Adrian le Faucheur

Identité

Nom : Le Faucheur
Prénom(s) : Adrian
Sobriquet : Petiot, c’est ainsi que l’appelle son patron.
Âge : 24 ans
Origine : Française
Rang : Va-nu-pieds
Profession : Forgeron
Parti : Bohème

Physique
Yeux : Ses yeux sont noisettes, en forme d’amande. Le sourcil souvent froncé lui donne un air plutôt pas commode, mais lorsqu’il sourit, ses yeux reflètent toute la bonté du monde.
Cheveux : Bruns rouges, lisse, mi-longs… Et encore, ils seraient plus longs si son patron n’avait pas peur qu’une étincelle ne leur mette le feu et tue bêtement son meilleur apprenti, et s’il n’en avait pas marre de le voir rejeter sa crinière en arrière. Mais de toute façon, Adryan le fait quand même.
Taille/Poids : 1m85 à peu près, pour 70 kg, toujours à peu près. Que du muscle.
Description physique : Adrian est un peu l’exact contraire de sa petite sœur, Candice. Il est grand, musclé (-pas de graisse superflue, c’est impensable dans le métier !), et a plutôt hérité des traits de Lyssandre de Mont de Savage. Un visage triangulaire, avec un menton volontaire, et une mâchoire un peu carrée. Sa bouche est fine, et toujours figée dans une moue concentrée lorsqu’il travaille le fer. Comme nous l’avons déjà dit, il est taillé comme un lutteur de foire. Enfin bon, peut-être pas. Toujours est-il que, comme il travaille toujours torse nu, on peut sans peine admirer ses pectoraux et ses abdominaux enviables par beaucoup de petits seigneurs qui se disent chevaliers. Sa crinière brun-rougeâtre flotte toujours en liberté, et il a souvent des mèches qui lui retombent devant les yeux. Son physique est un peu brut, sauvage… Malgré la moitié de sang bleu qui coule dans ses veines, il n’a pas la distinction des aristocrates, ni leurs traits trop fins, et n’apporte pas le même soin à sa chevelure que les nobles. Pour cette raison, il passe pour un paysan aux yeux de ceux de la haute, mais rencontre un certains succès parmi les filles du peuple, beaucoup moins regardantes : la plupart considèrent qu’un homme bien bâti peut les protéger, ce que ne peux pas faire un homme élégant, mais qui tombe dès qu’on lui souffle dessus.
Particularités : Son apparence est plus gueuse que noble, ce qui l’empêche de se fondre dans leur monde. Non pas qu’il en ait envie…
Signe distinctif : Il lui manque une phalange à l’auriculaire gauche.

Mental
Qualités : Adrian est un jeune homme profondément optimiste. Il trouve toujours un bon côté à la vie, et ce malgré tous les ennuis qui peuvent lui arriver. Il est franc et sincère, d’une sincérité qui se voit dans son regard, sa façon de marcher, de parler… S’il ne vous aime pas, il vous le montrera, sans non plus chercher à vous pourrir l’existence. Il est très tolérant et n’est pas homme à juger sur l’apparence. Il possède aussi un grand sens de la famille, et s’est investi, en tant qu’aîné de la drôle de fratrie Le Faucheur, de la mission de protéger ses frères et sœurs.
Défauts : Ce jeune homme est têtu comme un baudet, et n’écoute même pas une recommandation si elle va à l’encontre de sa volonté. Il peut se montrer un peu arrogant, surtout s’il y a une fille dans les environs. Il se lasse facilement, mais tombe amoureux à répétition, ce qui fait qu’il collectionne les conquêtes : dès qu’il commence à se lasser d’une donzelle, une autre croise son regard, et il jette son dévolu dessus.
Goûts, intérêts, passions : les épées, de la fabrication au maniement. Il s’entraîne d’ailleurs au moins une heure par jour, et aurait aimé devenir mercenaire. Ou se faire pirate.
Particularités : Il est plutôt d’un naturel utopiste : il croit en un monde meilleur, sans gouvernement, et surtout sans roi parmi les Miséreux, chose qu’il trouve vraiment stupide. N’est-ce pas juste un moyen d’imiter le roi de France ? Qu’il n’aime pas beaucoup non plus, d’ailleurs.
Signe Distinctif : Aucun.

Historique
Famille :

Hortense Le Faucheur : une fille du peuple comme les autres. Un peu plus jolie, un peu moins crasseuse, certainement, puisqu’elle a réussi, avec sa petite sœur Isabeau, à mettre dans sa poche un noble de la cour d’Anne d’Autriche, ce qui lui a assuré une situation confortable.
Lyssandre de Mont de Savages : un noble qui cherche dans le triangle amoureux qu’il forme avec Isabeau et Hortense un peu de délassement : comprenez, la Cour, le roi, les courtisans… Que de tracas ! Mort quand son fils aîné avait 13 ans, ils ne se sont jamais beaucoup vus, de toutes façons.
Candice Le Faucheur : sa première demi-sœur, et sa cousine en même temps, puisqu’ils sont de mères différentes. Plus jeune de deux ans, ils sont très proches, et se parlent énormément. Mais leurs caractères différent de manière assez distincte : peut-être est-ce pour cela qu’ils ont cette impression de se compléter.
Guillaume Le Faucheur : son demi-frère, son cadet de sept ans. Il voue à son grand frère une grande admiration, entachée d’un peu de jalousie dû à son succès facile auprès de la gente féminine.
Lise le Faucheur : sa deuxième demi-sœur. Huit ans d’écart les séparent, ce qui fait qu’il la surprotège un peu. Il faut dire que Lise est naïve, et se fait tromper très facilement.
Enfance : Adrian est l’aîné de la fratrie Le Faucheur. Sa mère le mit au monde sur le plancher de leur petite maison en bordure de la Cour des Miracles. Il grandit dans un cadre particulier, sans autorité paternelle, puisque lorsque Lyssandre venait, il passait directement dans la chambre de l’un ou l’autre des sœurs Le Faucheur, sans se soucier outre mesure du petit garçon qui jouait au bas de l’escalier. Il savait que c’était son fils, lui adressait un sourire, lui donnait parfois un jouet, mais leurs rapports s’arrêtaient là. En revanche, sa mère et sa tante l’aimaient énormément, et il ne fut privé de rien, dans la mesure du possible. Puis arriva un autre bébé, une petite fille aux yeux verts qu’il aima tout de suite. Sa première petite sœur ! Du haut de ses trois ans, il décida de la protéger comme il le pourrait. Ce qu’il appliqua en grandissant, quand il jouait avec elle dans la rue, et qu’elle se faisait embêter par plus fort qu’elle. Précepte qu’il mit en pratique aussi pour ses deux autres frères et sœurs. Mais jamais il n’y eut entre lui et les cadets la complicité qu’il avait avec Candice.

Quand il eut sept ans, Adrian écouta sa mère et sa tante parler avec un voisin de la guerre qui avait lieu en Lorraine. Il ne comprit pas tout, mais décida que se battre pour son pays était une belle chose. Il interrogea plus tard le voisin, ancien soldat qui avait pas mal voyagé. Celui-ci lui raconta ses souvenirs de guerre, ses voyages. Le petit garçon pouvait l’écouter parler des heures durant, imaginant le fracas des armes, le bruit des carabines, les hurlements… Et la beauté de l’Espagne, de l’Italie… Depuis ce jour, il rêve d’aventure, de quitter Paris où rien ne se passe.
Adolescence : Son adolescence commença un jour d’hiver 1940, il avait alors treize ans. Une lettre arriva chez eux. Il s’en souviendrait longtemps encore. C’était la petite Lise qui avait apporté la missive à sa mère, occupée à repriser la culotte courte de Guillaume. Hortense avait décacheté la lettre, et poussé un grand cri. Puis tremblante, elle avait tendu le parchemin à sa sœur, qui l’avait rapidement parcourue, avant de mettre une main devant sa bouche, les larmes aux yeux. Il n’avait pas compris, sur le coup. Mais voir sa mère dans cet état l’avait bouleversé. Les deux femmes le firent sortir, et discutèrent un long moment ensemble. Puis elles les appelèrent, Candice et lui.

« Les enfants, une terrible nouvelle nous est parvenue aujourd’hui. Lyssandre est mort. Il s’est fait tué sur le champ de bataille. »

Cela faisait quelques années qu’ils avaient compris le rôle que jouait l’aristocrate dans leur vie. Et ils savaient tous deux que sa mort allait avoir de lourdes conséquences sur leur modes de vie, leurs mères n’avaient pas besoin de le leur rappeler. Aussi ne furent-ils pas étonnés quand Isabeau leurs annonça :

« Nous allons être trop nombreux à la maison. Quatre bouches à nourrir, ça sera bientôt trop pour nous, à moins que nous ne trouvions un autre protecteur. Mais cela ne se fera pas avant un moment, c’est pourquoi…
- T’inquiète pas, Isa. On comprend. Ou on va aller?
- Pierre, le forgeron, a accepté de te prendre en apprentissage, répondit Hortense, sans se formaliser aucunement de la réaction peu commune de son fils. Quand à Candice, elle ira chez Adélaïde. Vous restez assez près de nous, et cela nous simplifiera la vie.»

Le fait d’avoir perdu son géniteur, et plus que ça, l’homme qui assurait leur survie, lui ôta pour de bon l’envie de se faire soldat pour se battre pour la France. Il jugea bien vite que le Roi de France était responsable du malheur de sa famille. Il ne lui en fallu pas plus pour se méfier de l’autorité royale.
Ainsi, Candice et lui déménagèrent. Adrian se trouva bien chez le forgeron. Il fut rapidement adopté dans la famille. C’était un élève assidu : s’il ne convenait pas, Pierre le renverrait et il serait une charge pour sa famille. Aussi s’appliquait-il. Il écoutait attentivement, reproduisant les gestes du forgeron. Celui était satisfait, et même si, bourru comme il l’était, il ne le montrait pas, il aimait beaucoup l’adolescent.
Celui-ci ne sortait que peu, sauf pour voir quelques fois sa mère ou sa sœur, préférant dédier sa vie à son travail et continuer de rêver d’une vie d’aventure, rêve exacerbé par les armes qu’il forgeait et les chimères qu’il construisait dessus. Il grandit, se transforma. Son torse et ses bras se musclèrent, sa voix devint plus grave, une barbe naissante vint couvrir son menton et ses joues… Les filles de la Cour commençaient à se passer régulièrement devant la forge en gloussant, sans qu’il ne comprenne réellement pourquoi.

Puis vint le premier amour. Elle s’appelait Marie, avait quatorze ans, soit deux ans de moins que lui. Il tomba amoureux de sa blondeur, de sa joie de vivre. Il l’accompagna trois mois de sa vie. Puis se lassa. Lorsqu’il le lui avoua, il reçu une paire de gifle et une bordée de jurons, sans trop savoir s’il les méritait ou pas.
Il erra un moment dans la nuit, pestant sur le mauvais caractère des femmes, cherchant à savoir où il avait commis une erreur. Son erreur fut de s’engager sur les Quais de Seine. A la nuit tombée y officie toute la truandaille de Paris. Il tomba sur une bande d’escarans qui en voulaient à son argent. Malheureusement pour lui, il n’en avait pas, et ils le tabassèrent pour se passer les nerfs, le laissant pantelant, le nez en sang, la lèvre fendue, un œil au beurre noir et des contusions un peu partout.
Adrian se traîna jusqu’à une rue éclairée, pour éviter d’autres bandes, et s’affala par terre, pressant sa manche contre son visage pour éponger le sang. A ce moment-là, il entendit un bruit de pas. Une paire de botte fut bientôt devant lui. Il releva douloureusement la tête pour regarder le nouvel arrivant, se préparant à d’autres coups. La personne qui se tenait devant lui était un homme à qui il ne pouvait donner d’âge, qui était vêtu dans les tons sombres, avec un grand manteau noir. L’homme s’accroupit devant lui, secoua la tête d’un air désolé, faisant voler ses longs cheveux noirs, et lui dit avec une voix teintée d’un accent pas français:

« Tu vois, gamin, t’as les muscles… le problème c’est que tu sais pas t’en servir.
- Vous avez tout vu ?
- Evidemment, c’est pour ça que je t’ai suivi ! »

Partagé entre la honte à l’idée que sa cuisante défaite ait eu un spectateur, et la colère due au fait que ledit spectateur ne soit pas intervenu, l’adolescent ne répondit pas, et attendit la suite.

« Je peux arranger ça, si tu veux. T’apprendre à te battre.
- Et qui me dit que vous êtes pas rien qu'un escorchart ?
- Si j’avais été ce genre d’homme, tu serais déjà mort, dépouillé de tous tes biens et ton cadavre coulerait au fond du fleuve, à l’heure qu’il est. Alors ? Tu es prêt à me faire confiance ?
- Comment vous vous appelez ?
- Simon. »

Il n’en fallut pas plus à l’apprenti forgeron. Il y avait quelque chose dans le regard de Simon qui lui inspirait confiance. Il ne le regretta pas. En quelques mois, il savait utiliser ses poings pour frapper et se défendre. Simon lui enseigna aussi l’escrime, quand il le sentit prêt. Un jour, Adrian lui demanda pourquoi il faisait ça. « J’ai tout de suite vu que tu avais du potentiel, Adrian. Il ne faut pas gâcher ça. Allez, refais-moi cette parade. » fut la réponse qu’il obtint.. Les années passèrent. Plus qu’un maître d’armes, Simon devint un ami. En sa compagnie, il écuma les bars, profitant d’aimable compagnie quand ils le pouvaient. Il le présenta même à sa sœur, signe qu’il lui faisait tout à fait confiance. Simon était un homme mystérieux, le jeune homme ne savait pas grand-chose de lui. Il apprit juste qu’il venait d’Angleterre, et qu’il avait dix ans de plus que lui. Et qu’il avait certainement vu beaucoup de pays.
Jusqu'à nos jours :
Puis un jour, Simon vint voir son élève à la forge, fait inhabituel. Il avait l’air fatigué, triste.
« Je dois partir.
- Où ? Pourquoi ça ?
- Je retourne d’où je viens. Je suis venue te dire adieu.
- Tu ne reviendras pas ?
- Non.
- Je peux venir avec toi ?
- Non, répondit l’homme durement, avant d’ajouter avec plus de douceur : Ta vie est ici. Tu ne peux pas laisser Candy.
- Et toi, tu la laisses bien ! Tu me laisses bien…
- Adrian, ne fais pas l’enfant, dit-il avec un sourire. Tu sais très bien que ta sœur ne me regarde pas, m’éloigner ne change donc rien. Et je t’ai appris tout ce que tu devais savoir. Fais-en bon usage, je te fais confiance.
Après une hésitation, il reprit, très sérieux.
- Morpheus est celui qui te mènera à ton destin.

Sur ces mots, il partit sans se retourner. Ce fut la dernière fois que le forgeron le vit, ce matin d’été 1647.
Adrian a grandi. Il a désormais 24 ans. Il sait qu’il sera l’héritier de Louis, qui le considère comme son fils. Il voit toujours sa famille, déplorant le sort de sa mère et l’aidant comme il le peut. Il entretient ses relations avec le jeu, l’alcool et la bagatelle, et ne s’en prive pas, pendant ses sorties entre amis. Mais toujours, les dernières paroles de son maître d’armes l’obsèdent. Qui est ce « Morpheus » ? Où le trouver ? Et quel est ce destin ?

Et puis un jour, au détour d'une sortie au coeur de la Cour, il rencontra Agathe. Agathe était jeune, Agathe était jolie. Elle semblait être quelque peu perdue à la Cour des Miracles. Le jeune homme s'était approché... Elle était servante. Elle semblait vouloir une aventure. Et elle lui plaisait. Le forgeron ne chercha pas vraiment plus loin. Ils se revirent au moins deux fois par semaines pendant un certain temps. Agathe était une jeune femme très secrète, elle ne voulait pas parler d'elle. Etait-elle enchaînée à un fiancé douteux? Se cachait-elle du courroux d'un maître irascible? Il ne le sut jamais. Leur romance dura plusieurs mois.
Au fil du temps, Adrian se sentait de plus en plus attiré par sa mystérieuse maîtresse.
Et puis un jour, elle ne fut pas au rendez-vous.
Le jeune homme eut un mauvais pressentiment.
Il revint le jour suivant et celui d'après, encore et encore, pendant une semaine. Puis il se rendit à l'évidence. Elle ne viendrait plus. C'est à cet instant qu'il s'aperçut que la belle lui avait volé son coeur : il était amoureux. En soi, chez lui, ça n'avait rien d'étonnant. Mais cette fois-ci, c'était différent. Le fait que son amante l'ait quitté, en temps normal, l'aurait attristé, puis il serait passé à autre chose.
Cette fois, il n'arrivait à oublier la jeune servante, qui lui avait brisé le coeur en le quittant. Il se plongea dans le travail plus que jamais, s'abrutissant pour oublier leurs souvenirs. Mais toujours elle revenait.
Il avait beau se répéter qu'elle ne reviendrait pas, toujours il cherchait où était son erreur.
Cela fait deux mois et demie.
Objectifs et possibles évolutions : aller en Angleterre pour retrouver Simon, trouver « Morpheus », et devenir mercenaire. Retrouver Agathe, ou l'oublier.

Hors Jeu
Pseudo : Nana
Autre(s) Personnage(s) ? Non
Comment avez-vous connu ce forum ? Par la Poison
Une suggestion ?Euh… Nan.

Bien, juste deux détails pour l'instant^^ Il se peut que lorsque je serais plus au calme, je vois davantage de trucs

Dans son physique, il ne faut pas avoir peur d'être bien construit tu sais^^ La mode, c'est les maigres d'accord, mais bon, il faut faire un choix entre muscles bien dessinés et maigreur à mon sens, en tout cas ca cohabite assez mal.

Dans le nom, tu as orthographié ton login "Adrian" et le personnage se nomme "Adryan", corrige un des deux s'il te plaît^^

Je serais tenté de te demander un historique un peu plus fourni, mais comme tu l'as dit, Adryan n'a pas vraiment d'histoire...

Je vais discuter d'un petit détail encore, mais on verra ca plus tard

Je corrige la description dès demain (en fait, j'avais peur d'être un peu hors-contexte en lui donnant une masse trop importante...) . Et oui, je m'excuse pour le peu d'information que je donne sur lui... Je réfléchis à un évenement marquant qui lui donnerait un objectif, puisque l'historique me paraissait léger... Et je rajoute ça dès que ça sera clair dans mon esprit...

Quand au login, la cause en est ma mauvaise maîtrise de l'informatique. Je me suis inscrite avec le login "Adryan" mais ait du faire une erreur de manipulation dans mon adresse, car impossible de recevoir le mail de confirmation. J'ai dû recommencer... sous le login "Adrian".
J'ai renvoyé un MP a Miracle pour la prévenir et lui demander de supprimer le "Adryan". Dès que j'aurais de ses nouvelles, je changerais mon login actuel pour la bonne orthographe, c'est à dire avec une " y " !

Très bien. Je te fais confiance^^

L'avatar nous gêne un peu également (c'était ca le petit détail à discuter^^) ce qui me dérange le plus, c'est la Claymore... pour le reste, pourquoi pas, mais ca fait bizarre je l'avoue.

Préviens moi dès que tout sera bon^^

J'ai modifié la description ,étoffé l'historique, et de ce fait donné un véritable objectif à Adryan.
Pas encore modifié le login...

Mais je me suis occupé de l'avatar. est-ce que ça vous convient mieux comme ça, sans voir l'épée (c'est ce qui vous gênait, nan? Bon, j'ai redimmensionné l'image, mais le forum me la rétrecit... et ça, je sais pas comment régler >o<
En tout cas, si ça ne vous convient pas, eh bien je me mettrais en quêtre d'un autre avatar...

Bon, j'espère que ça ira pour la fiche *prie*

Si il y a d'autres problèmes, je suis là pour changer ^^

Ah oui, ta fiche est beaucoup mieux... et ton avatar me semble correspondre avec un forgeron (ou un armurier) Faudrait juste le mettre aux normes (180x310 px) ce que je fais tout de suite: (tu peux le récupérer)

Adrian le Faucheur 6e0db9df-ac16-4597-9831-d7b0f6ce7e0c

Adrian le Faucheur 6e0db9df-ac16-4597-9831-d7b0f6ce7e0c

Fiche validée

Merciiii !

Euh pour l'avatar..
En fait, l'image est déja en 180x310 px... Mais quand je veux la charger, le forum me la rétrécit automatiquement... comment faire?

Dans la section "avatar" tu mets le lien de l'image dans la troisième ligne, sinon effectivement, tu comprends pas ce qui t'arrive Razz

Youhou Hallelluia, Dieu existe, j'me fait mormon(e)

Merci du tuyau XD

Maintenant, je te fais mormonne...

Ah, mon frère, ça fait plaisir de te voir rapliquer =)
Oh, t'as réutilisé le client anglais que je mentionne dans mon escarcelles pour ajouter du poid a ton Simon?!

Ah ma soeur! =)

Ouais, je me suis dit qu'on pouvait en faire quelque chose, de celui-là ^^

Modifié mon login, m'apercevant que l'orthographe "Adrian" était sans doute la plus logique ^^

» Adrian en standby
» La Poison, alias Candice Le Faucheur
» Candice Le Faucheur, dite "La Poison"