Aymar de Basses Terres

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Identité

Nom : de Basses Terres
Prénom(s) : Aymar, Lovis, Henri
Sobriquet : Chevalier
Âge : 27 ans
Origines : paysannes
Rang : Va nu pied
Profession : Alchimiste et Conseiller du Roi
Parti : royaliste

Physique
Yeux : Ils sont marrons très clairs mais lorsqu'Aymar est de mauvaise humeur ou fronce les sourcils ils semblent beaucoup plus sombres.
Cheveux : Blonds ternes avec des reflets gris, ils sont fins et mal coupés.
Taille/Poids : Grand (environ 1m90) et maigre
Description physique : Aymar a un visage pâle et sévère mais d’une grande beauté. Ses traits fins sont froids et désapprobateurs, sa bouche mince et cruelle souvent plissée en une moue critique. Son apparence est digne et noble mais on sent que le jeune homme est distant et difficile à aborder. Au toucher sa peau est douce mais froid et sèche, bien qu'élastique. Elle s'affine particulièrement au niveau des ailes de son nez et de ses pommettes, qui rougissent violemment lorsque le jeune homme est contrarié. La chevelure d'Aymar est rêche et sèche, rarement brossée elle évoque volontiers une poignée de paille ou de chaume.
Particularités : Aucune
Signe distinctif : Une petite cicatrice blanche au coin de la bouche.

Mental
Qualités : Idéaliste, franc, honnête, rêveur et pur, il prête de bonnes intentions aux gens et exige autant d'eux que de lui, c'est-à-dire beaucoup.
Défauts : Déçu par les réalités de la vie, il est devenu impitoyable, intransigeant. Si vous le décevez, il pourra se montrer très cruel. Il a un côté "paladin" en ce sens que s'il pense que vous pouvez faire bien mais que vous faites mal, il vous en punira. Par contre s'il pense de base de vous que vous êtes foncièrement mauvais, il ne vous corrigera pas.
Goûts, intérêts, passions : La littérature, la chevalerie, l'équitation, les passes d'armes, la chimie, l'alchimie, l'enluminure, les prières et méditations dans une église
Particularités : Curieux mélange de sainteté et de paillardise. Si Dieu a fait la chair de l'homme faible et les putes faciles, alors aller au bordel n'est pas un péché. En revanche séduire une honnête femme serait un crime. Paradoxal ? Pas pour Aymar, l'ensemble de son système de pensée repose sur ce type de distinctions. A la fois pur et chevaleresque, grâce au baron, et très terre-à-terre car il a connu la pauvreté, il pense qu'il y a des gens qu'il peut aider ou sauver et d'autres dont il faut juste supporter la présence comme une plaie de Dieu.
Signe Distinctif : Par loyauté instinctive envers le Roi de France, il ne dit que "les Miracles" ou "aux Miracles" pour parler de la Cour des Miracles. Il n'y a qu'une seule Cour pour lui...

Historique
Famille : Ses parents, Giraud et Ysande,
Son père adoptif, Gabriel de Basses Terres, son épouse Marguerite de Vorchaux
Enfance : Aymar vint au monde chez un couple de paysans auvergnats, Giraud et Ysande, et fut baptisé Colin.

Les deux paysans avaient été fraîchement affranchis à l’occasion du mariage de leur seigneur, un lointain baron qui passait le plus clair de son temps à Paris et qu’ils n’avaient jamais vu.

Colin était leur troisième enfant et le seul qui atteint l’âge de cinq ans. Les nourrissons qui naquirent après lui ne reçurent que peu de soins et ne survivaient pas longtemps. Une bouche inutile, c’était déjà trop pour Giraud et Ysande… Ils n’y pouvaient rien, les temps étaient durs, Monsieur le Baron avait fait annoncer la levée d’un nouvel impôt et le pain coûtait cher… Aussi, dès que possible, Colin fut-il mis au travail par ses parents. Il ne savait pas encore marcher qu’il avait déjà appris à surveiller que les bêtes ne viennent pas chaparder de la nourriture quand ses parents étaient aux champs. Dès qu’il sut marcher il fut envoyé au glanage dans les champs, ou à la récolte des châtaignes, ou aux prairies communales pour faire paître la vache de la famille.

C’est un soir d’automne, peu après la Saint Quentin, que Colin rencontra Yvon Ruteboeuf, dit le Goliard, sur sa route. Le rôdeur s’était fait un métier d’enlever et revendre les enfants seuls qu’il croisait et eut tôt fait d’assommer l’enfant après avoir vérifié qu’il se trouvait hors de vue. Il le dissimula sous quelques épaisseurs de toiles dans sa charrette et continua sa route.

Lorsque Colin reprit conscience, il ignorait combien de temps s’était écoulé depuis son agression ni où il se trouvait. La première chose qu’il vit fut, allongée à côté de lui, une petite fille d’origine gitane bâillonnée, qui le regardait paisiblement, l’air pas du tout surpris de leur situation.

Au repas du soir (le seul repas de la journée), le Goliard détacha les deux enfants et les invita à s’asseoir auprès du feu, près duquel se trouvait déjà une autre enfant. Il leur expliqua rapidement leur nouvelle situation, les prévenant qu’ils ne reverraient probablement jamais leurs parents ni leur pays d’origine, mais qu’ils seraient vendus le plus rapidement possibles au plus offrant. Si personne ne voulait d’eux, Dieu les accueillerait…

« Et je ne parle pas de vous mettre dans un couvent, j’me fais bien comprendre ? » ajouta-t-il, au cas où il n’avait pas été assez clair. Estimant que sa mise en garde était suffisante pour leur inspirer peur, crainte et obéissance, il enchaîna :

« Bon, comment vous vous appelez ? »

La petite qui avait été étendue dans le chariot avec Colin énonça doucement :

« Soara. »

Tandis que l’autre, plus âgée, murmura :

« Anka. »

A la fin du frugal repas, le Goliard attacha Colin à un montant de la charrette, assez serré pour qu’il ne puisse se détacher, puis en fit de même avec Soara. Enfin, avec un gros rire, il saisit Anka par l’épaule et la poussa devant lui en s’éloignant dans les bois.

La petite gitane leva de grands yeux tristes vers l’enfant et murmura.

« Mais… pourquoi il emmène sœur Anka ? »

Colin détourna le regard. Depuis longtemps, dans la chaumière de ses parents, il avait surpris les secrets des couples et ce que faisaient ses parents, le croyant endormi. Cela ne le troublait pas plus que l'accouplement d'oiseaux ou de chiens errants et n'avait-il pas conduit au taureau la vache de ses parents, le printemps précédent ? Il ne répondit pourtant pas, de peur que Soara se méprenne sur le mal qu'allait subir sa sœur et ne s'inquiète outre-mesure. Sa vie n'était pas en danger, c'était déjà une chance énorme pour une orpheline...

L’itinérance du Goliard et des enfants continua. La saison semblait mauvaise pour son activité car avant de vendre Soara il ne ramassa qu’un seul autre enfant, si mal en point après avoir été rossé par Yvon qu’il fallut l’abandonner sur le bord d’une route deux jours plus tard.

Après la cession de Soara à un clan de gitans qui remontaient sur Paris, tout sembla mieux se passer pour le Goliard. En six mois une vingtaine d’enfants passèrent entre ses mains, dont la moitié environ, tous sexes confondus, l’accompagna lors de ses petits tours nocturnes.

Enfin, l’enfant et son kidnappeur arrivèrent, un soir d’été, devant la herse d’un château ancien assez mal en point. Un serviteur les fit entrer en marquant bien le dédain qu’il avait pour ces va-nu-pieds et les conduisit jusqu’à une haute salle au plafond voûté. Un vieillard au regard bleu encore alerte se tenait assis dans un fauteuil de bois noir à haut dossier et leur fit signe d’approcher.

« Voici ce que j’ai trouvé de mieux, votre seigneurie. » fit le Goliard avec une voie onctueuse que Colin n’avait jamais entendu auparavant.

« Il est sain, robuste, fort mignon, et de très bonne lignée, son père est comte et sa mère demoiselle, la fille cadette de… »

Sûr de lui, il inventa en quelques secondes une généalogie élégante et crédible au petit paysan.

« Naturellement, né hors mariage, il a été confié une gardeuse d’oies que je connais, qui me l’a indiqué. »

Il énuméra encore quelques qualités de l’enfant.

« J’ignore son nom de baptême, on l’appelle Colin pour ne pas éveiller les soupçons… J’en demande 100 sols. »

Le vieil homme dans sa cathèdre s’esclaffa.

« Allons, tu ne vas pas me vendre un poulain au prix d’un cheval. »

Après un bref marchandage, le prix fut fixé à 60 sols. Le noble sourit de la mine déconfite du Goliard, qui s’empressa pourtant de ramasser son argent. Lorsqu’il fut sorti de la salle, le vieil homme fit allumer du feu dans une cheminée derrière lui et fit signe à Colin de s’approcher.

« Je suis le baron Gabriel de Basses Terres. »

« Et toi désormais tu t’appelles Aymar… comme feu mon père… Lovis… comme le noble Lovis de Basses Terres qui fonda notre lignage… Henri… comme le bon roi Henri, dont je fus page et qui me fit chevalier... Aymar, Lovis, Henri de Basses Terres »

Sans vouloir se l'avouer, le baron espéra qu'en donnant de si prestigieux parrains au gamin qu'il venait d'acheter il apaiserait le courroux légitime de ces derniers. Quelle idée, vraiment, de prendre pour héritier des Basses Terres un gamin crotté et émacié dont les origines, Gabriel s'en doutait, devaient plus remonter à une masure près d'un champs de blé qu'à un château ancestral. Il toussota.

"Tu te demandera sûrement un jour pourquoi j'ai fait choix de t'acheter, toi, petite caricature de paysan barbare et affamé... Alors que sans doute, dans ma famille, dix personnes me proposeraient leurs rejetons, ces poussah gras et orgueilleux, confits dès le berceau dans la noblesse de leurs noms... Toi, l'orphelin, le bâtard, personne ne viendra jamais ici faire valoir ses droits sur toi. Toi, il aura suffit de quelques dizaines de sols pour que tu naisses ici et maintenant dans cette salle d'armes, pour que tu n'aies jamais été autre chose qu'Aymar de Basses Terres... mon fils... par Dieu, donné."

Il ricana, se leva et passa une main protectrice autour de l'enfant pour le mener vers la porte.
Adolescence : A partir de là, Colin, rebaptisé Aymar, reçut l'éducation d'un futur chevalier. Indifférent aux changements d'époque et à la Renaissance qui se développait et s'étendait, le vieux baron était resté bloqué aux coutumes et aux usages de sa jeunesse, aux tournois, aux châteaux forts à peine percés de meurtrières, aux armures si lourdes qu'il fallait un palan et six hommes pour mettre en selle un chevalier... Son héritier fut donc instruit comme s'il était destiné à partir en croisades ou à la recherche du Graal. Inconscient de l'anachronisme de son père adoptif, il apprit à entretenir son épée et son armure, à craindre Dieu et à considérer les jeux de l'esprit comme des pertes de temps.

Lorsqu'il eut 15 ans, alors que son père n'avait qu'à se féliciter de ses progrès, un évènement inattendu survint : Gabriel de Basses Terres se maria avec une demoiselle de Vorchaux, une famille d'assez petite noblesse des environs. A tout point de vue, cette union, du côté du baron, demeurait parfaitement inexplicable. La demoiselle n'était ni très titrée, ni très riche, ni bien dotée, ni fort belle... Aymar, dévoué à son père, n'osa jamais lui en parler pour découvrir les raisons de cette tocade. Comment aurait-il osé mettre en doute le jugement de son noble père ?

Aimant et loyal mais point totalement aveugle, Aymar trouva rapidement suspectes les grossesses à répétition de sa jeune belle-mère, qui avait facilement le tiers de l'âge de son époux. Il finit par se sentir de trop, soit qu'il ait vu juste et que son père soit honteusement trompé, soit que ses frères et sœurs soient réellement les enfants légitimes du baron, auquel cas son adoption n'avait plus de raison d'être. Il choisit de partir, préférant garder ses doutes pour lui plutôt que troubler son vieux père et se sentant incapable de continuer à faire bonne figure à sa belle-mère. Entretemps le jeune homme avait tout de même largement profité de l'instruction que la baronne, plus moderne que son époux, faisait prodiguer à ses enfants. L'héritier présomptif des Basses Terres découvrit ainsi des rudiments de chimie et de physique, quelques mots de latin et de grec, quelques mathématiques et eut bientôt de bonnes bases en art.

Muni de son cheval préféré, de son armure, de son épée et de quelques lettres de change, Aymar partit à l'aventure, satisfait d'une certaine façon de se conduire en chevaler solitaire, tel Lancelot du Lac.

Comme pour donner raison à ses rêveries et un premier chapitre à sa légende, il se retrouva nez à nez avec son passé, un soir qu'il avait demandé l'hospitalité à un groupe de gitans. Parmi les femmes du clan se trouvait Soara...

Tandis qu'ils s'éloignaient, un peu émus, pour partager leurs souvenirs, un autre invité, cette fois-ci bien connu des gitans, se présenta : le Goliard... Accompagné de trois enfants, il en céda deux au chef des gitans. Au cours de la soirée, alors qu'il évoquait le sort qui attendait sa dernière captive si personne n'en voulait, Aymar la racheta. Il s'agissait d'une petite bourgeoise de Paris nommée Alix que le Goliard avait ramassée une nuit d'hiver alors qu'elle était tombée de sommeil au pied d'une porte.

Ce rachat fut une première leçon de vie pour Aymar. S'il n'avait cédé qu'à son bon coeur en s'appropriant l'enfant, il ne savait qu'en faire. L'abandonner à son sort serait cruel, il était responsable de sa vie maintenant... Décontenancé, il proposa à sa jeune compagne de rallier Paris, puis de là d'obtenir une audience auprès du tout jeune roi Louis afin d'obtenir une charge, un titre ou quelques terres. Le jeune homme était persuadé qu'un grand roi comme devait l'être le roi de France ne pourrait qu'être touché par leurs destinées malheureuses.
Jusqu'à nos jours : Las, en arrivant à Paris Aymar déchanta. Les personnes qu’il put rencontrer soi-disant disposées à intercéder en sa faveur auprès du roi réclamait un menu dédommagement pour ce service. Le voyant désargenté, beaucoup lui suggérèrent de vendre son cheval ou son armure, ces vieilleries, ces reliques.

Chevalier voulut se laisser le temps de la réflexion, n’osant s’avouer que jamais il ne vendrait son cheval et son armure, fut-ce pour s’assurer des revenus pour les quinze années suivantes. En désespoir de cause il laissa ses maigres possession à un usurier, à charge pour ce dernier d’en prendre soin et de les tenir à sa disposition, et s’installa à la Cour des Miracles. Malgré les efforts d’Alix, leurs finances sont rarement dans le vert car le prêteur exige chaque mois une somme importante pour l’entretien de la monture d’Aymar.

Tandis que sa petite protégée entamait une carrière de blanchisseuse pour les faire vivre, Aymar, qui s’ennuya très vite, commença à faire de petites expériences d’alchimie, mettant à profit ce que ses professeurs de science lui avaient appris dans son enfance. Au moins son éducation soignée ne serait pas perdue… De même, si Aymar n’était pas le seul, aux Miracles, à avoir reçu une instruction militaire, il était parmi les rares à avoir été éduqué pour commander et non pour obéir, de par sa noblesse. Cela l’amena assez rapidement à obtenir l’attention du Roi et à le conseiller stratégiquement, suite à l'affaire de la Foire aux Ours.

Quelques semaines plus tôt, Aymar et sa petite orpheline de protégée s'étaient rendus à la foire de Saint Germain dans le but de se distraire comme des bourgeois, innocemment. Dans la cohue entourant un baraquement, la gamine avait été séparée du Chevalier, très occupé à admirer un combat opposant deux molosses à un taureau. Lorsqu'il retrouve la petite, celle-ci avait été molestée par deux gitans qu'elle décrivit et qui l'avaient délestée de sa bourse et des babioles qu'elle avait acheté. Incapable de retrouver les coupables dans la foule et certain qu'aucun des sujets du Roi Misère n'aurait osé s'en prendre à eux, le jeune homme se rendit le soir même chez une prostituée de sa connaissance et, entre deux étreintes, lui soutira quelques informations. La nuit suivante, il se présenta dans le baraquement d'un montreur d'ours et lui loua, pour une poignée de sols, son apprenti et ses deux bêtes. Une autre poignée de monnaie lui ouvrit la porte du cimetière des Innocents, où la fille de joie lui avait affirmé que dormait le petit clan de gitans dont deux membres avaient agressé Alix. Et parce que deux tziganes de passage avaient brutalisé une gamine qu'il avait acheté par pitié, Aymar fit lâcher une paire d'ours mâles sur la dizaine d'hommes qui dormait au milieu des tombes.

Le lendemain, à la Cour du Roi, nul ne vint réclamer justice contre le Chevalier, hormis une personne... le montreur d'ours, dont les ours étaient bien trop excités encore pour faire leur spectacle convenablement... C'est ainsi que le Roi entendit parler pour la première fois de ce vagabond, installé sur son territoire depuis quelques mois, et qu'il lui prêtât attention.
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Re bonjour

Avant même de lire ta fiche, je vais réitérer ma demande: change d'avatar, stp, celui là non plus n'est pas conforme aux règles du forum.

Je rappelle qu'il ne faut pas d'avatar photo ou trop ressemblant à des photos.

Je l'ai changé.

C'est bien mieux, merci beaucoup.

Je lis ta fiche et je te donne mes avis ce soir ou demain Smile

Donc je réitère ma bienvenue sur la Cour. Smile

Pour l'analyse de ta fiche, je vais y aller phase par phase:

Physique:
Les yeux: tu dis « obscurcis », mais par quoi? Que veux tu exactement dire?
Les cheveux: « un peu long »? Mi-long, long ou juste mal coupés?
La description physique doit être étoffée, c'est largement insuffisant. Va voir les autres fiches pour te donner une idée de ce qu'on attend, et développe stp Smile

Mental:
La qualité « idéaliste » est contradictoire avec ce que tu dis ensuite « s'il pense que vous êtes foncièrement mauvais, il ne vous corrigera pas » : c'est paradoxal...Et ça ne colle pas aussi quand tu dis qu'il attend beaucoup de tout le monde.

Ca serait bien qu'il ait quelques particularité, sinon il sera fade, mais ça, c'est quand même à toi de décider ( ça serait bien que tu trouve quand même ^^ )

Historique:
- c'est un peu gros qu'avant 4 ans il sache surveiller la cuisson du repas et du pain... Dis plutôt qu'il surveillait que les bêtes ne venaient pas en voler, qu'il surveillait le repas quand ses parents étaient aux champs et que lui restait sur le côté, ça sera plus normal.
- « d'origine gitane »: pas de pluriel. Fais attention, tu mets de temps en temps des pluriels où il n'en faut pas.
- tu fais du kidnappeur un homme sans scrupule mais il explique quand même aux enfants ce qui va leur arriver: précise que c'est pour leur faire peur peut-être? Il paraît trop gentil comme tu le formule actuellement.
- Quand Colin détourne le regard, s'il est pur comme tu le dis dans ta description, pourquoi sait-il immédiatement ce qui se passe?
- Pourquoi le Baron fait cela? Il aurait pu prendre un neveu, un petit-neveu... ou le fils d'un ami? Pourquoi cette lubie de demander un enfant qui n'est pas de chez lui?
- La Renaissance ne pointe pas son nez. Elle est déjà là Smile

- bien, pour l'anachronisme du vieillard Smile

- le reste est bien mais il manque la manière dont tu es devenu Conseiller du Roi de la Cour des Miracles ( ce que tu dis n'est pas suffisant ).

Remarques générales:
Fais attention à tes singulier-pluriel mais à part ça, ton orthographe est bonne, ça fait plaisir.
Tu écris bien et ton style est agréable. Tu as de l'imagination, et si y a des choses à compléter, tu nous as fait une fiche très intéressante.

Donc, une fois que les modifications seront effectuées, ce sera avec plaisir qu'on te validera Smile

Ps : attention "rang" = Va Nu Pied, Noble ou Gitan / "Profession" = Conseiller du Roi et Alchimiste ^^

Avant d'éditer je vais répondre à certains détails ^^

Pour le physique : par "obscurcis" je voulais dire que lorsqu'il fronce les sourcils ou qu'il n'est pas content, ses yeux paraissent beaucoup plus sombres et on ne voit plus qu'ils sont très clairs en réalité.
Ses cheveux sont mal coupés (merci, l'expression est beaucoup plus juste pour ce que je veux exprimer que "un peu long").
Je vais étoffer son physique, même si c'est mon point faible, j'ai toujours envie d'écrire "Mais regardez l'avatar, je peux pas être plus clair !"

Mental:
Pour le mental, j'admets que c'est assez particulier car il est à la fois pur et chevaleresque, grâce au baron, et très terre-à-terre car il a connu la pauvreté. Il pense qu'il y a des gens qu'il peut aider ou sauver et d'autres dont il faut juste supporter la présence comme une plaie de Dieu.

Historique:

- c'est un peu gros qu'avant 4 ans il sache surveiller la cuisson du repas et du pain... Dis plutôt qu'il surveillait que les bêtes ne venaient pas en voler, qu'il surveillait le repas quand ses parents étaient aux champs et que lui restait sur le côté, ça sera plus normal.
Oui, c'est un peu exagéré mais je voulais vraiment illustrer qu'à cette époque les enfants de paysans comme Aymar n'avaient pas beaucoup de temps à perdre à jouer et qu'il fallait qu'ils se rendent utiles dès que possible, je vais modifier ça.

- « d'origine gitane »: pas de pluriel. Fais attention, tu mets de temps en temps des pluriels où il n'en faut pas.
Ce sera édité.

- tu fais du kidnappeur un homme sans scrupule mais il explique quand même aux enfants ce qui va leur arriver: précise que c'est pour leur faire peur peut-être? Il paraît trop gentil comme tu le formule actuellement.
Il n'est pas si dénué de scrupules que ça... Je suis sûre que quelque part il pense agir pour le bien de tous, en prenant des enfants là où il y en a trop pour les vendre à ceux qui en ont besoin. Mais je vais quand même éditer.

- Quand Colin détourne le regard, s'il est pur comme tu le dis dans ta description, pourquoi sait-il immédiatement ce qui se passe?
Hé bien dans la masure de ses parents il n'y avait qu'une seule pièce... Il n'a pas besoin de beaucoup réfléchir pour savoir ce qui se passe quand un homme et une femme ou fille sont seuls ensemble. C'est un enfant de la campagne, ça lui semble aussi normal et naturel que de voir deux oiseaux s'accoupler.
Pourquoi détourne-t-il le regard dans ce cas-là... parce qu'il pense que si la petite n'est pas au courant du mode de reproduction, ce n'est pas à lui de le faire et qu'elle s'inquiéterait trop si elle savait ce qu'il se passe.

- Pourquoi le Baron fait cela? Il aurait pu prendre un neveu, un petit-neveu... ou le fils d'un ami? Pourquoi cette lubie de demander un enfant qui n'est pas de chez lui?
Le baron est très esseulé. A son âge il n'a plus de famille proche, plus que des fils de cousins d'amis... Il craignait aussi qu'en prenant un enfant de sa connaissance on finisse par venir le lui réclamer. Il fallait le couper totalement de ses racines pour qu'il devienne et ne soit plus que son fils, Aymar de Basses Terres.

- La Renaissance ne pointe pas son nez. Elle est déjà là Smile
C'est le Baron qui m'a mis en retard

- bien, pour l'anachronisme du vieillard Smile

- le reste est bien mais il manque la manière dont tu es devenu Conseiller du Roi de la Cour des Miracles ( ce que tu dis n'est pas suffisant ).
Je vais rajouter ça

Impeccable, en fait il suffit de rajouter ces explications-là dans ta fiche ^___^
Tiens-nous au courant quand ce sera OK pour une dernière relecture =)

Normalement ce devrait être bon Smile

C'est fait alors... Fiche Validée

» Aymar de Basses Terres