La Cour des Miracles
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

La Cour des Miracles


 
AccueilPortailDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal

 

 Esméralda, Bohémienne.

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Esméralda
Saltimbanque
Saltimbanque
Esméralda



Feuille de personnage
Rang: Gitan
Profession: Danseuse
Parti (pour les Miséreux): Royaliste
Esméralda, Bohémienne. Empty
MessageSujet: Esméralda, Bohémienne.   Esméralda, Bohémienne. EmptyDim 14 Juin - 20:46

Identité


  • Nom : Nulle mère pour lui en donner, nul père pour la reconnaître : elle n’en a pas, et sûrement n’en aura-t-elle jamais.
  • Prénom(s) : Esméralda, l’Emeraude. Personne ne sait exactement d’où ou de qui elle tient ce prénom. Le sait-elle seulement elle-même ?
  • Sobriquet : « L’Emeraude ».

  • Âge : La jolie gitane va sur ses seize printemps.
  • Origine : Des origines vagues, incertaines. Une mère espagnole, ou peut-être égyptienne ? A moins qu’elle ne soit roumaine… Ou aucun des trois. Le souvenir de la mère d’Esméralda semble s’être envolé le jour même de sa mort, comme si elle n’avait jamais existé. Pas de nom, pas de prénom, pas d’origines. Son père ? Voilà qui déjà plus intéressant. Curieusement, ceci semble être la seule information dont on dispose sur la famille de la jeune fille : un noble, rien de moins. Français, parisien qui plus est. Client, amour de passage, amant régulier ? Rien n’est moins sûr. Le mystère plane sur l’ascendance de la gitane, qui n’en sait rien elle-même.
  • Rang : Gitane.
  • Profession : Saltimbanque.
  • Parti : Royaliste.

    Physique


  • Yeux : Deux émeraudes brillantes, pétillantes d’une malice mêlé d’une certaine candeur, qui lui ont sûrement valu son prénom. Les yeux légèrement en amande, des iris à peine parsemés de légères paillettes mordorées, le tout encadré de longs cils ourlés d’un noir profond et souligné par deux traits de ce qui rappelle le khôl des égyptiennes. De temps en temps, un sourcil fin, légèrement plus clair que les cils de la belle, s’arque délicatement, témoignant d’une certaine perplexité, ou se fronce, exprimant ainsi sa concentration ou sa frustration. Au final, un ensemble plutôt frappant, presque envoûtant. Attirant, très certainement.
  • Cheveux : De longues boucles brunes encadrent le charmant minois de la gitane. D’une gourmande couleur chocolatée, elles prennent une teinte cuivrée à la lumière, qu’elle soit du soleil ou des torches. Même si le plus souvent ceintes d’un bandeau de tissu mordoré sûrement dérobé discrètement à quelque marchand, elles coulent cependant jusqu’à la poitrine d’Esméralda, couvrant ses fines épaules d’une cape fauve et brillante, douce au toucher. Cette dernière en est d’ailleurs très fière, et prend grand soin de sa chevelure.
  • Taille/Poids : Loin d’être ce qu’on appelle « bien en chair » ou même « pulpeuse », Esméralda est fine. Très fine, pour ne pas dire maigre. La misère qui règne à la Cour des Miracles n’épargne que certains privilégiés ayant assez d’argent pour se payer un repas digne de ce nom. La gitane, elle, n’a pas cette chance. Et son corps en subit les conséquences. Assez petite, elle ne doit pas dépasser le mètre soixante, ou alors de peu. Le tout pour une quarantaine de kilos, tout au plus. Frêle, bien trop frêle. Une plume semblant susceptible de s’envoler au moindre souffle d’un vent qui délaisse depuis trop longtemps la Cour.

  • Description physique : Certains, l’ayant croisée au détour d’une ruelle crasseuse, vêtue d’une blouse d’un blanc sale et d’un jupon troué, nu-pieds dans la fange et la boue, prétendront avoir entr’aperçu une gamine, à peine plus âgée qu’une enfant, suintant l’innocence avec son air perdu et son petit corps menu. D’autres, l’ayant vu danser sur la Grand Place, vanteront à qui voudra bien l’entendre la sensualité, l’érotisme se dégageant de ses courbes toutes féminines qu’elle ondule sous les yeux de tous, vendant son corps aux regards des badauds en échange de quelques pièces salvatrices, se faisant cruellement, dangereusement femme l’espace de quelques refrains, qu’elle accompagne souvent de sa voix feutrée aux légers accents chantants qu’ont ces femmes des pays lointains. Mi-femme, mi-enfant, elle erre dans les rues et les quartiers malfamés de Paris et de la Cour, ses longues mains, fines et agiles, d’une douceur déconcertante pour une enfant des bas-quartiers, effleurant délicatement la surface d’un tambourin qui tinte légèrement entre ses longs doigts. Chant d’espoir. Les prunelles émeraudes observent, scrutent, épient. Qui, parmi la foule crasseuse des habitants de Paris, ferait attention à une enfant si innocente ? Ils devraient, pourtant. Déjà, les doigts si délicats délaissent l’instrument pour se saisir d’une dague acérée, dissimulée entre deux couches d’étoffe voilant la peau moirée de la gitane, avant de trancher net le cordon d’une bourse venant de passer sous son nez. Maigre la bourse. A peine de quoi subsister décemment pendant deux jours. La misère est partout à la Cour. Alors Esméralda continue de danser et de voler pour vivre. Chantant de l’espoir et de la joie à qui voudra bien l’entendre, offrant la volupté à qui voudra bien la regarder. Maigre silhouette aux courbes pourtant affriolantes, bien trop affriolantes pour une enfant de son âge.
  • Particularités : Vous ne la verrez jamais sans un anneau d’or, serti d’une minuscule émeraude, à l’annulaire de sa main gauche. Le seul souvenir qu’il lui reste de sa mère, et qui semble être également l’unique lien la rattachant à son père. Alors la gitane le conserve, espérant qu’un jour cette bague change son destin. Danseuse et musicienne, elle est toujours accompagnée d’un tambourin qui lui sert à accompagner sa voix, et possède un certain talent pour le chant.
  • Signe distinctif : Esméralda possède une tache de naissance à l’épaule droite.

    Mental


  • Qualités : L’espoir. Encore et toujours. Esméralda est d’un optimisme presque naïf, persuadée que tout ne peut qu’aller mieux, un jour ou l’autre. Comme si elle ne semblait nullement touchée par la misère régnant à la Cour, psychologiquement, du moins. Un rayon de candeur et d’innocence. La gitane, malgré ses talents de voleuse, semble incapable de faire le moindre mal à quiconque, et ce poignard, si prompt à trancher le cordon des bourses les plus récalcitrantes, n’a jamais porté, et ne portera jamais préjudice à quiconque. Du moins… Se plaît-on à le penser. Car au fond, qui connaît réellement la Bohémienne ? Elle semble entourée d’un mystère perpétuel, et ne se dévoile à personne. Jamais, ô grand jamais. C’est une des règles de base dans les bas-fonds : ne se fier à personne, ne faire confiance qu’à soi et à soi-même. Et Esméralda le sait très bien. Rusée comme pas deux, son intelligence acérée et son agilité remarquable lui ont maintes fois permis de se tirer hors de situations fâcheuses sans le moindre soucis. Tout en restant digne. Car si elle n’exerce sûrement pas une profession des plus honorables et ne rechigne pas à mentir ou tromper, la jeune femme accorde une grande importance à son honneur et à la justice. Peut-être parce que, au fond, elle ne rêve que de ça, comme la plupart des habitants de la Cour : un monde juste, exempt de misère et de souffrance. Et ce rêve, on le retrouve dans la détermination d’Esméralda : cette furieuse envie de vivre, cette faculté à obtenir ce qu’elle veut et à ne pas se laisser marcher sur les pieds, malgré sa douceur et sa fragilité apparentes.
  • Défauts : Si elle est intelligente, elle n’en reste cependant pas moins crédule, cruellement naïve. Ses idéaux et son bel optimisme la portent à croire qu’il ne lui arrivera jamais rien de mal, comme si la violence et la désillusion régissant la Cour des Miracles semblaient l’avoir épargnée. Au fond, la jeune femme n’est encore qu’une enfant trop vite grandie, contrainte de se débrouiller par ses propres moyens et ayant en grande partie du s’éduquer toute seule. Et si son adresse lui permet de ne pas –plus- se faire remarquer lors de ses furtifs vols, sa langue bien pendue et sa franchise, elles, l’ont plus d’une fois mise dans une impasse. Féroce en ce qui concerne ses idées, avide de liberté, Esméralda se bat pour vivre et faire éclater la vérité, dans les limites de ses croyances et de ses principes. Malicieuse, provocante, elle s’amuse à tenter le Diable, comme trop peu consciente de ses paroles, clins d’œil et déhanchés langoureux sur la place publique. Une belle assurance et un entêtement qui risquent de causer sa perte, à long terme.
  • Goûts, intérêts, passions : Avide de liberté, la jolie gitane trouve un échappatoire à la triste réalité en s’évadant dans la musique et la danse. Une façon comme une autre de gagner sa vie en exerçant sa passion.
    Cependant, Esméralda nourrit un autre dessein : celui de sortir de la misère, et de s’élever socialement. Secrètement, elle envie ces courtisanes, favorites du roi, aux toilettes somptueuses et bijoux hors de prix, toujours propres, toujours bien maquillées. Elle espère un jour faire partie de ces « grandes dames », et tente à tout prix de se faire remarquer par quelconque personne influente à la Cour des Miracles. Alors la gitane danse, danse, et chante, chante…
  • Particularités : Parallèlement à ses activités de danseuse et de voleuse, Esméralda tente à tout prix de retrouver son père, s’il est encore vivant. Ne possédant ni nom, ni titre, ni indice pour l’aider, sinon cette bague qu’elle porte toujours sur elle, elle mène une longue quête pénible dans les rues et les bas-quartiers de la Cour, continuant d’espérer, toujours.
  • Signe Distinctif : Aucun.

    Hors Jeu


  • Pseudo : Sybille.
  • Autre(s) Personnage(s) ? Non, pour l’instant.
  • Comment avez-vous connu ce forum ? Par un top-site, cela faisait un moment que j’hésitais à m’inscrire… Me voilà.
  • Une suggestion ? Rien à redire, un gros coup de cœur au concept du forum.
Revenir en haut Aller en bas
Esméralda
Saltimbanque
Saltimbanque
Esméralda



Feuille de personnage
Rang: Gitan
Profession: Danseuse
Parti (pour les Miséreux): Royaliste
Esméralda, Bohémienne. Empty
MessageSujet: Re: Esméralda, Bohémienne.   Esméralda, Bohémienne. EmptyDim 14 Juin - 20:46

Historique


  • Famille : Aucune. La Bohémienne n’a jamais connu ses parents, ni son père, et encore moins sa mère, morte à sa naissance après un accouchement difficile. Pas de frère ni de sœur, officiellement du moins. Car qui connaît réellement son géniteur ? Après tout, l’une des rares choses que sait Esméralda sur ses origines est qu’elle est tout sauf une enfant légitime.
  • Enfance : C’est sa tante qui recueillit la fillette à la mort de sa mère. Veuve, sans enfant, elle prit grand soin de la fille de sa sœur, l’élevant du mieux qu’elle le put, à travers la boue, la misère et la débauche de la Cour des Miracles. Plus exigeante que dure, plus confiante que laxiste, elle essaya tant bien que mal de lui inculquer les valeurs élémentaires à sa survie et le code de vie des gitans, malgré le caractère pour le moins particulier de l’enfant. En effet, têtue, pour ne pas dire rebelle, Esméralda n’en faisait pour ainsi dire qu’à sa tête. Ce qui, naturellement, n’était pas sans créer des ennuis plus ou moins grave à sa tutrice. Pourtant, Anna toléra et encaissa sans broncher les écarts de conduite et de caractère de la petite, unique souvenir de sa défunte sœur. Se contentant de lui rappeler à qui elle devait la vie lorsque son comportement dépassait les bornes. Cette simple remarque suffisait généralement à calmer la gitane, qui changeait alors du tout au tout. De peste insupportable elle devenait un ange de patience et d’obéissance, ce qui ne manquait pas de surprendre Anna, tant le changement était parfois brusque. Ce qui ne manquait pas d’inquiéter la vieille bohémienne, qui se posait régulièrement des questions sur le comportement et le bien-être de sa protégée. Une telle instabilité, une telle aisance à changer d’attitude devait-elle être considérée comme une aptitude à part entière ou comme un étrange symptôme de mal-être ? Elle n’avait jamais menti à la fillette, lui avouant dès qu’elle fut en âge de comprendre qu’elle n’était pas sa mère. Mais rien de plus. Comme si le secret qui entourait la mère d’Esméralda était bien trop honteux, bien trop lourd à dévoiler. Son père ? Mort. Un mal pour un bien. Et, après tout, cela n’était pas réellement faux : se souciait-il seulement de sa fille ? Sûrement même ignorait-il son existence. Alors à quoi bon la torturer avec de telles choses ? Anna se tut durant des années, rongée par l’angoisse et la culpabilité, craignant que ses mensonges ne nuisent à celle qu’elle considérait comme sa propre fille.
    Et pendant ce temps, Esméralda mendiait dans les ruelles boueuses, cherchant vainement de quoi les faire vivre.
  • Adolescence : Peu après les onze ans d’Esméralda, Anna tomba gravement malade. Dès lors, la situation s’aggrava. Rapidement contrainte de ne pas quitter le matelas miteux qui leur servait de lit, la vieille diseuse de bonne aventure dut alors se résoudre à laisser la fillette voler de ses propres ailes, lui confiant ainsi la lourde tâche qu’était celle de trouver quoi leur subsister à toutes les deux. Et c’est ainsi qu’Esméralda devint danseuse. Quelques acrobaties maladroitement exécutées sous le regard amusé ou méprisant des passants, tout d’abord, puis de timides pas de danse, qui se perfectionnèrent au fil des jours, des semaines et des mois. Le chant ne vint que par la suite, la situation se faisant de plus en plus critique : Anna se mourrait, et Esméralda dansait, chantant accompagnée d’un tambourin habilement dérobé à un quelconque vendeur. Contant sa misère et sa détresse à quiconque daignerait l’entendre, surveillant la sébile en bois qui attendait les piécettes comme la prunelle de ses yeux. Elle dansait, dansait, jusqu’à épuisement, jusqu’à en avoir les pieds en sang, jusqu’à briser son frêle petit corps, jusqu’à ce que la nuit tombe. Et dépensait ses maigres gains en pain et médicaments qu’elle savait pourtant inutiles. Mais elle se refusait à abandonner. Elle voulait y croire, elle le voulait ! Jamais elle ne se serait pardonné de ne pas avoir poursuivit sa lutte et laissé mourir Anna. Qui, rongée par la tuberculose, agonisait au fond de leur misérable logis.
    Ce fut la veille de sa mort, sentant qu’elle ne passerait pas la nuit, que la cartomancienne lui offrit cette bague qui ne quitte désormais plus le doigt d’Esméralda, lui indiquant qu’il s’agissait d’un cadeau de son père fait à sa mère.
    « Un jour, elle te mènera jusqu’à lui. » Lui avait-elle murmuré entre deux quintes de toux, avant de sombrer dans l’inconscience. Elle mourut le lendemain, terrassée par la maladie.
  • Jusqu'à nos jours : Aujourd’hui, Esméralda dispose d’une autre corde à son arc : son agilité et sa discrétion sont devenus des atouts non négligeables, même primordiaux pour le vol à la tire ou à l’étalage qu’elle n’hésite plus à pratiquer. Une bourse par-ci, un bijou par-là, elle revend ensuite ou consomme sur-le-champ, faisant de son mieux pour survivre. Livrée à elle-même, elle continue de danser et de chanter pour gagner son pain, repoussant de temps à autres prétendants curieux ou trop insistants à son goût. N’hésitant cependant pas à leur faire miroiter monts et merveilles avec de belles paroles en échange de quelques cadeaux ou objets de valeur, pour mieux les abandonner par la suite. Car elle est libre, libre comme l’air. Jamais la gitane ne s’est réellement offerte à un homme, et ne compte pas le faire de sitôt. Volant de bras en bras, plume légère et sensuelle, elle use et abuse de son charme et de sa candeur enfantine pour s’attirer les faveurs des plus influents à la Cour, tendant vainement, espérant secrètement de se faire un jour remarquer par le Roi en personne. Ou par un de ses très proches, du moins. Et qui sait… Peut-être qu’un jour, l’un de ces messieurs lui révèlera-t-il une partie de ce si lourd secret qui semble entourer ses origines… ?

  • Objectifs et possibles évolutions : Retrouver son père, promesse d’une vie meilleure et de promotion sociale. Guidée par un objectif semblable, Esméralda est prête à tout pour se tirer d’une misère de plus en plus violente, et rêve de faire partie des Courtisane, et même de devenir une des Favorites du Roi de la Cour des Miracles. Mais la vie devenant de plus en plus difficile à la Cour, la gitane redoute d’avoir un jour à vendre ses charmes en tant que vulgaire fille de joie pour gagner son pain.
Revenir en haut Aller en bas
Miracle
Equipe Administrative
Miracle



Feuille de personnage
Rang:
Profession: Administratrice ;)
Parti (pour les Miséreux):
Esméralda, Bohémienne. Empty
MessageSujet: Re: Esméralda, Bohémienne.   Esméralda, Bohémienne. EmptyLun 15 Juin - 21:46

Esmé, je lis ta fiche (sauf si la Malade Indomptable le fait avant !) dès demain matin (ou après le film ^^).
Merci de ta patience !
Revenir en haut Aller en bas
Esméralda
Saltimbanque
Saltimbanque
Esméralda



Feuille de personnage
Rang: Gitan
Profession: Danseuse
Parti (pour les Miséreux): Royaliste
Esméralda, Bohémienne. Empty
MessageSujet: Re: Esméralda, Bohémienne.   Esméralda, Bohémienne. EmptyLun 15 Juin - 21:49

Il n'y a aucun souci, j'attendrai le temps qu'il faudra ^^
En attendant, bon film !
Revenir en haut Aller en bas
L'indomptable
Equipe Administrative
L'indomptable



Feuille de personnage
Rang:
Profession:
Parti (pour les Miséreux):
Esméralda, Bohémienne. Empty
MessageSujet: Re: Esméralda, Bohémienne.   Esméralda, Bohémienne. EmptyLun 15 Juin - 21:51

Je viens de la lire et je dois dire que si l'indomptable devait avoir une petite sœur ou protégée ce serait certainement toi tant tu lui ressembles par bien des points ^^

Tu es validée ma jolie gitane Wink
Revenir en haut Aller en bas
Esméralda
Saltimbanque
Saltimbanque
Esméralda



Feuille de personnage
Rang: Gitan
Profession: Danseuse
Parti (pour les Miséreux): Royaliste
Esméralda, Bohémienne. Empty
MessageSujet: Re: Esméralda, Bohémienne.   Esméralda, Bohémienne. EmptyLun 15 Juin - 21:54

Merci beaucoup, flamboyante Indomptable... Vous me voyez flattée par votre remarque Wink
Merci encore, et au plaisir !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Esméralda, Bohémienne. Empty
MessageSujet: Re: Esméralda, Bohémienne.   Esméralda, Bohémienne. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Esméralda, Bohémienne.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Absence d'Esméralda

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
La Cour des Miracles :: Introduction :: Ordonnance :: Protagonistes :: Fiches de personnage :: Fiches validées :: Gitans-
Sauter vers: