Eliphaz Bengourion

Rappel : Aucune fiche ne sera lue sans qu'une demande de rôle ait été faite et accordée par un membre de l'équipe administrative !ICI

Identité

• Nom : Bengourion
  
• Prénom(s) : Eliphaz
  
• Sobriquet :le Youpin, le Juif… je me souviens d’un qui m’avait traité de « Antéchrist » l’imagination humaine est fertile…
  
  
• Âge :53 ans
  
• Origine :: Certains veulent que je ne vienne pas de chez eux, mais non non non, je suis bien né à Paris…
  
• Rang :Sire Eliphaz Bengourion… la bonne blague ! Ou bien, Manuelo y Esteban Bengourion… Bon, je crois que je suis définitivement un va-nu-pied.
  
• Profession :
  
  Mon métier, c’est de vendre tout ce qui s’achète ! Vous voulez quelques fleurs ? J’en ai ! Vous voulez une lame pour une affaire d’honneur à régler discrètement ? J’en ai ! Vous recherchez la femme de votre vie ? J’en ai !
  J’exerce l’honorable profession de marchand libre. Camelot quoi. Et Entremetteur en plus (c’est même mon activité principale! L’amour est aveugle et ne regarde pas ce qu’il donne…)
  
  
• Parti :Avec les royalistes, je suis royaliste, avec les bohémiens, je suis bohémien, et tout le monde il est content ! Bon vu le peu de contrôle que l’on exerce sur moi, je peux dire que je suis un peu bohème.
  
  
  Physique
  
  
  
• Yeux :Bon j’admets que je ne suis pas spécialement un apollon, mais pour les yeux, c’est comme même le pompon. Déjà, ils ont une forme bizarre, mais en plus, je louche de l’œil droit ! Alors tant mieux vous me direz, il faut pas être trop beau quand on est entremetteur, il faut toujours que le prétendant ait l’air d’un soleil resplendissant à côté de tant de laideur, mais tout de même, Yawhé a sacrément forcé.
  
• Cheveux Sales. Je vous l’ai dit, faut pas être trop beau ni trop parfumé quand on présente un damoiseau et ce principe là, on peut dire que je l’ai acquis ! J’ai les cheveux gris sales, assez souvent mal peignés. Evidemment, quand je dois aborder une fille de bonne naissance (traduisez une bourgeoise) miracle, je retrouve l’usage du savon, du rasoir et du peigne !
  
• Taille/Poids :Ce que toutes les femmes recherchent, c’est un prince charmant svelte et musclé. Autrement dit, elles me regardent, et elles veulent exactement l’inverse de ce qu’elles ont sous les yeux. Je suis petit, avec mon petit mètre soixante tout juste (un médecin l’a vérifié, je lui avais vendu casé sa fille) et avec une délicate et charmante petite bedaine toute ronde ! Et oui, moi au moins je mange ! Non mais… Mon poids ? Non mais dites ! Demande-t-on son âge à une dame ? Ben c’est pareil ! On ne demande pas son poids à un petit gros !
  
  
• Description physique : Et bien, je crois que tout à été dit… Le secret dans le métier d’entremetteur (qui est mon activité la plus rentable) c’est de jouer la personne insignifiante, celle qu’il sera facile d’oublier une fois l’affaire conclue, et également de servir de faire-valoir au bellâtre prétendant. Mon ancienne épouse me disait fréquemment que j’étais laid, mais bon, mon ancienne épouse me trompait avec tout le monde, y compris les chiens du voisins alors… au moins ca m’a évité de lui payer une pension.
  D’accord, je louche, je suis bedonnant, mais je sais pas pourquoi, les gens continuent de me faire confiance ! Ils viennent me voir tout embarassés « Monsieur Bengourion, pourriez vous m’arranger… » et Monsieur Bengourion arrange tout. Je dois ressembler à un grand père en fait, avec ma grande barbe, mes cheveux gris et blancs. Un gentil grand père bienveillant, avec son petit bedon paternel…
  
  
• Particularités :
  
• Signe distinctif :Je louche de l’œil droit, mais prouvez le ! Tant que je ne l’ai pas vu…
  
  
  Mental
  
  
  Acte 0, scène 0
  La cour des Miracles, l’entremetteur est en train de vendre un assortiment de parfums et de bouquets de fleurs, un jeune noble bien sapé l’aborde.
  Le noble – Hélas monsieur, je suis à la recherche d’un sauveur, et on vous a recommandé.
  L’entremetteur – Voilà qui est flatteur, et je ne peux qu’être heureux de rendre service à quelqu’un d’aussi bien tourné que vous.
  Le Noble – Ma dame est retenue par son père, qui l’empêche de la voir, et j’ai besoin d’aide pour pouvoir toucher son cœur.
  L’entremetteur – Quel est donc le nom de celle qui as mérité votre amour ?
  Le Noble –Juliette
  L’entremetteur – Que de poésie dans un seul nom, en l’entendant, je crois voir un champ de fleurs au début de l’été, alors que la nature est encore verte et vivante, dans lequel il est agréable de faire des farandoles et des cabrioles, tels un berger et sa bergère. Avez-vous un message tout préparé à lui transmettre ?
  Le Noble – Le voici, elle habite sur la Rive Gauche, à l’hôtel particulier des Capucets. Prenez ce billet.
  L’entremetteur – Je chérirais ce poulet comme ma propre vie.
  Le Noble – Ah monsieur, si vous saviez quelle épine vous me tirez du pied. Je vous prie de garder le secret bien entendu.
  L’entremetteur – Je jure sur la tombe de mes ancêtres que votre secret ne filtrera pas mes lèvres, si je pouvais néanmoins avoir une quelconque compensation, afin que mes ancêtres ne se retournent pas dans leurs tombes.
  Le Noble – Bien sûr, prenez. Vous respirez l’honnêteté, je n’en ferai pas autant avec un juif.
  L’entremetteur – Ah oui ?
  Le Noble – Hélas il n’est rien dont je me défie davantage que les juifs. Ils ne sont pas honnêtes. Imaginez que je confie cette mission à un juif, il ne se passerait pas deux heures avant qu’il n’ait vendu la mèche. Au fait monsieur comment vous appelez vous monsieur ?
  L’entremetteur – Eliphaz Bengourion. Shalom, monseigneur.
  
  Voilà, c’est tout moi ça. J’ai ce qu’on appelle poliment du bagout, une langue bien pendue. Que voulez vous, mon langage, c’est mon outil de travail. Mon métier, c’est de faire croire aux imbéciles aux gens qu’ils ne sauraient vivre sans ce que je leur propose. Je dois rendre beau l’homme laid, et rendre désirable la femme insipide. A ce jeu là, je suis plutôt bien pourvu, avec un vocabulaire imagé et poétique, nourri des textes de la Torah (notamment le cantique des cantiques) et de la poésie populaire. J’aime bien tout exagérer, jouer le surpris (Quoi ? Elle n’était pas comme vous l’aviez imaginé ? Ooooooh!).
  
  
• Qualités :Je suis un vrai magicien. Une fille moche, acariâtre, qui ne sait rien faire, quand elle passe à travers ma bouche, elle devient une princesse certes légèrement capricieuse, mais cela prouve qu’elle est une princesse. De même un homme bossu et borgne (si si je vous assure, j’ai réussi à refourguer à caser ca une fois ! d’accord la fille était moche aussi) et bien il devient un prince charmant qui a subi un ou deux désagréments de naissances. Grâce à moi, près de plusieurs dizaines de couples ont connu l’amour parfait… pendant au moins deux mois, mais bon j’étais plus là moi.
  
  Et puis un truc de génial, c’est que je suis toujours d’accord avec tout le monde, ceux qui viennent vers moi manquent de confiance en eux alors je vais pas leur dire en face qu’ils sont incurables… et je comprends toujours pas pourquoi ils trouvent quelqu’un. Enfin tant que je touche ma commission hein, vive les nouveaux mariés ! Bref, je suis trèèèès conciliant.
  
  
• Défauts :Enfin conciliant, en apparence. Je peux sans problème m’incliner mielleusement d’un côté et leur péter dessus quand ils ont le dos tourné. En fait, je fais que ce que je veux point. Je suis capable d’être obséquieux, mielleux, on n’appâte pas les mouches avec du vinaigre que diable ! La seule chose qui me fait marcher c’est l’argent au final. C’est triste hein ? Ne le dites pas à mes clients, ils sont persuadés que je le fais par élan humanitaire ! Je sais très bien jouer mon rôle de faire valoir, mais alors qu’est ce que je les brocarde ! Je crois que c’est dans mon sang de rire de tout. Je suis juif vous savez.
  
  Après, je me souviens d’un gars qui m’avait traité de « filou ». Mais pas du tout, je sais juste discerner le moment où il faut se défiler, où les causes sont perdues et qu’il faut se retirer si on ne veut pas trop se roussir le derrière. Et puis, qu’est ce qu’ils croient, qu’il suffit de s’asseoir pour que tout vous tombe dans le bec ? Mais non ! Il faut toujours chercher de nouvelles combines façons de gagner de l’argent. Ca vient pas tout seul ! Une fois qu’un couple est marié, il faut en inventer un autre ! Et oui ! Et puis bon, j’ai un petit accord avec la Maquerelle, ca m’arrange pas mal. Mais bon, vous le savez pas hein ?
  
  
• Goûts, intérêts, passions :Bon, je suis juif. En fait je suis juif un jour par semaine, le jour du Sabbat. Là, c’est fou, mais alors je suis super croyant ! Je me repose ! Bon avec une mère comme celle que j’ai eu, on ne peut pas ne pas complètement oublier Yawhé. Je me rappelle de la fois où elle m’a frappé avec un exemplaire de la Torah, et ben ca m’a fait mal. Je me rappelle particulièrement du Cantique des Cantiques, je sais pas pourquoi ca m’avait marqué. Ma mère trouvait ce livre particulièrement érotique, mais comme il a été écrit par Salomon…
  
• Particularités :Double jeu moi ? Oooooooh !
  
  
  
  Historique
  
  
• Famille :
  
  Je suis né dans une famille de quatorze enfants. Pourquoi quatorze ? Ben en fait, mes parents voulaient douzes enfants, comme le nombre de tribus d’Israël, sauf qu’ils se sont plantés pour le petit dernier, puisque le douzième enfant c’étaient des jumeaux. Pour éviter de rester à treize, qui est certes l’âge où l’on devient un homme, mais… treize quoi… et ben ils en on fait un quatorzième. Moi, je suis le sixième ou le septième… je sais plus. Vous voulez les noms ? Alors il y a Abraham, qui s’est marié avec Rachel Annassi, et ils ont eu six enfants : Elie, Zachée, Osée, Salomon, Sarah…. Et puis il y a … non finalement je vais pas vous faire la liste, parce que sinon, j’aurais pas fini avant la nuit tombée.
  
  Mon père était commercant… bon d’accord, camelot. Il vendait vraiment de tout, de tout de tout et il avait la manière de vendre. Tout petit, j’étais en admiration devant mon père, ce commercant au regard si doux… Trop fort, il a été mon modèle ! Ma mère… jamais je n’oserai blasphémer ma mère c’est interdit par les Douzes Commandements, hein, mais elle était… une mère juive. J’aime ma mère hein, mais… j’aurais bien apprécié aller la nuit aux toilettes sans qu’elle refasse mon lit dans mon dos.
  
  
• Enfance :
  
  Je crois que je suis né il y a cinquante trois ans, mais ne me demandez pas le mois ! Quand on me demande je réponds Pessah, parce que je la situe facilement cette fête. Mon premier traumatisme, je l’ai eu à une semaine de vie : ca fait mal une circoncision ! Et en plus il y a vraiment de quoi avoir honte : A chaque fois que je montre mon engin à un pute qui n’est pas au courant, elle a un cri de surprise. Je vous jure, c’est très désagréable, surtout lorsqu’elle rit après.
  
  Vous avez une idée de ce qu’est la vie dans une famille vraiment nombreuse ? Et ben je vous le dis, c’est mouvementé ! L’aîné ca va on le gère, parce que c’est le premier nyanyanya… le deuxième on gère aussi. La première fille on fonde plein d’espoirs sur elles, on lui prépare un beau mariage… et puis il y a le reste, la marmaille qu’on a pondu sans trop prendre le temps de s’arrêter et on est débordé devant tous les piaulements de ces gosses. L’avantage pour les enfants, c’est que du coup on était très libre. J’admets avoir fait un petit peu les quatre cents coups avec mes frères, et je me souviens des sacrées roustes que mon père distribuait à tour de bras… Ah quelle belle époque !
  
  Je suis resté en contact avec tous mes frères, et de manière générale, avec toute la communauté juive de Paris. On est tous cousins alors forcément on se connaît. Au fait je vous ai parlé de mes cousins ?
  
  
• Adolescence :
  
  Je n’ai jamais été adolescent voyons ! Quand j’ai eu treize ans, on m’a fait ma Barmitzva, et puis voilà bienvenue parmi les hommes ! C’est à peu près vers cette époque qu’on a voulu me faire travailler, ca j’ai nettement moins apprécié. Que voulez vous… enfin au moins on n’a pas voulu faire de moi un charpentier ou bien un boulanger, sinon je vous dis pas la catastrophe. Comme je devais être le plus bavard (et pourtant le niveau était élevé !) mon père m’apprit tous les petits trucs qui font que les gens achètent n’importe quelle merde. Tout est dans l’enrobage, plus qu’une activité, c’est un art. Ce qui est dommage c’est que comme sixième ou septième enfant, j’ai pas eu droit au magasin familial.
  
  En revanche, la cousine au second degré par alliance du côté du mari de la sœur de ma mère intercéda auprès de son mari, Jacob Hanassi. Attention, ce n’est pas la famille de la femme de mon frère aîné. Jacob Hanassi est plutôt le troisième fils de l’oncle de mon père. Soi dit en passant, en fait il a été adopté, mais je ne m’étendrai pas là-dessus, ca devient compliqué et un poil sordide après… il semblerait qu’en fait de fils adopté, c’est bel et bien le fils de son de l’oncle de mon père et de sa fille aînée, qui par ailleurs était mariée au cousin germain de la deuxième fille de la grand-tante de ma mère.
  
  Tout ca pour dire que je passais de l’apprentissage sous la tutelle de mon père à celle de Jacob Hanassi à l’âge tendre de dix huit ans.
  
  
• Jusqu'à nos jours :
  
  Ah la vache, vous me demandez trente ans là comme ca ! Je vous avertis tout de suite : c’est pas forcément intéressant comme vie, je suis né dans quartier pauvre, j’ai grandi dans un quartier pauvre, et j’ai vécu… sur les pavés. Bon ben je vais tâcher de ne pas vous perdre alors.
  
  Bon, dans la pratique, mon apprentissage était terminé, mais un apprenti ca coûtait moins cher qu’un employé, et c’est ca qui avait fait que Jacob Hanassi me prenait. J’ai quand même patienté cinq ans, deux ans de moins que Jacob (le personnage biblique) qui attendait Rachel. Sauf que moi je me suis tapé Léa à la place. C’est bête j’aurais dû prendre sa deuxième fille Sarah. En gros, un jour j’ai dit « merde » à Jacob, et je me suis barré avec sa fille.
  
  J’aurais dû plutôt embarquer son argent, Léa était tout bonnement invivable. Je rentrais chaleureusement accompagné à quatre heures du matin, bourré comme un âne, en ayant dépensé tout mon argent… et ben elle trouvait encore de quoi me houspiller ! Non mais dans quel monde vivions nous… Ma chère Léa a tenu un an avec moi, puis elle s’est trouvé un jeune rabbin « sérieux » et elle m’as quitté et s’est remariée. Leur mariage aurait dû être le plus beau de l’histoire du quartier, mais ca m’étonnerait… c’est moi qui ai vendu le repas de noce. J’espère qu’il n’y a pas eu de morts.
  
  Ma seconde épouse était plus compréhensive elle. Quand je rentrais à la maison avec mes bottes dégoutantes, elle ne disait rien et elle les enlevait. Quand je faisais un truc vraiment trop grossier, elle « assaisonnait » mes plats avec du laxatif. C’était une saine façon de gérer les conflits je trouve, on ne se disputait jamais, et au final j’ai appris à me tenir. J’avais même arrêté de fréquenter les bordels.
  
  Le jour où je me suis rendu compte qu’elle me trompait, c’est le jour où je me suis choppé une gonorrhée alors que ca faisait deux mois que je n’allais plus voir les putes. Pendant deux semaines, j’avais un mal de chien dès que j’allais pisser c’était pas drôle ! Apprendre que votre femme vous trompe en s’attrapant une maladie vénérienne, je vous jure ca fait rager ! Je crois bien d’ailleurs que cela a condamné ma fertilité, je n’ai jamais eu d’enfants, que ce soit avec elle ou d’autres. Enfin faut dire aussi, la circoncision, on dira ce qu’on veut mais avoir le prépuce à l’air…
  
  Bref, j’espionnais ma femme et je n’étais pas cocu avec une seule personne, mais avec la moitié de la population mâle du quartier. Là où j’étais content, c’est que je me suis dit que cette même moitié allait elle aussi avoir des gonhorrées et ne pourrait plus pisser sans se brûler l’engin ! Hé hé hé.
  
  Je crois qu’elle est morte il y a dix ans, je l’ai enterré d’une façon tout à fait convenable, sans grande tristesse. Nous ne nous étions jamais aimés, et aucun enfant n’était né de notre couple. Ca m’a libéré pour me lancer dans le grand domaine de l’Entremise, où j’ai rencontré un certain succès. Pour le reste, ma vie n’a pas grand intérêt.
  
  Actuellement, j’ai tout un réseau de connaissances, de cousins, et de complices. C’est grâce à eux que je dégotte tout ce qui peut s’acheter dans la Cour, et plus important encore : je suis très copain-copain avec la Maquerelle.
  
  Je vous explique la combine. La Maquerelle me signale un jeune noble rempli d’honneur qui cherche le grand amour, et riche. Moi avec ma figure de grand père, je l’appâte je lui décris une princesse à la Yseult (celle de Tristan), et avec ma vieille amie, on organise la rencontre dans un lieu romantique et secret. La malheureuse qui subit une vie si dure et si renfermée (je sais trouver de ce côté-là). Le Chevalier est prêt à payer des sommes formidables pour corrompre les gardes, convaincre les gouvernantes et les chaperons de regarder ailleurs… et tout le fric tombe entre les mains de la Maquerelle, de moi-même, et de la prostituée qui joue Yseult. Et le Chevalier il est content, il a sauvé et parfois fécondé sa princesse !
  
  On a même organisé plusieurs fois le mariage d’un noble de haute naissance et d’une pute de rue. Il suffit de faire une comédie au Chevalier disant que l’horrible père comptait mettre la fille au couvent, ou bien pire : la vendre à un bordel !!! Et aussitôt, l’homme allait rencontrer la Maquerelle pour racheter la fille et c’est comme ca que la Maquerelle s’est débarassée de filles trop peu rentable en les revendant dix fois leur prix. C’est aussi pour ca que je suis le grand ami de la Maquerelle.
  
  Vous me direz : Est-ce possible qu’un noble soit aussi abruti, pour marcher à un piège aussi grossier ? Je vous réponds : C’est tout un art que de fermer l’intelligence d’un homme, mais en fait le principe est assez simple : il suffit de le rendre amoureux après il réfléchit avec ses… vous voyez quoi.
  
  
  
• Objectifs et possibles évolutions : Pourquoi évoluerais-je ? Je suis très bien comme ca ! J’existe tout simplement !
  
  
  Hors Jeu
  
  
• Comment avez-vous connu ce forum ? Par le Cardinal
  
• Une suggestion ?

In tribute to Discorde et Mina, sans qui ce personnage n'aurait jamais existé



















[*]Pseudo :Balbuzard
[*]Autre(s) Personnage(s) ? L'Orgeuil et la Morgue dans un habit rouge... Le Cardinal de Therould

Fiche finie, si Romy ou Arthem pouvait y passer...

Ce soir ou demain !

Bah zut, moi qui voulait etre pointilleux, je ne trouve rien à redire.
Je me suis énormement amusé en lisant ta fiche, j'attends avec impatience de voir ça en action.

Fiche validée.

Merciiii! \o/