La Cour des Miracles
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 Claire Goupil

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2 participants
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Claire Goupil
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Claire Goupil



Feuille de personnage
Rang: Va Nu Pied
Profession: Dentellière / tavernière
Parti (pour les Miséreux): Royaliste
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MessageSujet: Claire Goupil   Claire Goupil EmptyLun 7 Sep - 0:00

Identité


  • Nom : Goupil
  • Prénom(s) : Claire
  • Sobriquet : Clèèèèèèèèèèèèr ! Renarde.

  • Âge : 17 ans
  • Origine : française
  • Rang :Va-Nu-Pied
  • Profession : elle se dira volontiers dentellière ; mais son commerce étant encore embryonnaire et rares ses heures de libre, d'aucun vous la désigneront comme serveuse au Renard d'Or, l'auberge de son père.
  • Parti : Royaliste.

    Physique


  • Yeux : C’t’eeeeu z’yeux ! Dans la taverne on voit pas, fait tout sombre, c’est marron com’ tout l’monde. Mais au soleil, ça tire au vert, j’dirais pas non ! Pis ça exprime toujours queq’ chose, c’est pas trop dur de comprendre. Sauf parfois, l’a l’air perdue au royaume des cieux, rêve à j’sais pô quoi, c’t’étrange.
  • Cheveux : Ben eux y s’voient ! Ben blonds, com’ du feu, du jeune blé taillé à la serpe, qui volette, fourché par l’vent.
  • Taille/Poids : Un peeeu p’tite et replète just’qu’y faut. L’a d’bonnes joues d’fille d’auberge, avec des hanches comme ça pour chalouper ent’les tables, et des fesses r’bondies pour rester assise sans tro’d’mal de longues heures à triturer l'aut' aiguille.

  • Description physique : Y’a pas à dire, Claire c’t’un jôli brin d’fille. Ca lui pose d’ailleurs queq’ problèmes, eh. V’la qu’y’en a toujours un pour tirer sur sa jupe quant’l’sert. Mais ici, c’est’une mêêêson d’qualité, y’a pas à dire. On s’trousse pas derrière les tables. Bon, elle a pas l’air très finaude vu comme ça, à tous les sens du terme, eeeh ! Mais l’a quand même des jôôôlis ch’veux, des bôôô yeux et pis… tout c’qui faut quoi. Y’a pas à dire. Elle s’ra pas trop dure à marier, eh, la Renarde. Ici on l’appelle côm’ ça, à cause de Maistre Goupil ouais, mais aussi de son p’tiiit nez qui pointe et d’sa sacrée répartie. Et pis, c’teeeuh p’tites mains ! Chééépa si vous avez vu ces rideaux qu’l’a fait, mais c’est vraiment d’l’or.
  • Particularités : Parlons-en d’l’or. Z’avez-vu sa dent, là-haut ? S’en est, eh ! C’pas nous qui pourrions nous payer ça ! Paraît qu’c’eeest l’noble qui l’a renversée qu’lui a offert ça quand elle était p’tiote. Pour c’prix là, j’veux bien boîter aussi toute ma sacrée vie, eh !
  • Signe distinctif : Enfin ça rest’ quand même une fille d’chez nous, hein. C’est pas la seule au monde.

    Mental


  • Qualités et défauts : C’te caractère ! Pour l’meilleur et pour l’pire, hein ! Y’a du bon, y’a pas à dire : c’t’un cœur en or ! Mais faut pas lui marcher sul’ pied, alors là, non… un vrai langage de chartrier ! J’vous jure, par l’sang bleu, faut l’entendre ! Ca fait froid dans l’dos, eh ! C’est qu’Mam’z’elle a ses humeurs ! Mais bon, l’est rar’ment mal lunée, l’a toujours le mot pour rire et pis, elle fait crédit… enfin, garde, l’a l’sens des affaires. C’te sourire là, c’t’un sacré piège, moi j’te l’dis ! L’est pas goupil pour rien, eh, l’est pas trop bête. C’est qu’pour t’nir tête à sa barrique de père, faut bien des r’sources queq’ part ! C’qu’à c’t’âge là, à part ta caboche et tes mains, t’as pas grand-chose dans ton sac ! Pour ça, elle s’en sert bien : un vrai talent, y’a pas à dire. Elle cout après l’service des p’tites choses blanches toutes raffinées. Bon, c’pas trop mon truc, mais y’aurait d’quoi faire. D’ses hanches aussi, mais bon, n’est pas à l’Oppobre ici !
  • Goûts, intérêts, passions : Ben ça a tout l’air d’être ces p’tites choses blanches dont j’vous ai parlé. J’vous jure l’y passe des heures ! Sinon j’crois qu’elle aime bien les bêtes aussi, mais z’ont dû vendre la mule, c’est pas d’chance. Rest’ jamais qu’le gros matou et l’vin pour s’consoler, mais l’a pas l’air trop portée d’sus.
  • Particularités : Alors là vous m’croirez si vous voulez mais l’est pas sage avec tout le monde. C’les Bleus qui l’ont écrasée, mais c’est aux Gitans qu’elle en veut. Allez comprendre. Pourtant j’crois qu’c’est une veille bohème qui lui a appris à coudre. Bah. Et pis elle arrête pas d’parler du Roi. Enfin, ça c’était avant qu’elle s’prenne une volée par l’Goupil, qu’aime pas trop les Gros, même chez les gueux. C’te famille. Lui les jolies brunes, il dit pas non. Allez comprendre.
  • Signe Distinctif : C’est pas fini, c’te question ? J’vous dis qu’c’est une fille d’chez nous, quoi. C’pas une lumière non plus, vous croyez quoi ? Elle fait les additions et elle pose les brocs. Voilà.

    Historique


    Claire Goupil n’a pas d’histoire. Elle est née sur le plancher de cette même auberge qui flétrit lentement, face à la concurrence de « L’Opprobre ». Elle a grandi sur la Grande Place, entre le marché et l’amphithéâtre. Ses pas et ses espérances ne connaissent que les horizons pouilleux et clinquants de la Cour des Miracles.

    Une journée d’été brûlant. Les cris de sa mère entrecoupés par ceux des clients. Claire vient au monde, première fille et troisième enfant. Bonheur : la fillette semble vigoureuse, la progéniture survivra. Mais la chance tourne vite chez les Gueux : Claire ne gardera aucun souvenir de sa mère, morte en couche l’année suivante.

    Dès lors, les gros seins de la nourrice et la bedaine grandissante de son père. Maistre Goupil ne reprendra jamais femme. Il a bien assez à faire avec sa petite auberge et ses deux garnements de fils. Bien assez à faire avec sa fillette sans mère, qui passe sous les roues d’un fiacre. Et quand les enfants grandissent, ce sont de nouveaux soucis : le petit commerce familial dépérit.

    « Tout ça c’est la faute à c’foutu Roi ». Elle l’a entendu grommelé de dizaines de fois, depuis que « L’Opprobre » s’enfle des deniers de la Cour. C’est peut-être vrai, mais qu’importe. Elle tisse les plus beaux rideaux pour qu’un jour, il passe la porte. C’est une vieille Gitane qui lui a appris. Une vieille Vénitienne contre quelques coups à boire pour son fils. Et puis le fils dérapa et Claire ne voulut plus jamais servir ces porcs de Gitans. Mais le Roi, ça n’était pas pareil.

    Ils pensaient tous qu’elle ne pouvait pas être plus heureuse qu’ici, dans son monde, dans son échoppe qu’elle gérait d’une main de matrone. Mais avec un père à la panse énorme et à l’haleine avinée, avec deux frères qui battaient la campagne et une poignée de clients sans le sou, il y avait de quoi rêver d’évasion. Rêver. De vivre à sa guise du commerce de sa dentelle. D’attirer, peut-être, le regard du Roi…

  • Objectifs et possibles évolutions : Mais rêver, ça n’avance à rien. Alors peut-être devra-t-elle accepter les avances de certains empressés… peut-être devra-t-elle, pire encore, proposer ses services à « l’Oppobre du Peuple ». Ou peut-être, espère-t-elle, ses rêves se réaliseront-ils.

    Hors Jeu


  • Pseudo : Marie
  • Autre(s) Personnage(s) ? Jacques Bonsergent !
  • Comment avez-vous connu ce forum ? Via Tourdejeu
  • Une suggestion ? Je mangerais bien des petits fours.
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Romilly de Würtemberg
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MessageSujet: Re: Claire Goupil   Claire Goupil EmptyLun 7 Sep - 17:30

Bienvenue !

Je trouve ton historique trop court. Pourrais tu développer plus s'il te plait? Développe ce qu'elle a vécu, comment elle a éprouvé, et ce qu'elle a fait jusqu'à nos jours.

J'aime bien le réalisme du langage mais peut être qu'il faudrait l'utiliser seulement dans ses pensées et dans ses paroles et pas partout, mais ça, ça reste à toi de voir. ( en tout cas, ça fait bien rire ^^)

Je dirais qu'après un étoffement de l'historique, tu pourras être validé, et avoir tes petits fours !
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MessageSujet: Re: Claire Goupil   Claire Goupil EmptyJeu 10 Sep - 21:22

Pour la langage, pas de problèmes, il sera limité aux paroles du personnage. C'est vrai que c'est un peu usant à force. Wink

Pour l'historique, onn va croire que je chipote, mais je ne vois vraiment pas quoi ajouter. Shocked
La première phrase n'est pas une provocation au sens où Claire est une enfant du quartier qui mène une vie monotone. Les véritables aventures (lancement comme Artiste, promotion ou déchéance...) sont à venir.
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Romilly de Würtemberg
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MessageSujet: Re: Claire Goupil   Claire Goupil EmptyVen 11 Sep - 11:27

ok pour l'historique, alors. Tant que tu étoffe après et qu'on sera au courant de tout ^^

et bien je dirais... Fiche Validée tu as Smile

Bon jeu
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MessageSujet: Re: Claire Goupil   Claire Goupil EmptyDim 27 Sep - 12:47

Si je pouvais passer dans le bon sous-forum ca serait parfait Smile
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MessageSujet: Re: Claire Goupil   Claire Goupil EmptyJeu 15 Oct - 14:07

Merci !

Je poste ici un historique de la dentelle, trouvés sur ces sites :
http://membres.multimania.fr/sitelle/lace/histdent.htm
http://www.enjoylace.com/fr/histoire-de-la-dentelle.html

Citation :
La dentelle n'apparaît que vers le milieu du XVIè siècle et dans le monde occidental. Elle est née d'un luxe nouveau issu de préoccupations d'hygiène et d'élégance, celui de la chemise de toile fine rendue apparente au cou, aux poignets et à travers les crevés qui, dans la mode nouvelle, sillonnaient les habits.

La chemise était coulissée à l'encolure, un galon de passementerie de métal ou de soie maintenant les fronces. On le remplaça rapidement par une passementerie de lin que l'on décousait et recousait plus facilement lors d'une lessive; c'est de lin aussi que les lingères fabriquèrent les glands, les cordelettes et d'autres menus agréments qui accompagnaient le linge. Peu à peu, les passements de lin prirent une importance grandissante. Ils ont d'abord eu l'aspect de galons étroits, puis, la mode étant aux dentelures destinées à garnir les fraises de plus en plus volumineuses de la fin du XVIè siècle et du début du XVIIè siècle, on les hérissa de pointes aiguës.

Ces "passements dentelés" présentent une combinaison ininterrompue de tresses et de fils tordus deux à deux qui se croisent, se divisent et s'associent pour former un mince et souvent très élégant dessin géométrique.

En se raffinant, en se compliquant, les passements de lin qui s'exécutaient d'abord par les lingères, exigèrent une main-d'oeuvre spécialisée, de plus en plus experte, si bien qu'il n'est pas exagéré de dire que la dentellière est née de la pratique du métier. Après avoir été, pendant un temps relativement long, appelé "passement" et "passement à dentelles" en raison de son aspect particulier, le travail sorti de ses mains prit le nom de "dentelle", terme qui ne se généralisa que lorsque la "dentelle" se fit à bord droit ! Ce terme devrait uniquement désigner les ouvrages aux fuseaux, mais actuellement, il couvre toute la production dentellière quel qu'en soit le procédé de fabrication. Quant au mot "point", il devrait logiquement s'appliquer aux seuls travaux à l'aiguille puisqu'il implique l'idée de piqûre et demeure, de ce fait, plus conforme à la technique.

Les plus anciens passements exécutés par les lingères ne se différenciaient de la passementerie de métal ou de soie que par l'utilisation du lin blanc. L'ouvrière emprunta au passementier son outillage traditionnel. Il se composait essentiellement du coussin, des fuseaux et des épingles. Cet outillage est resté à peu près inchangé, particulièrement pour la fabrication des dentelles issues des anciens passements, c'est-à-dire pour celles qui, exécutées avec un nombre constant de fils, sont désignées sous le nom de "dentelles à fils continus".

A côté des dentelles aux fuseaux à fils continus qui poursuivirent leur destinée propre, un autre genre s'est élaboré au cours du XVIIè siècle. La fraise ayant été abandonnée, on vit apparaître, vers 1620-1630, un type de dentelle destiné à garnir les grands cols plats ou légèrement évasés pour les dames, que la mode du temps de Louis XIII a immortalisés.

Ces dentelles destinées à être étalées sur la soie, le velours sombre ou l'armure ne pouvaient se contenter de l'aspect linéaire du passement de lin. Elles se présentent sous la forme de dentelures largement arrondies, portant chacune un ornement floral stylisé. Les fils ne se combinent plus en un léger filigrane, mais dessinent les lourds motifs en toilé d'un blanc mat, cernés par un mince ajoure formé de fils tordus. L'aspect viril et corsé de ces dentelles convenait à la mode mi-mondaine, mi-militaire de l'époque.

Voyons maintenant, parallèlement à celle de la dentelle aux fuseaux, la genèse de la dentelle à l'aiguille.

Toujours pour des raisons d'économie ménagère, au XVIè siècle, la broderie opaque de lin blanc était plus habituelle dans nos provinces que la broderie de couleur, familière à l'Allemagne et à l'Angleterre. Elle enrichissait certes la toile, mais ne lui donnait aucune légèreté, or, le goût, dans les objets de lingerie, s'orientait vers des effets de transparence.

On s'ingénia donc à ajourer le tissu. On y réussit en tirant des fils et en assurant, à l'aide de l'aiguille, les fils restants, selon une technique bien connue, celle des fils tirés ou des points clairs. On pouvait, en les entortillant par un travail à l'aiguille, serrer de faibles portions de fils en petits faisceaux pour obtenir un ajourage géométrique. C'est le procédé des fils écartés qui, bien plus tard, au XVIIIè siècle, se mit au service de dessins extrêmement libres d'une grande beauté. On pouvait encore trouer la toile et consolider les bords de cet ajour assez grossier, on pouvait enfin tirer les fils dans les deux sens ou même couper carrément le tissu suivant la direction des fils de trame et des fils de chaîne en ménageant de minces cloisons de toile. Sur l'espèce de fenestrage ainsi obtenu, on jetait des croisillons de fils et on brodait l'ensemble de ce bâti après l'avoir consolidé. On obtenait ainsi un travail ajouré appelé "point coupé". La mode, nous l'avons vu à propos des passements, était aux dentelures. Après avoir dentelé le cuir et le drap, on voulut denteler les objets de lingerie. Mais l'ajourage de ces dentelures s'avérait impossible à pratiquer, car le tissu n'eût pas résisté au retrait à peu près total des fils dans les deux sens.

Pour servir d'appui à un travail dessinant des dentelures, on eut l'ingénieuse idée de créer un bâti indépendant fait de fils couchés sur un parchemin. Après avoir exécuté les enjolivements nécessaires à l'aiguille, l'ouvrage étant terminé, on le libérait de son support provisoire. C'est la plus ancienne forme de la dentelle à l'aiguille qui se distingue du point coupé par son indépendance absolue à l'égard de tout tissu de base. En effet, c'est la transformation radicale de la technique bien plus que leur aspect extérieur qui différencie le point coupé de la véritable dentelle à l'aiguille.

Ce procédé nouveau de fabrication permettait une liberté absolue de dessin; mais celui-ci se modifia très lentement; il demeura longtemps figé dans la géométrie, les dentelures devant rester en harmonie de style avec le point coupé qu'elles complétaient. En italien, le nouveau mode de travail fut désigné par l'expression imagée de "punto in aria" (point en l'air) mais en français, on lui réserva pendant longtemps l'ancien terme "point coupé".

Pendant la première moitié du XVIIè siècle, l'aspect du point à l'aiguille se transforme sous l'impulsion de la mode. On doit à l'Italie, et tout particulièrement à Venise, de belles dentelles aux très larges dentelures décorées d'ornements floraux un peu grêles, oeillets, tulipes, passiflores, réunis par des brides souvent garnies de picots. C'est le pendant italien des dentelles de Flandres de l'époque Louis XIII qui, elles aussi, convenaient à merveille aux costumes de l'époque.


Pour résumer :

Citation :
C'est au XVIIe et XVIIIe siècles que la production de dentelles atteint son apogée. La dentelle devient signe de richesse et de raffinement. Elle orne les vêtements, les sous-vêtements, les accessoires et même les costumes religieux et militaires. La dentelle est un accessoire de luxe. Son prix en est élevé et elle sert essentiellement de garniture. Tout au long du XVIIe et XVIIIe siècle les dentelles sont fort appréciées pour orner les cols, les manchettes, les fraises, les coiffes, les tabliers, en garniture de chaussures, en voile de mariée, en mantille, en écharpe…. Le linge de maison n'échappe pas à la mode des dentelles et c'est ainsi que les nappages, napperons, draps et autres sont ornés de dentelles.
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