenter de ce qu’elle a.
Enfance : Mabel ne garde guère de bon souvenir de son enfance. A un âge, où elle était encore trop jeune pour se prendre elle-même en charge, elle fût contrainte de suivre sa mère, au caractère bien trop faible pour les empêcher de tomber dans la misère sa sœur et elle, ni même la convaincre de rester en Espagne.

Que sa mère n’est su garder son père ni le convaincre lui de les garder toutes les trois, elle aurait pu le lui pardonner. Après tout son père était aussi en faute. Non capable déjà d’assurer à sa famille un confort matériel qu’il était censé donner, de par ses promesses faîtes le jour même de son mariage, il était assez égoïste pour disparaître en les laissant derrière. Mais après tout, pourrais t’on dire, il a vu une occasion de sauvegarder son avenir avec cette dame de bonne lignée, mais cela était inenvisageable avec une femme et deux enfants. Alors il était parti, sans prévenir et sans explications. Peut-être la mère et ses filles auraient dû se réjouir qu’il ne les ait pas assassinées dans leur sommeil pour être certain de ne plus avoir de point de retour. Mais non le meurtre n’était pas pour les hommes de la trempe du père de Mabel mais le vol oui. Il partit avec les dernières possessions, notamment des bijoux, que possédait sa mère.

Cependant, il fallu que sa mère n’est en plus pas suffisamment de fierté pour rester dans ce petit village qu’elle habitait depuis près de quinze ans. Si Mabel avait été plus âgé, elle n’aurait pas été surprise des réactions de sa mère. Cette dernière n’avait jamais su faire face aux regards des autres femmes du village. Elle s’était toujours sentit responsable de tout et c’est aussi ce que considérer les autres femmes. Sur cinq enfants, trois était mort né et aucun n’étaient des garçons. Au fond beaucoup ne s’était pas étonné que le mari soit parti la laissant derrière. Il n’avait certes pas fait les choses dans les normes, mais c’était compréhensible.

Catalina Madelyn préféra quitter l’Espagne. Elle n’osait pas aller dans un autre village ou dans une grande ville d’Espagne, persuadée qu’elle portait sur elle l’abandon de son mari et son incapacité à faire des garçons. Elle alla donc en France, le pays le plus poche et plus particulièrement elle erra jusqu’à Paris où elle vînt s’enterrer dans la cour des miracles. Si Mabel n’avait pas si mal prit la faiblesse de sa mère peut-être aurait-elle pu accepter cette arrivée dans ce lieu sale et sombre. Mais, non, la mer, le soleil et la chaleur lui manquait trop.

Mabel Avait 13 ans quand elle arriva à la cour des miracles.
Adolescence : C’est à l’adolescence que Mabel décida de prendre les choses en main. Du moins en ce qui concernait son avenir à elle. Il était hors de question que comme sa mère elle ne survive que grâce à des petites tâches à droite et à gauche, qu’elle s’éreinte au travail pour quelques deniers. Mabel voulait plus et elle se faisait un devoir d’avoir plus.

Mabel errait dans la cour de nombreuses heures par jour dans le but de trouver un jour le moyen de se démarquer des autres. Elle passa plusieurs années à chercher ce qui lui permettrait de mener plus ou moins la vie qu’elle voulait. Elle observa le mode de vie des gens de la cour cherchant si l’un d’eux pourrait lui convenir. Tous y passèrent : les mendiants, certes étaient de parfait comédiens pour certains d’entre eux, mais jamais la jeune femme pourrait se faire aussi miséreuse, trop de fierté sans doute pour s’asseoir sur le sol dans la crasse et tendre la main en suppliant. Les saltimbanques étaient doués, ils savaient faire des choses incroyables, certain possédaient une agilité incroyable, d’autre domptaient les animaux les plus inattendus, mais ils étaient nombreux. Se démarquer les uns des autres devenaient difficile. De plus être saltimbanque demandait un travail quotidien important pour rester au sommer de son art, tout ça pour quelques applaudissements et quelques sous. Non ça ne valait pas la peine. Les filles de joies et les courtisanes savaient user de leur beauté, un atout principal, ainsi que d’autres savoirs divers pour la plupart. Les courtisanes étaient relativement bien payées et les filles de joies disposaient de la protection de la maquerelle. Mais jamais Mabel ne pourrait même songer à ce métier. Il y avait bien sûr les mercenaires. Fort et sans remord, ces derniers se faisait payer pour prendre des vies. Ils étaient autant crains que respectés, mais rester cachés de tous sous peine d’être un jour emprisonnés ne plaisait guère à la jeune femme. Les charlatans furent ceux qui plurent le plus à Mabel. Certains les disaient menteurs et voyous, ceux qui étaient certes vrai, mais du point de vue de Mabel, les coupables étaient tout autant ceux qui se faisait piéger, que les charlatans. Après tout si on se fait tromper, c’est notre faute, nous n’avons pas été assez suspicieux, tant pis pour nous.

C’était bien décidé, la jeune fille trouverait le moyen de berner les gens. Leur revendre des produits trois fois plus chers que ce qu’ils valaient réellement étaient le meilleur moyens de récupérer quelques sols rapidement. Tout ce que cela demandait était de l’observation, pour savoir à quel type de personne on a affaire et de l’ingéniosité pour trouver des mensonges qui sembleraient réels, et çà la jeune fille avait sûrement entendu de tout depuis qu’elle était à la cour. Se montrer imaginative ne serait pas des plus compliqués. Non, le plus dur serait de tenir le mensonge face aux questions des plus suspicieux. Mais Mabel s’y employa du mieux qu’elle le put.

Le « métier » de Mabel ne plaisait guère à sa mère qui avait fini par deviner que sa fille ramenait de l’argent gagné en trompant les autres, mais comme le lui avait dit Mabel, Catalina n’avait pas les moyens de s’offrir le luxe de refuser cet argent. Puis dans un lieu tel que la cour des miracles où luxures et mœurs indécentes ne cessent de se faire plus importants, la tromperie n’a guère d’importance. Cependant, à 20 ans, Mabel eu vent d’une rumeur des plus intéressantes. Une rumeur qui parlait d’une femme dont tout le monde ignorait le visage et le nom que l’on surnommait la grande joueuse de dupe. Une femme qui réussissait à tromper tout le monde sans jamais se révéler. Menant certes une vie cachée comme les mercenaire, mais qui à côté devait avoir une vie normale, comme celle des autres.
Plus Mabel s’intéressait à cette rumeur, plus l’envie de découvrir qui se cachait derrière cette femme mystérieuse se faisait grande. C’est en secret et en silence sue Mabel se jura de découvrit qui était cette femme et de prendre sa place.
Jusqu'à nos jours : Découvrir la grande joueuse de dupe ne fût pas évident, Mabel mit trois ans à y réussir. Pendant trois ans, elle usa de tous ce qu’elle avait pu apprendre de la cour. La comédie des mendiants, la beauté des prostituées, l’agilité des saltimbanques, l’absence de remord des mercenaires et l’ingéniosité des charlatans. Tout était bon pour l’aider dans son but.

La jeune femme apprit aussi à se déguiser, à paraître ce qu’elle n’était pas. Pour obtenir les instruments qui lui seraient nécessaire, le vol fût souvent une option utile, mais Mabel cachait son jeu. Elle devait être discrète, personne ne devait savoir qu’elle cherchait la grande joueuse de dupe. La jeune femme agissait souvent auprès des ivrognes, dont les langues se délient facilement, mais dont l’esprit s’embrouille tant et si bien qu’il ne se souvienne de rien le lendemain. Elle agissait à intervalles irréguliers et espacés, que les plus malins l’oublient, et jamais elle ne cessa ses activités précédentes, jamais elle ne parla de ses projets. Il n’était pas question qu’elle échoue.

Le défi était de taille et Mabel s’en réjouissait. Trouvait et battre la grande joueuse de dupe, prendre sa place signifiait de devenir la grande joueuse de dupe. Une personne inconnue mais dont tout le monde parlerait. Protégée par une double identité, la jeune femme n’aurait pas à craindre de sortir tous les jours de continuer à mener ses activités comme bon lui semblerait.

Et Mabel y réussit. Elle éclipsa l’ancienne grande joueuse de dupe au terme d’une guerre silencieuse qui se déroula dans l’ombre. Personne ne le sut et personne ne le saura jamais. Les rumeurs n’ont toujours parlait que de la grande joueuse de Dupe, mais qui pourrait deviner le nombre de femme s’étant succédé à ce poste. Mabel n’est dorénavant que la suivant de l’ancienne mais pour tous, elle est la seule grande joueuse de Dupe. Mais Mabel n’est pas naïve, elle sait qu’un jour, une autre femme souhaitera devenir la grande joueuse et qu’un nouveau combat éclatera entre Mabel et cette inconnue, aussi la jeune femme n’oubliera jamais de rester prudente sous ses couverts de grande joueuse de dupe.
Objectifs et possibles évolutions : Mabel est ambitieuse, elle espère bien modifier son statut que ce soit au sein de la cour des miracles qu’aux yeux de la société en général. Mais pour le moment, intégrer la cour du Roi de la cour des miracles lui semble un objectif suffisamment audacieux. Elle fera ce qu’il faudra pour cela et compte bien user de son ingéniosité et son manque total de remord pour y réussir.
Mais elle espère bien pouvoir un jour retourner vivre en Espagne comme étant une grande dame. Mais elle sait le destin joueur et elle est toute prête à commencer la partie.

Hors Jeu
Pseudo : Evanna, Calysta …
Autre(s) Personnage(s) ? Aucun pour le moment ^^ On verra plus tard.
Comment avez-vous connu ce forum ? Par une pub faîte pas « Au temps d’Avalon » sur un autre forum où je suis.
Une suggestion ?

Non aucune, j’aime beaucoup le design. Bien agencé avec de jolies images et de jolies couleurs. C’est grâce à lui que je me suis intéressé à l’histoire ^^.

Bonjour Mabel,
Je suis désolée mais j'ai fait une erreur en validant ton rang

La Grande Joueuse de Dupe est dans les "Charlatans", tu dois donc avoir un métier de Charlatans, pas de Saltimbanques... C'est de ma faute, j'ai pas fait attention quand tu as demandé ton rôle Embarassed

Si tu veux garder ton rôle au sein des Saltimbanques, tu peux faire partie des "Vétérans" (qui ne sont pas forcément gâteux, juste qu'ils ont plus de 30 ans Razz

)

Citation :: Chez les Saltimbanques

Les Vétérans
Rôles à prendre-3 places-

Au nombre de trois, les Vétérans sont parmi les plus habiles et pour cela, il faut de l'expérience. C'est ainsi que, souvent, ils ne sont pas très jeunes (environ 30 ou 35 ans). Il arrive rarement qu'il s'agisse d'ailleurs de trois hommes, car les femmes Saltimbanques savent charmer, et c'est ce qui leur donne du pouvoir : plus les aspirants Vétérans peuvent subjuguer leur public, et plus ils ont de chance d'être désigné. C'est la foule qui élit ces chefs, par le bruit que font leur encouragement et leur applaudissement. Les Vétérans changent donc plutôt souvent, le peuple aimant le changement de spectacle.

Voilà j'ai modifié et terminé ma fiche ^^

Je ne suis pas vraiment entrer dans les détails en ce qui concerne l'histoire, si jamais il y a besoin d'étoffer une partie ou une autre, je le ferais ^^

Hé bien Mabel, ta fiche est bonne désormais !
Il reste pas mal de fautes (notamment des étourderies entre "ceux" et "ce" ou des "est" au lieu de "ait" etc...), mais rien qui m'empêche de te valider ^_^

Je te souhaite bon jeu parmi nous et t'encourage à voter sur les top sites et Tour de jeu ^.~

Tu peux débuter le Rp dès que tu veux !
Et également faire la demande d'inscription sur Le Boudoir Wink

Ho voilà notre menteuse officielle ^^
Bienvenue à toi ma jolie !

Merci beaucoup ^^

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