La Cour des Miracles
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

La Cour des Miracles


 
AccueilPortailDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal

 

 Léandre Aetius

Aller en bas 
AuteurMessage
Léandre Aetius
Artiste
Artiste
Léandre Aetius



Feuille de personnage
Rang: Va Nu Pied
Profession: Ingénieur / Artiste
Parti (pour les Miséreux): Royaliste
Léandre Aetius Empty
MessageSujet: Léandre Aetius   Léandre Aetius EmptyDim 25 Jan - 1:04

Identité


  • Nom : Aetius

  • Prénom(s) : Léandre

  • Sobriquet : « Le Lumineux »

  • Âge : 20 Printemps

  • Origine :

  • Rang :Va-nu-pied

  • Profession : Ingénieur / Artiste

  • Parti : Royaliste

    Physique


  • Yeux : Des prunelles ocres qui se plaisent à capturer la lumière. Des yeux vifs et brillants qui jettent sur le monde qui l’entoure un regard critique et naïf, des yeux plein de cette curiosité qu’ont les enfants.

  • Cheveux : Des cheveux couleur champs de blé mi-longs entourent le visage du jeune homme.
  • Taille/Poids : Un bon mètre 80 pour 73 Kilos…

  • Description physique :

    Se forger une opinion à la vue d’une personne est chose des plus aisées, ainsi n’y aura-t-il que dégoût et répugnance pour les plus laids ; admiration, noblesse, désir pour les plus bénis? Une crinière blonde, quelques boucles éparses, un regard innocent, sont-ils pour autant des gages de bonne foi dans un lieu tel quel la Cour des Miracles ? Rien n’est moins sûr !
    Au premier abord, n’est-ce pas cette apparence faussement délicate qui se détache de la personne du beau Léandre ? Un physique léonin, un panache assuré, un charisme lumineux. Dame Nature s’est montrée généreuse dans sa création, dotant le garçon d’une crinière d’or qui se plait à encadrer un minois des plus charmants, chevelure animée d’une vie propre qui se plie à suivre leur maître dans son avancée, les cascades de blé s’élancent, roulent, virevoltent. Une bouche, quoique menue, mais désirable se dessine, des prunelles ocres s’esquissent, prolongement de cette rivière de lumière, point d’ancrage du soleil, ces pupilles vibrantes, ardentes, fortes d’un éclat particulier, d’une grâce divine se posent avec délicatesse et jugent avec fermeté. Enfin des traits fins bien que juvéniles, un teint frais, terminent cet adorable portrait.
    Des vêtements simples mais qui ne relèvent d’un faste cliquant, ni d’un luxe exagéré, lui confèrent une allure distinguée, les teintes sombres sont de mises, agrémentées de quelques notes éparses de lumière. Sous le lourd manteau brun l’on devine une fine chemise de lin qui s’attache à cacher une musculature légère mais agréable à l’œil, la coupe du pantalon est élégante, enfin des bottes finissent de ciseler sa silhouette de parfait prince charmant.

  • Particularités : Il porte en permanence dans l’une des poches de son manteau, un petit cahier, simulacre de journal intime qui contient des esquisses, des anecdotes et de savants calculs. Enfin, autour de son cou l’on retrouve une médaille d’argent, seul héritage de sa mère…

  • Signe distinctif : Sa crinière d’or et ses pupilles ocres…

    Mental


  • Qualités & Défauts :


    Ce jeune garçon était-il à l’image de son physique, un ange naïf, un chérubin ? En un sens, oui… Exception, pour un lieu où les apparences sont généralement trompeuses ! N’était-il pas après tout l’incarnation de la jeunesse, ne se devait-il pas d’être insouciant, fougueux, curieux ?
    C’était un être naturellement bon, mais un homme de bien ne peut toujours se soustraire à des changements d’humeurs soudains et virulents. Il était un peu à l’image des saisons… Le cycle se répétait dans une cadence folle, s’enfermant dans une boucle sans fin.

    Ainsi, le printemps était synonyme de renouveau, de création, n’était-il pas d’abord un artiste, un génie incompris, ne trouvait-il pas son bonheur dans les arts, dans ces aventures des sens, dans ces entreprises d’une folle témérité ? Ses domaines de prédilection étaient la peinture et l’ingénierie, était-ce son goût pour la raison, sa curiosité insatiable ou tout simplement ces mains précieuses, minutieuses, presque féminines, allongées pourvues de doigts de fées qui lui permettaient pareilles chefs-d’œuvre ? Dans une frénésie sans nom, les esquisses défilaient, les calculs sans queue, ni tête, se joignaient à ces dessins qui englobaient paysages, figures

    Au printemps succède l’été, une joie tranquille prenait le pas sur son énergie créatrice, il
    la maîtrisait mieux, s’y attelant avec plus de précision. En ces jours, il se montrait rayonnant, il devenait alors le plus généreux des hommes. Convivial, prévenant, le mot pour rire, il était un invité de choix, pouvait animer un dîner sans peine et se découvrir bon nombre d’amis. Il pouvait alors accorder sa confiance sans peine, excellent humaniste, il désirait en les autres.

    Puis vint l’automne. En cette saison, il se renfermait sur lui-même ; présent, il demeurait toujours ailleurs, insaisissable, terriblement mystérieux. Il ne répondait qu’évasivement aux questions et reportait sans cesse ses projets…
    Enfin, l’hiver ! Terrible saison que voilà ! Terrible pour cet être solaire, en cette période, suite à
    des échecs, des déceptions, des problèmes, il se montrait la victime de violentes colères, ses mots se faisaient durs, acerbes, sa langue pouvait être le plus tranchant des poignards et il n’hésitait pas à une seconde à déverser son venin sur quiconque s’opposant à lui. Il parvenait parfois à contenir ce grand blizzard mais c’était au prix d’une froide quiétude, une paix durement achetée, il pouvait alors revêtir une certaine froideur, devenir même quelque peu hautain…


  • Goûts, intérêts, passions : L’art sous toutes ces formes mais plus particulièrement la peinture et la sculpture et les sciences qui sont pour lui l’union de l’art et de la raison.

  • Particularités : Un vif emportement face à des injustices.

  • Signe Distinctif : Non mis à part les points évoqués…

    Historique


  • Famille :

    Le jeune garçon était le fruit illégitime d’un négociant et d’une paysanne, il n’était le résultat que d’une aventure de passage, une passade certes mais des plus passionnées. La liaison entre la campagnarde et cet homme des routes avait duré trois mois, il apprit même l’état de la demoiselle et ne s’en offusqua pas, se réjouissant de la savoir enceinte, mais bientôt l’homme dut reprendre son commerce et s’envola de nouveau, promettant à son amour de revenir et de l’épouser.
    A jamais la mère de l’enfant garda l’espoir secret du retour de son amant et chaque soir, l’enfant endormi, son regard chocolat se portait vers la fenêtre de la maisonnette, fixant en vain un point imaginaire dans l’obscurité d’où il jaillirait. Avait-il péri sur une route, avait-il été attaqué lors de l’un de ces voyages, avait-il fui ?
    Il ne revint pas, elle lui donna malgré tout son nom, et éleva avec amour l’enfant. Il était la prunelle des yeux, il lui rappelait tant son père, il avait son regard, sa chevelure, le même sourire mais possédait la douceur de sa mère.

  • Enfance :

    Qu’il était plaisant de voir courir ce charmant bambin dans le jardin de leur petite maison ! Cheveux au vent, sourire aux lèvres, éclats de rire, il était le symbole même de l’innocence, de la beauté, d’un âge d’or qui dépérirait pour ne devenir que ténèbres et déchéance. L’état de grâce prendrait fin tôt ou tard ! Mais sa mère choyait son unique fils de milles et une attention malgré les commérages de ses voisins. On pointait du doigt cet enfant de la nature, on le maudissait, les autres enfants refusaient de jouer avec lui et le traitaient de bâtard. Ces moqueries provoquaient bien trop souvent révolte et colère du bambin, tristesse infâme de ne pas être reconnu, il maudissait ce père qui l’avait abandonné, lui et sa mère. Pourtant, lorsqu’il évoquait le nom de son père aux oreilles de sa mère, le sourire triste qui se dessinait sur ces lèvres, faisait taire toute révolte et le silence se faisait. L’enfant ne voulait rendre plus triste sa mère et employait une multitude d’ingéniosités pour la faire sourire et rire.

    C’est cette ingéniosité qui valut d’ailleurs au garçon l’intérêt de son oncle, seul membre de la famille a encore adressé la parole à sa mère, il remarqua l’intelligence et la présence d’esprit du garçon et le prit sous son aile, pour lui inculquer la lecture, l’écriture, le latin, et quelques connaissances en sciences. C’est ainsi qu’il commença à dispenser ces leçons au jeune garçon chaque matin. L’homme, frère de la mère, avait appris dans un couvent franciscain son savoir avant de devenir précepteur auprès de nobles et autres petits seigneurs locaux.


  • Adolescence :

    Le précepteur accomplissait son travail de bon gré, bénéficiant d’un élève des plus brillants, parallèlement la mère du jeune homme se portait de plus en plus mal. Victime de toux incessantes, elle crachait du sang et se montrait faible, ce fut sans surprise mais dans la douleur que la tuberculose la prit…Les années s’écoulèrent, son oncle l’avait pris sous son aile, et, le garçon se transforma en jeune homme et amoureux des arts et curieux.
    Mais au fur et à mesure que les années s’écoulaient, un rêve grandissait dans le cœur de cet insouciant, il désirait la voir, cette majestueuse, cette capitale de France. Il assistait son oncle dans ses leçons, recevait une paye et accumulait des économies. Ce fut grâce à celles-ci qu’il put se rendre à Paris, convaincant son oncle qu’il n’y resterait que peu de temps…


  • Jusqu'à nos jours :

    Des rumeurs se font entendre des quatre coins de la cour, des bruits, des murmures sont chuchotés dans tous les quartiers depuis peu, l’on entend le nom de ce personnage atypique. Voilà qu’une vieille femme prétend qu’il ressemble à un ange.

    « Sa chevelure est d’or ! Je l’ai aperçu, j’vous dis, sa chevelure est faite d’or, ses yeux lancent des éclairs ! C’est un dieu ou un démon ! »

    « Pauvre folle, tu ne racontes que des sornettes ! Il n’existe même pas ton « Lumineux ! », crois-tu que le roi accorderait ses faveurs à un jeune garçon ?!

    « Je l’ai vu aussi moi m’sieur ! Il a révélé la supercherie d’un jeu de hasard !

    « Balivernes, gamin… »

    Il n’était que depuis deux semaines dans la capitale, la flamboyante, la fabuleuse Paris. Véritable labyrinthe, toile de milles et une ruelle, son voyage l’avait tout droit conduit à la Cour des Miracles, cœur d’innombrables intrigues, source d’une folle débauche et d’une ivresse sans nom.

    A peine arrivé, il avait dénoncé des prétendus alchimistes, révélé la supercherie de jeux de hasard et montré un enthousiasme saisissant dans la découverte de la cour des miracles, on ne tarda pas à l’amener à la cour du roi.
    Il y fut reçu sous de bons auspices, les courtisans en ragèrent, comment un inopportun pouvait-il se permettre de prendre leur place ? Etait-ce là une facétie du roi ? Rien n’est moins sûr, le souverain de la cour lui parlait comme un ami et lui trouva bientôt le sobriquet de « Le Lumineux ». Il l’invita de nombreuses fois à s’entretenir en sa compagnie pour discuter de choses et d’autres, et, bientôt, les rancoeurs et les intérêts s’aiguisèrent pour le jeune garçon…

  • Objectifs et possibles évolutions : Devenir et maintenir sa position de bras droit envers le Roi de la cour…

    Hors Jeu


  • Pseudo : Je n’en ai pas spécialement xD Désolé de décevoir tout le monde ^^

  • Autre(s) Personnage(s) ? Pas pour le moment, mais j’ai une idée qui me trotte en tête depuis quelques temps :p

  • Comment avez-vous connu ce forum ? Via une personne à laquelle je tiens beaucoup, ma mentor de rp dirons nous lool xD Je sens que ça va lui plaire loool <_<….

  • Une suggestion ?
Oh non ! Tout est là ! Merveilleux forum ! :p Je n’ai rien vu de tel ! lool Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
 
Léandre Aetius
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
La Cour des Miracles :: Introduction :: Ordonnance :: Protagonistes :: Fiches de personnage :: Fiches validées :: Vas-Nus-Pieds-
Sauter vers: