Ariane Sagedieu

IDENTITÉ : Ariane Sagedieu

Nom : Sagedieu
Prénom(s) : Ariane
Sobriquet : La Maquerelle, Medusa, L’enjôleuse.
Âge : Elle aurait environ 32 ans.
Origine : Née à Paris, elle est donc d’origine Française.
Rang : Va-nu-pieds, depuis longtemps.
Profession : Courtisane.
Parti : Royaliste.

Physique
Yeux : D’un vert pâle et enivrant, ses grands yeux inspirent la tendresse et la douceur. Ils reflètent sa vision du monde et pénètrent votre esprit pour y déceler vos envies et les assouvir.
Cheveux : Coiffés de telle manière qu’on sait qu’elle en prend soin, ils lui arrivent à ses épaules tout en ondulation et en s’enroulant quelques peu aux pointes si elle les laisse lâches. D’un châtain brillant virant parfois au blond, ils sont d’une douceur des plus agréables.
Taille/Poids : Elle n’est pas bien grande mais n’est pas petite pour autant. Du haut de ses un mètre soixante-dix, elle a un poids qui évoque le fait qu’elle a la possibilité de bien pouvoir se nourrir, sans pour autant avoir l’occasion de sa gaver. Son poids est un peu en dessous de l’idéal. En conclusion, elle possède une silhouette svelte.
Description physique : Sa peau mate assez imberbe est parsemée de parts et d’autres de petites tâches de rousseurs. Son visage, maquillé sans excès, a des sourcils fins qui appuient son regard tandis que des points de rousseurs habillent son petit nez grec. Sa bouche plutôt sensuelle, a des lèvres pulpeuses d’une teinte proche de celui de sa peau, bien qu’un peu plus foncée. Ses pieds et ses mains, assez fines, respirent la jeunesse et la bonne santé. Sa poitrine est plutôt modeste, pointue et bien portante. Ses petites rondeurs naturelles, accentuées par une légère maigreur, en font un corps enjôleur. Le tout est accentué par une somptueuse démarche féline.
Du côté vestimentaire, elle s’habille avec des vêtements légers et fins tout en arborant une attitude aristocratique et doucereuse. Elle a pour habitude de porter des robes blanches avec une ouverture à la jambe droite pour mettre en valeur ses dessous. Elle n’a pas des toilettes luxueuses, mais elle fait penser qu’elles le sont. Les pierres précieuses vertes qui ornent son collier et sa bague ne sont que du verre coloré. Cependant, elle ne dispose pas d’un large choix. Elle n’a que trois toilettes différentes mais possèdent beaucoup plus de dessous différents, une conséquence de son métier. Comme cela a été dit un peu avant, elle porte quelques ornements bons marchés. Elle n’y apporte aucune valeur sentimentale, c’est juste pour faire jolie. Concernant les chaussures, elle a pour habitude de mettre des talons ou tout simplement des sandales.
A noter aussi qu’elle se parfume, avec des parfums à la rose ou à la lavande. Elle évite d’en mettre trop car cela a tendance à la faire malencontreusement éternuer. Il lui arrive de faire exprès d’en mettre trop si elle se rend compte que le fait d’éternuer charme un noble qui pourrait être un client potentiel.
Particularités : Son apparence plutôt noble lui facilite les rencontres et lui permet de se fondre au milieu de nobles.
Signe distinctif : Peut-être ses multiples tâches de rousseur. Mais la plupart sont hors de son visage.

Mental
Qualités : Quelqu’un de plutôt ambitieuse, elle vise toujours plus haut et essaye de progresser quoi qu’il arrive. Altruiste et compatissante, elle peut être un soutient moral appréciable lors de coups durs, cependant, elle n’aide que très rarement financièrement. Elle est courageuse, elle n’abandonne pas du premier coup, n’espérez pas l’éliminer de votre concurrence, elle ferait partie des dernières à tomber. Courtoise, éloquente et digne, elle sait entreprendre une discussion sérieuse et se comporter comme la plupart des nobles. Par ailleurs, c’est une femme débrouillarde et énergique, elle résout elle-même ses problèmes et subvient à ses besoins. Gentille, sympathique et optimiste, elle apporte, bien souvent, la joie autour d’elle, que ce soit par certaines de ses paroles ou ses actions. En tant que Maquerelle, elle fait preuve d’une grande patiente et est très protectrice envers certaines catins. Perspicace et rusée, la dupe marche très peu avec elle, excepté dans certains domaines religieux. Sa spontanéité fait aussi d’elle une courtisane très prisée par les nobles en manque d’aventures.
Défauts : Ariane peut s’avérer assez autoritaire quand elle le veut. Dans ces cas là, la joie prend la poudre d’escampette et est remplacée sur le champ par une grande froideur. Critique et cupide, elle fait toujours attention à la monnaie qu’on lui donne, elle aime son travail mais elle aime aussi être payée assez grassement. Déloyale, elle pourra très bien vous trahir si un grand intérêt se présente, ou même vous avoir par derrière. Dépravée et libidineuse, elle peut aller très loin dans la luxure, après tout, ce n’est pas pour rien qu’elle est La Maquerelle. Elle peut s’avérer grossière envers d’autres filles de joies ou courtisanes lorsqu’aucun noble n’est dans les parages, surement son côté va-nu-pieds. C’est aussi quelqu’un de très impulsive. Elle ne réfléchit pas trop sur ce qu’elle fait sur le moment même. Elle n’y médite que plus tard, à tête reposée. Malhonnête et menteuse elle manifeste des tendances à arnaquer et à glorifier quelques peu ses actes. Rancunière, elle mettra beaucoup de temps à oublier les mauvais coups que vous lui ferai. Elle est aussi très et même trop superstitieuse, ce qui fait qu’elle peut se faire facilement avoir si on use du bon domaine religieux avec elle. Suspicieuse, elle se méfie généralement des nouveaux clients ou des nouveaux venus. Pour finir, sa témérité lui vaut quelques frayeurs car elle a parfois tendance à aller là où il ne faut pas.
Goûts, intérêts, passions : Elle a un goût pour la mode, la luxure et la possession de biens. Cela constitue les principaux piliers de sa vie avec un soutient complémentaire, sa fille. Elle est passionnée par tout ce qui est toilettes de luxes et ornements onéreux bien qu’elle n’en possède pas. Elle aime plaire, attirer les regards.
Particularités : Cela peut paraitre curieux, mais elle aime son statut de prostituée tout en ne désirant pas que sa fille fasse la même chose.
Signe Distinctif : Sa tendance à se mettre en valeur et à attirer les regards.

Hors Jeu
Pseudo : Sephi / Tumb’ / Tumbler.
Autre(s) Personnage(s) ? Je n’ai que celui-ci sur ce forum.
Comment avez-vous connu ce forum ? Par diverses publicités et des top-sites.
Une suggestion ? Augmenter la publicité sur des forums de pub pour le forum afin de promouvoir un peu plus le jeu pour espérer avoir encore un peu plus de joueurs actifs. Avoir des partenariats hors du cercle de forums que vous avez pour que cela fasse venir du sang neuf.

IDENTITÉ : Ariane Sagedieu (suite)

Historique

Famille :
Clothilde Sagedieu : Sa mère, malade suite à la naissance d’Ariane, ne pouvait s’occuper d’elle, c’était même plutôt l’inverse. Elle a entrainée une culpabilisation chez Ariane qui l’a poussée à partir de chez elle pour ne plus poser de soucis à ses parents. Une bouche de moins à nourrir.
Roland Sagedieu : Son père, strict et travailleur. Parfois, Ariane venait l’assister dans ses activités. Elle l’aimait beaucoup, même s’il était très sévère. Cependant il avait tendance à sombrer dans l’alcool.
Louise Sagedieu : Sa fille, née d’une nuit dépravée. Elle s’en occupe avec beaucoup d’attention et lui souhaite un avenir meilleur. C’est quelqu’un de timide et très compréhensive. Elle a quatorze ans.
Enfance :

« Reviens ici que je t’attrape ! »

Ariane courait à vive allure en compagnie de Colette, sa grande amie. Elles se faufilaient de ruelles en ruelles, un boucher sur les talons. Étant sans le sous, elles se procuraient à manger de leur manière. Cependant, il ne valait mieux ne pas se faire attraper. La scène était assez banale, des enfants poursuivis par un boucher à travers des rues boueuses et malodorantes, après qu’ils aient volés un lot de belles saucisses bien fraîches. Ce n’était pas la première fois, elle ne se souvient même plus du jour qu’elle a commencée ces mauvaises actions. Elle se servait sur les bords des fenêtres, aux étales des marchands ou dans les petites cours de certaines maisonnettes.
Alors qu’elles venaient de franchir, Ariane vit son père entrain de regarder une étale d’un marchand d’un œil critique entrain de se frotter le menton.

« On est sauvée, y’a mon père, viens ! »

Avec le soudain vacarme que faisait le boucher, Roland détourna le regard de la marchandise qu’il examinait pour ses achats et vit sa fille, un grand sourire sur le visage, lui sauter dans les bras avec un grand lot saucisse. Mais, il n’eut pas la réaction qu’elle espérait. Colette ne s’attarda pas en constatant que cela avait été une mauvaise idée. Elle était déjà partie dans une ruelle sombre débouchant sur une grande place de marché pleine de monde ; où il était aisé de se cacher. Le sort d’Ariane était moins appréciable. Son père lui arracha les saucisses des mains et les donna au boucher tout en payant la part que Colette avait embarquée avec elle. Après quoi il l’avait prise fermement par la poignée et se rendit à sa petite maison. Le chemin s’était fait en silence, mais une fois arrivée, elle eut le droit à un sermon et quelques coups de bâtons.

« Arrêtes de trainer avec cette voleuse ! Si je te revois avec elle, je te promets que tu auras droit au double de ce que je viens de te donner ! Tu m’as fais perdre l’argent qui m’aurait servi à acheter un outil… Va t’occuper de ta mère. Elle a besoin de boire. » Il parlait d’une voix sèche à la fois dure et tiraillée.

Derrière un rideau miteux gémissait une pauvre femme dans un lit saturé de couettes de piètre qualité. Elle n’était pas spécialement maigre, elle était seulement très malade. Glaciale et brûlante en même temps. Ariane alla chercher un verre d’eau et le porta aux lèvres de sa mère ; après quoi elle appliqua une serviette trempée dans l’eau froide sur son front et rabattit les rideaux.
Il lui arrivait souvent de voir son père pleurer le soir. C’est pour cela qu’elle ne lui en voulait pas d’être battue. Dans ces moments-là, il buvait et finissait par s’endormir sur sa chaise, contre la table. Ariane lui mettait alors une veste ou une couverture par-dessus et allait se coucher sur un matelas de paille dans un coin de la pièce. Elle faisait un effort pour ne garder de son père, que l’image du grand travailleur sérieux et heureux dans ses occupations.

Elle n’allait pas à l’école, par contre elle écoutait les gens et essayait de s’instruire elle-même. Son père lui laissait une assez grande liberté, surtout quand il était saoul. Elle ne revoyait Colette que rarement, par peur qu’il ne la voie en sa compagnie. Elle traînassait devant les étales, à admirer de somptueuses toilettes et à baver devant des pâtisseries. Les petites filles bien parées lui inspiraient de la jalousie, mais elle ne désirait pas pour autant s’amuser avec elles. Les bonnes manières, c’était une des choses qu’elle réfutait le plus.

Au final, elle se sentait inutile, comme un poids pour sa famille. Cependant, elle ne voulait pas partir de chez elle. Au fond d’elle-même, elle espérait que sa mère guérisse pour que les choses s’arrangent.
Adolescence :

« Que tu grandis vite… » Dit la voix tremblante de sa mère. Elle était toujours dans son lit et n’en sortait que très rarement. « … Des jeunes hommes doivent déjà être entrain de te faire la cour. » Murmura-t-elle avec un petit sourire sur les lèvres. Ariane n’avait pas répondue, mais par contre, elle avait rougie. Elle lui plaqua une serviette trempée d’eau froide sur le front et partit en refermant le rideau. Son père n’était pas là, d’ailleurs, à présent elle ne le voyait que le soir.

Pendant la journée, elle pavanait sur la place et discutait avec des jeunes hommes ou des filles de son âge. Elle appréciait qu’on lui fasse la cour, mais était trop timide pour faire quoi que ce soit. En fin de compte, elle était plutôt heureuse. Elle portait des robes assez simples, sans fantaisies. Mais quelque chose clochait. Le cas de sa mère ne s’arrangeait manifestement pas, il empirait même ; son père sombrait de plus en plus dans l’alcool et lorsqu’il était dans un état pitoyable il avait les mains baladeuses. Elle redoutait son foyer et désirait la liberté.
De plus, son sentiment d’enfance n’avait pas changé, elle sentait qu’elle était un poids inutile. Elle ne savait lire que très peu de choses et ne pouvait écrire que son prénom, son nom ainsi que quelques fruits et légumes. Piètre alphabétisme malgré ses efforts pour s’instruire. Elle avait prit l’habitude d’espionner les leçons que recevaient les enfants des nobles, dans l’église.

Vint le jour fatidique où elle plia bagages – ce qui ne lui prit que très peu de temps – et sortit de la maison sans plus jamais y revenir. Financièrement, elle était assez juste, une petite bourse pleine, résultante d’une longue économie de sols et deniers. Elle résidait dans des auberges un peu partout à Paris. Sa recherche d’un travail fixe fut un échec total et elle se retrouva sans le sous. Alors qu’elle errait sur une longue pente tortue, raboteuse et inégale, elle tomba sur une grande place. Une femme, vêtue de façon très légère, passa non loin d’elle. Voulant se renseigner, elle l’interpella.

« Excusez-moi, c’est quoi ici ?
- La Cour des miracles, tu es perdue ?
- Oui, je n’ai jamais entendu parler de cet endroit.
- Et, tu habites où ?
- Nulle part.
- Soit, je vais te montrer ton nouveau chez toi. »

Sans le savoir, elle venait de rejoindre les prostituées. La dame lui donna des vêtements propres bien que très peu séant. La question qui l’avait intriguée et qui l’a amené à son statut, concernait sa vertu, si elle l’avait encore ou non. Elle avait répondu que oui et la dame avait souri en disant qu’elle pouvait avoir beaucoup d’argent si elle le souhaitait.
Apercevant une lueur d’espoir, Ariane demanda comment cela se pouvait. La dame lui dit sans tabou les rudiments de la prostitution et comment elle pouvait espérer charmer des nobles de la cour. Au départ, un froid glacial lui avait parcouru l’échine en pensant à ce qu’elle allait faire. Seul moyen de survie, elle se fit à cette idée.

C’est ainsi qu’elle se retrouva en compagnie d’un noble, dans une chambre. Elle se rappelait qu’il lui avait dit : « Tiens ces deux parties-là écartées et laisse-moi faire. Je te promets beaucoup d’argent, tu ne seras pas déçue.»
La nuit passée, elle reçue assez d’argent pour être tranquille pendant un moment, mais ne se sentait pas très bien. Cependant et étrangement, elle avait plutôt appréciée. Quelques temps plus tard, elle avait des nausées et vomissait. Un verdict arriva peu après, elle était enceinte.
Elle donna naissance quelques mois plus tard à une petite fille qu’elle appela Louise. Elle survécue à l’accouchement grâce à une dame que tout le monde appelait La Maquerelle. Elle s’occupait avec attention de sa fille tout en continuant sa besogne. Elle était devenue amie avec d’autres courtisanes tandis qu’elle entrait dans une rivalité contre des filles de joie.
Jusqu'à nos jours :

Louise grandissait bien et mangeait à sa faim. Elle était bien loin de sa première fois et avait des clients réguliers, le premier qu’elle avait eu en faisait partie. A présent, elle était vraiment heureuse et vivait pleinement sa vie. Elle en était venue à apprécier ce qu’elle faisait et à le faire de façon mesurée et sans complexes. Experte en son domaine, elle avait même recueillit des « nouvelles ». Son comportement envers les courtisanes faisait qu’elle était appréciée par la plupart. A tel point qu’elle en était presque devenue l’assistante officielle de La Maquerelle. C’est ainsi pour elle, mais elle ne désirait pas que le futur de sa fille soit le même, car cela restait tout de même un métier sale, vulgaire et rabaissant. Elle voulait qu’elle ait un bon mari et qu’elle fasse un métier séant, hors de la Cour. Cependant, elle devait encore s’occuper d’elle, même si le lieu était mal fréquenté. « Au moins, … » se disait Ariane. « … elle saura à quoi s’attendre lorsqu’elle sera seule et elle saura y palier. »

Parce que les gens vieillissent ou attrapent des maladies, La Maquerelle, tomba malade assez brutalement, elle ne se plaignait même pas de son sort ou ne gémissait. Elle essayait de paraitre forte ; dans son lit de mort. Ariane resta presque jours et nuits à son chevet. Au bout de quelques temps, de plus en plus maigre et pâle, la dame sentait ses forces la quitter et prononça ces quelques mots : « Je confie… l’établissement…à Ariane l’enjôleuse. » La nouvelle se propagea vite, créant de la jalousie chez certaines courtisanes ou filles de joie qui espéraient accéder au statut de Maquerelle. Quelques jours plus tard, alors qu’Ariane venait voir si son cas s’arrangeait, le corps de la dame était sans vie. Un chagrin s’en suivit et elle fut enterrée non loin de l’établissement.

« Me voilà donc Maquerelle… » Elle soupira. Quelques jours durent s’écouler pour qu’elle se remette de la mort de La Maquerelle. Ensuite, elle endossa son rôle sans changer son comportement. Elle se préoccupait des prostituées tout en continuant à satisfaire sa clientèle croissante. Elle se sentait un peu comme une mère envers toutes ces nouvelles venues, un peu perdues, et souvenait de son arrivée comme si c’était hier et en eu un sourire nostalgique.

Cela fait à présent quelques mois qu’elle est La Maquerelle et qu’elle se fait respecter. Sa fille, quant à elle, sait mieux lire et écrire qu’Ariane, ce qui la réjouit.
Objectifs et possibles évolutions : Faire entrer sa fille dans la noblesse ou faire en sorte qu’elle soit heureuse dans une famille stable (Si quelqu’un est intéressé par le rôle de Louise Sagedieu …). Se forger une plus grande réputation dans son domaine et être encore plus prisée.

Fin de la fiche

Je m'occupe de ta fiche dans la soirée =)
(sauf si l'Indomptable l'a fait avant ^^)

D'accord, pas de problèmes. Smile

C'est une excellente fiche sur laquelle je n'ai pas de remarque !
Tu peux donc commencer le RP dès que tu le souhaites. N'oublie pas qu'en tant que Maquerelle, tu connais déjà toutes les Prostituées, tu peux donc peut être voir par MP tes relations éventuelles avec elles.

Je t'encourage à participer en Flood également, et à voter le plus possible pour nous amener du monde ^^

Bon jeu parmi nous, j'espère que tu te plairas !

Merci ! ^^

Je vais de ce pas voter à nouveau.
Je commencerai réellement le RP à la fin de cette semaine car j'ai pas mal de contrôles (5) et un petit concours d'anglais.