Angelica de Bièvre
Comtesse
Feuille de personnage
Rang: Noble
Profession:
Parti (pour les Miséreux):
 |  Sujet: Angelica de Bièvre Jeu 16 Avr - 3:07 | |
| Identité - Nom : de Bièvre
- Prénom(s) : Angelica
- Sobriquet : Angel
- Âge : 37 ans
- Origine : Française
- Rang : Noble
- Profession : /////
- Parti : ////
Physique
- Yeux : D’un bleu pâle qui semble presque gris à la lumière vive du soleil.
- Cheveux : Noir, parfois teinté d’une légère couleur blanche, légèrement bouclé, lui arrivant un peu au dessus du coude si elle les laisse libre.
- Taille/Poids : 1,69 m pour 51 kilos
- Description physique : Angelica a la carrure noble, avec son port de tête altier, sa grâce et sa haute silhouette pleine et délicate. En la regardant on peut s’imaginer quelle beauté elle avait pu être dans ses plus belles années. Aujourd’hui elle garde un charme mature, et non jouvencelle. Blanche comme toutes les femmes du monde qui ne sortait pas sans couvre-chef, elle a toutefois un teint de pêche qui semble ne pas s’être dégradé avec les années.
- Particularités : Même quand elle veut faire simple, elle ne peut pas se départir de certains bijoux.
- Signe distinctif : Son air bienveillant et doux.
Mental
- Qualités : Angelica est du genre a très bien cacher ses sentiments derrière un masque d’impénétrabilité – inutile de dire qu’elle ment alors à la perfection. Elle est calme et ne sera pas de celle qui haussera la voix. Elle est extrêmement patiente, peut-être à cause de la sagesse qu’elle a finit par prendre au fil des années et que les petites excitées non pas encore. Généralement ont dit d’elle qu’elle obtient toujours ce qu’elle désire.
- Défauts : On peut dire d’elle qu’elle est à un certain niveau hypocrite. Elle peut être littéralement franche et même blessante sur certain sujet, mais peut parfois ne pas exprimer ses vraies pensées. Bien que calme, elle est également susceptible lorsque l’on s’attaque à sa personne. Enfin dû à son rang elle a des allures « snob », regardant les autres de haut, ou avec un certain dédain non dissimulé.
- Goûts, intérêts, passions : Toutes les bonnes choses de la vie qu’une personne pourrait un jour abuser, la richesse et un certain pouvoir. Il y a aussi les bals et le théâtre, bien que ces derniers temps le théâtre lui semble sans grand intérêt.
- Particularités : ////
- Signe Distinctif : ////
Historique I
- Famille :
Père : Décédé d’une maladie inconnue
Mère : Celle qui l’a élevé, elle vit recluse dans la maison d’enfance d’Angelica.
Frère : 45 ans, noble chevalier accomplit à la cours. Bagarreur, vil comme tous les autres, gros joueurs et gros parieur, et excellent combattant. Possède un écho surdimensionné mais attire quand même les jeunes femmes.
- Objectifs et possibles évolutions : Dans le RP (Bien que je ne compte pas courir après) : La rencontre avec mon fils.
Hors Jeu
- Pseudo : Angelica
- Autre(s) Personnage(s) ? nope
- Comment avez-vous connu ce forum ? De tour de jeu à un de vos partenaires
- Une suggestion ? Si je trouve un jour, je vous ferai signe ^^
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Angelica de Bièvre
Comtesse
Feuille de personnage
Rang: Noble
Profession:
Parti (pour les Miséreux):
| | Sujet: Re: Angelica de Bièvre Jeu 16 Avr - 3:09 | |
| Historique II
La cours… qu’est-ce que ces mots vous évoquent ? Vous pensez probablement à toutes ces fêtes données, ces « bals » avec ces robes somptueuses, ces cavaliers charmants et charmeurs, à un million de tissus multicolores se fondant dans un décor majestueux aux milles services et serviteurs. Ce qui vous vient en tête se sont les titres de noblesses qui sous-entendent richesses et honneurs, se sont ces jardins somptueux aux scultures et aux fontaines aux milles promesses, et il est facile d’imaginer les buffets, les jeux, les sourires et les rires… ce qui est moins visibles c’est la réalité, ce qui se cache derrière tous ces nobles, derrières tous ces sourires. Des faux nez. Oh des secrets, oui il y en a, des mensonges, des coups bas, des complots. Quand il devient aussi facile de rire avec une personne, puis de rire d’elle dans son dos… Mais vous savez quoi? C’est merveilleux…
Depuis aussi loin que je puisse me souvenir, la cours et les nobles ont toujours été un sujet de discussion prenant chez moi. C’était les nouvelles tendances, l’excitation des nouveaux bals, l’envie d’être invité, les ragots en tout genre, l’éducation… Oui l’éducation a été une partit importante de ma jeunesse. Comment faire la révérence, comment bien se tenir… Je me souviens que mon frère et moi étions indomptables… mais comme c’était amusant de faire perdre la tête à ma mère! C’était encore plus amusant de courir dans le voisinage. Enfin, comme toute gamine de cet âge, j’aimais virevolter. Mais passons, lorsque mon frère eut l’âge il partit étudier et je ne le revis qu’aux congés qui se faisaient rares. Au départ se fut un choc, il me manquait bien évidemment, mais je me fis progressivement à l’idée jusqu’à apprécier comme il le fallait ses allers-retours. De mon côté je fini par entrer au couvent où je m’épanouis pleinement. Je n’avais pas bien le choix de m’épanouir… combien d’année déjà ? 5 ? Oh comme ce peut être long lorsqu’on rechigne à la tâche, lorsqu’on décide de faire notre tête dure et de ne pas prendre les choses comme elles viennent. Il y avait les amies, les invitations chez elle lorsque mes parents acceptaient – je crois me rappeler qu’ils n’appréciaient pas particulièrement mes fréquentations.
Enfin vint LE grand jour, celui où je devais entrer à la cours. Faire ma grande entrée dans le monde. Tout ne se passa pas particulièrement comme prévue. Je préfèrerais oublier cette partie peu glorieuse de ma vie mais… Il ne restait que quelques jours, ma mère était excitée… du moins je crois qu’elle l’était, elle courait dans tous les sens, donnait des ordres, donnait les dernières préparatifs à ma robe… Et mon frère qui n’était pas encore là ! Il devait m’accompagner en cette grande journée. Normalement c’est le rôle du père, mais il faut croire que la tradition allait changer. Oh vous croyez, je n’ai pas cherché à voir plus loin, j’allais aller à la cours! … Je n’avais pas vu mon frère depuis longtemps, et se fut un choc pour moi. Il était si… magnifique, il avait grandit, vieillit… oh c’était un vrai homme ! Mais homme ou non, c’était mon frère, et je n’avais pas envie que l’on perde nos bonnes vieilles habitudes. C’est un peu flou dans ma mémoire, j’étais sorti et il faisait noir, je sais que je devais être au lit depuis longtemps, enfin mes parents m’y croyaient, je devais être parfaite pour demain, je m’étais éclipsée et je crois me rappeler que mon frère devait me rejoindre. Il devait, mais il avait été retenu un instant par ma mère – elle devait lui conseiller de ne pas trop boire avec ses amis pour être présentable. … Je me rappellerai toujours du sifflement, puis des rires. J’avais d’abord associé le bruit de pas sur les pavés comme étant ceux de mon frère mais la main rugueuse et sale qui s’était posé sur ma bouche pour étouffer mes futurs cris m’avait convaincu du contraire… Puis il y eut l’arrière goût d’hareng lorsque je lui avais mordu les doigts. Enfin je m’étais débattu alors que les deux voyous échangeaient des commentaires grivois. Je vous passe les détails. Je m’étais retrouvée sur le sol, un des hommes par-dessus moi… jubilant d’avoir trouvé une vierge…
Derrière l’épais brouillard qui emplissait ma tête, j’ai entendu une voix étranglée que je sais aujourd’hui être celle de mon frère, puis il y eut des bruits de bataille. Finalement je me sentis soulevée du sol et transportée. Je passai plusieurs jours les volets fermés dans ma chambre à souffrir de divagation. J’étais en réalité sous le choc… dans tout les cas c’était peut-être mieux ainsi. J’avais été souillée et il était clair que personne ne devait être au courant, au prix de tout perdre, j’étais perdue… qui aurait voulu m’épouser maintenant que je n’étais plus vierge ? On me garda alors enfermé le temps que je me rétablisse, physiquement et mentalement… on me garda encore plus enfermé lorsque l’on su que j’étais tombée enceinte. On m’envoya alors en dehors du pays, pour éviter qu’une connaissance ne me voie dans cet état. Il aurait peut-être été faisable d’aller acheter une potion pour perdre le bébé mais… c’était dangereux et c’était aussi laisser courir le risque de ragots. Ainsi je donnai naissance à un magnifique garçon en Irlande, Philippe, que j’abandonnai dans la nuit.
Commettais-je un crime ? Abandonné un enfant sans défense ? Je le suppliais d’arrêter de pleurer, mais il le voyait dans mes yeux. Ce n’était pas comme si j’avais pu m’attacher à lui, après tout ce qu’il représentait, et tout ce qu’il pouvait gâcher. Mais je ne pu m’empêcher de le serrer contre mon sein, je ne pu m’empêcher de le bercer, de déposer un baiser sur son front avant de glisser mon collier à son cou… Enfin, ne pouvant me résoudre à le laisser mourir de froid sur les dalles de l’église, je le déposai prêt d’une roulotte habitée… me disant que peu importe ce qui allait arriver en suite, j’avais l’esprit tranquille.
Nous mîmes tous de côté cet évènement pour passer à autre chose. J’entrai à la cours, alla à de nombreux bals, donna de nombreux bals, me maria à un comte. Un bon parti que ce monsieur de Tourville, disait-on. La vie d’adulte commença et je pris ma place à la cours avec un titre. J’avais les robes que je souhaitais, les bijoux que je rêvais. Puis mon père mourut, maladie qui le tuait à petit feu depuis quelques années, m’avait-on dit. J’étais triste, accablée… mais je crois que l’idée de porter du noir pendant un certain temps me faisait plus mal que la mort de mon père en elle-même.
Au final, l’hypocrisie ne m’alla pas plus mal qu’à toutes les autres. C’est un monde merveilleux que celui de la cours… Qu’il est bon de s’amuser, qu’il est bon de vouloir plus et toujours plus, et comme il est facile de tout obtenir en jouant de ses atours. Au final les années passèrent, les robes, les bals, les hôtels, mais les bonnes vieilles histoires restaient… qui de tous et de toutes allaient s’approcher assez du roi pour avoir une place sûr à la cours, qui allait faire quoi demain et quel ragot allait circuler… mais surtout; où est-ce que nos pas allaient nous conduire.
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Miracle
Equipe Administrative
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Profession: Administratrice ;)
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| | Sujet: Re: Angelica de Bièvre Ven 17 Avr - 0:45 | |
| Bonne fiche, malgré une description physique assez courte ! Mais je peux largement la valider  Je te souhaite la bienvenue et espère que tu passeras d'agréables moments avec nous ^_^ N'oublie pas de voter sur les top sites et tour de jeu, et si je coeur t'en dit, d'ajouter un commentaire pour nous donner ton avis sur le forum ! Bon jeu ! | |
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Angelica de Bièvre
Comtesse
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Parti (pour les Miséreux):
| | Sujet: Re: Angelica de Bièvre Ven 17 Avr - 1:16 | |
| Je dois avouer, j'ai toujours détesté les descriptions physiques dans les fiches ^^ Merci ! | |
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| | Sujet: Re: Angelica de Bièvre | |
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