Le phénix

Identité

• Nom : Roy
  
• Prénom(s) : Aléandro Samuel
  
• Sobriquet : Phen ou phénix
  
  
• Âge : 22 ans
  
• Origine : Né en Espagne, son père est Français
  
• Rang : Gitan
  
• Profession : Saltimbanque, cracheur de feu et jongleur
  
• Parti : Royaliste
  
  
  Physique
  
  
  
• Yeux : Ses yeux sont caractérisés par la longueur plus évasé de sa mère espagnole. Il a, cependant, les yeux d’un bleu-vert presque unique qui reflète les flammes qui jaillissent de ses mains lors de ses présentations.Ils sont aussi entourés de longs cils noirs qui fait rejaillir la couleur au haut soleil de midi.
  
  
• Cheveux : Il porte une coupe plutôt sauvage, long, droit et inégal. Ils sont bruns foncés aux reflets légèrement roux. Derrière, ils sont assez longs pour qu’il puisse faire une queue attachée avec un cordon de cuir.
  
  
• Taille/Poids : Il est de grandeur moyenne d’environ 5 pieds 9 (176 cm) et d’un poids de 176 lbs. Sur sa peau on peut apercevoir les formes de muscles naissants. Il ne peut devenir gros car ses portions de nourriture sont tout de même limiter par son manque de budjet. Mais jamais il ne mourra de faim.
  
  
• Description physique : Quand son corps s’anime sur scène, sur une place publique ou près de l’estrade des nobles, tous les regards sont attirés vers ce garçon qui manipule le feu. Il semble en totale maîtrise de ses sens, ses dents éblouissantes dans un sourire quelque peu charmeur. Ses cheveux voltent toujours dans la moindre petite brise et fabriquent un mélange parfaitement sauvage et exotique de son sang à moitié espagnol. Son regard est d’autant plus éblouissant mais crée un étrange mélange avec son corps. Il est légèrement bronzé à force de pratiquer au soleil, torse nu et avec du feu. Un nez fin couronne son visage quelque peu féminin. Il priorise les vêtements qui moule son corps quand il doit démontrer ses talents de jongleur. Un vêtement trop ample pourrait lui être fatal. Il complète le tout, car sa garde-robe n’est pas très étendue, par un manteau un peu plus ample qui le protège de la pluie et du vent. Il porte constamment le symbole de Jésus Christ dans son cou en signe de sa foi et croyance. Bien qu’il n’aille pas à l’église tous les dimanches, personne ne peut lui faire oublier en ce quoi il croit. Il porte rarement d’autre ornement sinon sa boucle d’oreille à gauche, un petit anneau d’or.
  Il dégage un sentiment de joie bien qu’il est quelque fois sinistre et bizarre. Son sourire est maladif, c’est-à-dire que tout le monde semble lui en faire un, sauf à quelque exception. Il est rarement le point de mire des femmes comparé à ses amis, mais comme tout le monde, son corps à des envies.
  
  
• Particularités : Quelque petite ligne rose et blanche parcours son flanc, suite à quelques brûlures ou accidents plus ou moins graves. Il aime particulièrement se promener torse nu quand la température lui permet. Son cou ne reste pas dévoiler mais il est caché par un long foulard orange brûlé. Il n’a pas encore tatoué son torse mais prévoit bien le faire bientôt si l’occasion se présente. Il désir des flammes ou un oiseau de feu comme il avait déjà vu dans un livre en plein centre de Paris.
  
  
• Signe distinctif : Sauf ses yeux de couleur bleu et vert, cet homme ne semble ni pauvre ni riche, un simple clown de bals.
  
  
  Mental
  
  
  
• Qualités : Le phénix est quelqu’un de souriant autant dans les rues que pendant ses spectacles. Il adore jouer aux cartes qui démontre une lueur d’intelligence qu’il ne fait presque jamais paraître. Il sait quand s’arrêter pendant une partie pour ne pas être endetté à ne plus être capable de rembourser sa part. Comme artiste de la rue, il attire souvent une foule éphémère qui admire son souffle du dragon. Le danger attire le monde un court moment et il en apprécie chaque instant. Il est aussi un habile jongleur mais son amusement reste dans l’art du feu.
  
  
• Défauts : Il est parfois trop perfectionniste envers lui-même et essaie toujours de faire plus; autant à démontrer des trucs périlleux avec le feu ou de longs sabres ou bien d’impressionner d’avantage les gens. Ça lui a valu plusieurs blessures et plusieurs incendies graves. Il a une passion pour le jeu ce qui l’exclut souvent d’un endroit ou d’un groupe de personne qu’il entretenait. Le pauvre ne sait pas lire mais il adore consulter les livres qui possède des images. Il est aussi très têtu à ses heures. Il nie souvent l’évidence pour ne pas passer pour un imbécile ou un inculte, même si sa condition le force à l’être. Il est capable de vite faire confiance à quelqu’un mais il peut aussitôt en oublier les véritables raisons de celle-ci.
  
  
• Goûts, intérêts, passions : Il se concentre trop souvent sur la fête et ses exercices de jongleurs. Ce qui lui a valu son surnom de Phen. C’est lui qui entretient les feux les soirs des festivals, dés qu’il en est capable, il essaie de continuer ses exercices dangereux même lorsque ses mains sont douloureuses. Autrement, il se passionne pour les dessins et les images que forment la peinture et le crayon fusain. Comme la majorité des gens qui habitent la cours des miracles, l’argent l’attire tout comme la luxure des lieux. C’est un endroit de débauches et il adore cet environnement. Son met préféré est le poisson avec des patates grillées sur le feu. Malheureusement, les produits de la mer lui coûtent trop cher pour les maigres salaires qu’il gagne à l’occasion.
  
  
• Particularités : On peut le qualifier de lâche quand il s’agit de l’autorité qui veut attraper les filous. Il est capable de laisser ses amis sur le chemin et de fuir sans subir la honte sur son âme. Il retourne souvent à l’église se confesser dans ses cas pour le salut de son âme.
  
• Signe Distinctif :…
  
  
  Historique
  
  
• Famille : Il avait un père Français qui avait marié sa mère en Espagne. Le charme de celle-ci l’avait envouté mais il partit vite quand il apprit qu`elle était enceinte. Phen le recherche encore en France en espérant que les retrouvailles se face comme il le désir, dans un amour brisé et un père fier. Sa mère, quant-à-elle, est restée en Espagne dans sa petite maison de chaux dans un second mariage. Il ignore si il a des frères ou sœurs à présent et ignore tout d’une famille plus proche. Il a toujours vécu par lui-même dans les rues et maintenant dans la fameuse cours des miracles.
  
  
• Enfance : Aléandro Samuel (prononcé Samùell par sa mère) est né dans la région de Zamora en Espagne sans la connaissance d’un paternel. Il était repartit vers la France en laissant sa pauvre femme enceinte dans les bras de son pays natal. Il s’était entiché de cette femme aux courbes parfaites et à cette beauté sublime du pays de l’amour et des charmes et l’avait marié dans un simple mariage aux bords de l’eau. Le jeune homme vieillit donc entouré de femme et des garçons voisins dans une jeunesse calme et sans difficulté. C’est ce qu’il s’amusait à se dire. Et pourtant, la vérité était autre. La maison était petite, leurs biens étaient moindres et parfois sa mère se privait de manger pour le bien de son fils grandissant dans son propre petit bonheur. Son petit Samuel aimait bien se rendre dans la place centrale du village voisin pour observer les ménestrels dans la rue ou aller jouer avec des garçons de son âge. Il avait une certaine passion pour les gens de la rue.
  Un jour, une troupe de gitan passa dans le village et le garçon les suivis toute la journée dans leur démarche de construction de camp. Il se lia même d’amitié avec quelque jeune du camp qui lui montrait tellement de nouvelle chose! Le petit en rêvait la nuit, se déguisait avec les draps propres qui séchaient sous le soleil et s’amusait à faire plein de sorte de pirouettes qu’il montrait ensuite à sa mère. Elle s’en inquiétait beaucoup car plusieurs jeunes partaient ainsi avec ses groupes d’artistes ambulants pour vivre des aventures autres que la vie de famille. Mais comme toute mère, elle espérait que cette passion disparaisse aussi vite que le fait qu’il n’avait pas de père.
  Cette pensée la suivait depuis un bon moment. Un second mariage allait être bénéfique pour son fils auquel elle avait de plus en plus de misère à subvenir à ses besoins. Le petit grandissait, demandait plus e temps dans son apprentissage, s’en allait de plus en plus loin, son estomac criait la famine à n’importe quelle heure du jour. La pauvre était épuisée et comptait sur une de ses connaissances pour trouver un bon parti. Mais qui voudrait d’une veuve avec un fils de sept ans? Elle désespérait…
  
  
• Adolescence : Sa mère se maria quand il eut atteint ses huit ans. Il eut alors une demi-sœur qu’il n’aimait pas, tout comme le père qui lui faisait toutes sortes de sévices. Sa mère était toute aussi détruite mais faisait tout pour son fils qui ignorait tous les gestes qu’elle posait en son honneur. Lui, fuyait la maison maintenant rendu plus luxueuse, loin de la mer, à la découverte d’endroit plus attrayant et fantastique. Comme sa mère l’avait crains, son fils ne lâcha pas son rêve de faire parti d’une troupe de cirque qui déambulait dans les rues des grandes villes de l’Europe. Sans toute fois s’habiller ridiculement et en faire des spectacles, le jeune garçon pratiquait les arts de la scène dans les champs ou un endroit loin de son beau-père violent. Il essayait tout, tant qu’à attacher une corde entre deux arbres et marcher dessus. Mais cette pratique c’était avéré dangereuse car l’équilibre n’était pas son fort. Il eut vite abandonné cette pratique un peu trop périlleuse et le désintéressa vite. Il tenta l’acrobatie, les échasses, dresser un chien sauvage en passant par la danse et les mouvements drôles des amuseurs publiques. Mais il n’avait pas le charisme pour tenter la majorité de ces activités. Il finit par observer un jongleur en dehors du clan des gitans. Ça faisait quelque jour que le jeune homme restait assis dans son arbre à regarder l’artiste faire son numéro et tenter plus difficile et plus haut. Quand il revint chez lui ce soir là, Samuel avait dans les mains trois roches de tailles différentes, car il n’avait cure qu’elles soient semblables, et les jeta dans les airs en espérant faire comme l’homme. Mais jamais il n’y arrivait. La patiente et la persévérance l’aidait dans cette dure quête.
  
  Le jongleur l’avait déjà aperçu plusieurs fois durant ses pratiques et fini par lancer une balle rouge et bleu vers le jeune homme qui l’a prit. L’homme du clan continuait toujours à jongler mais invita le jeune homme à lui lancer la balle. Un peu intimidé et ne sachant pas très bien quoi faire, le jeune homme de douze ans s’approcha et lui relança la balle. Il observait les gestes de cet homme sans comprendre comment il faisait. Ce dernier arrêta tout d’un coup en laissant tomber toute les balles sauf quatre. Il en donna deux à son spectateur et lui montra comment les faire rouler les deux pour atterrir dans ses mains. Le petit semblait bien apprendre et la paye de l’artiste était l’éclat des yeux du petit. Il lui montra ensuite trois balles et quelque variante. Quand le soleil commença sa lente descente, il demanda au garçon de garder les trois balles mais de lui ramener le lendemain matin. Ce fut le comble pour le jeune homme qui couru vers sa maison. Tout de suite après le souper, il couru vers son repère pour mettre en œuvre ce qu’il avait appris.
  
  Il revint le lendemain et montra sa progression surprenante à son maître. Mais celui-ci dut vite partir car ils étaient un peuple nomade. Mais, il laissa quatre balles au garçon en son souvenir, grande perte car des balles de ce calibre étaient chers mais peut-être reverrait-il ce jeune homme plus tard.
  
  
  
• Jusqu'à nos jours :Il passa plusieurs années à pratiquer les brèves leçons de son maître tout en gagnant l’indépendance de sa mère et la totale exclusion de son beau-père. Il tentait quelque spectacle plus loin avec différents objets. L’esprit d’aventure le touchait encore mais voyait le tout sous un nouvel angle. Ce n’était pas le fait de voyager avec un groupe de gens nomades mais bien que de montrer son talent aux autres et ce, loin de son beau-père. Il préparait son voyage tranquillement et secrètement. Il ne voulait pas blesser sa mère mais c’était presque impossible, qu’il le disait ou pas. Il fini donc par faire son chemin une journée de l’été vers le nord-est. Sa destination finale se trouvait à être la grande et belle Paris en France.
  
  En chemin, il se lia d’amitié avec plusieurs personnes et fini par se joindre à un groupe e nomade qui avait la même destination que lui. Il n’avait pas encore vraiment d’histoire et y allait avec son seul talent qu’il avait développé, la jonglerie. Mais un soir, il prit les torches du camp et tenta d’en faire ses balles. Le spectacle était impressionnant mais un peu débutant. Plus il vieillissait et se rapprochait de la capitale, plus il développa un intérêt pour le feu et les gestes difficiles et précis qui faisaient retenir le souffles de la foule qui s’amassait pour le regarder. C’est ainsi qu’il entra dans les murs de Paris, un jeune homme ayant atteint l’âge de dix-neuf ans, ayant comme seul métier des balles, des cerceaux et des torches. Il vécu deux ans dans les salles de la cours des miracles…
  
  Cela faisait maintenant une année qu'il était dans ce peuple à part de la ville où les artistes, les filles de joie, les voleurs et les nobles partageaient tout en leur possession et former une communauté grandiose. Il rencontra une jeune fille au teint balzane qui semblait se mouvoir avec facilité parmi la foule. Il avait vite oublié cette jeune personne durant la journée. Puis, il se prépara pour une nouvelle entré dans la cour du Roi des miracles. Il rempli sa bouteille d'un alcool pure, mit ses pantalons à franges et peintura son torse de lignes noires. Les tambours se mirent à battre dans un rythme démentiel et il entra avec deux acrobates. Il commença à passer ses torches d’un côté et de l’autre de son corps. Le spectacle allait d’entrain mais il sentait toujours un regard sur lui. Il cherchait n‘y voyait rien. Il continua avec quelque truc de son cru et fini par un souffle énorme. Une flamme sembla sortir de sa bouche et faisait plusieurs pieds de long. Tout fini par l’applaudissement de la foule et lui, dans une courte révérence en signe de salut. En regardant vers le roi, il aperçu la jeune fille qu’il avait croisé dans la journée et elle le regardait. Il ramassa son équipement tout en surveillant su coin de l’œil la belle qui avait elle-même commencé une danse sur la scène.
  
  Il resta tard cette fois là en tentant d’approcher la danseuse…
  
  Ils partagèrent des moments de passions, de jalousie et d’amour dans une relation des plus secrètes. Il n’en parlait à personne mais espérait toujours un moment seul avec elle. Puis vint un jour où il dut partir car la vie devenait dur à Paris. Il voulait aussi continuer de voyage mais elle refusa de le suivre. Il l’a laissa dans cet endroit et parcouru la France durant plusieurs mois. Il revint une demi année plus tard…
  
  
  
• Objectifs et possibles évolutions :Bien des aventures peuvent arriver au Phénix, passant par un amour, amante, beuverie, des défis des plus intéressants ou son orgueil se mettra à lui faire défaut et un mariage en finale. Plein de perspective sont à voir!
  
  
  Hors Jeu
  
  
• Pseudo : Lestat, Hydryas
  
• Autre(s) Personnage(s) ? Pas sur ce forum
  
• Comment avez-vous connu ce forum ? Top site! Je ne sais plus lequel mais le nom m’avait charmé et j’ai tout lu!
  
• Une suggestion ?

Pas encore! Ça va surement venir, ne vous inquiété pas!

Bonsoir Le Phénix, préviens-nous quand ta fiche sera complète =)

Et voila, je crois avoir répondu à tout et à créer un chemin dans l'histoire de sa vie! J'attends impatiemment votre acceptation pour commencer à poster avec envie et hâte! Si il y a quelque chose qui ne marche pas, je suis prêt à faire les modifications demandées!

En espérant pouvoir créer les plus beaux des scénariots aux plus décadents, je vous tire mon chapeau pour l'ordre des choses et les descriptions assez complètes pour bien commencer un personnage sans trop de difficulté!

Bonjour James, j'ai une remarque : Ton personnage porte un prénom anglais, et ce n'est pas justifié dans ta fiche. Il serait plus logique qu'il porte un prénom français ou espagnol.

Le style est assez maladroit par moment, mais l'histoire convient =)

J'ai modifier mon nom tout simplement étant donné que je n'avais pas encore poster en mode rollplay. Je suis désolé si quelque phrase sont surement illisible pour vous et ce pour deux raisons; je suis québecois et je manipule un vieux français qui peut sembler un peu attardé sur la grammaire. J'en suis sincèrement désolé mais c'est pour ajouter un certain charme au personnage. La raison du nom anglais est qu'ici, au Québec, les noms sont si variés depuis le début du 18e siècle que l'origine est peut imortante. Seulement pour le goût du son peut-on dire. Mais je n'ai aucune problème à le modifier ici.

Alors voila, au lieu de James je me nomme Aléandro Samuel. J'ai fait les modifications nécessaire dans le texte et la demande de rôle par le fait même.

C'est bien mieux, je trouve =)

Dans ce cas, tu es validé sans problème. Ne t'inquiète pas pour le langage, c'était une simple remarque personnelle, l'important étant que tu puisses faire 10 lignes de RP au minimum et surtout, que tu t'amuses parmi nous ^_____^

Je vois que tu as déjà généré ta fiche dans le Profil, c'est parfait ! Je t'encourage à créer ton Escarcelle, à voter pour nous sur les top sites et annuaires divers (tour de jeu etc...).

Tu peux débuter le RP, et pourquoi pas faire ta demande pour intégrer le Boudoir.

Puis-je avoir quelque explication concernant l'Escarcelle? Je ne me souviens pas d'avoir vu un tel mot jusqu'à présent!

Ne vous inquiété pas, je suis capable de faire bien plus que 10 lignes de textes! Je n'en suis pas à mon premier forum et j'espère que je m'amuserai autant que vous! Je vais aussi m'inscrire au boudoir, peut-être en aurai-je besoin bientôt!

Merci pour avoir validé ma fiche!

Tu trouveras toutes les infos ici pour les Escarcelles ^^ (ton inventaire en fait !).